21Août2019 J’ai testé pour vous… le paddle ! categories: J'ai testé pour vous... Vous le savez, pour vous trouver les meilleurs plans, je suis toujours prête à mouiller le maillot. En virée à St Malo, j’ai pris ma mission au mot et ai testé pour vous… le paddle! What’SUP Paddle ? Loin de moi l’idée de vouloir vous faire replonger dans les Wazza de votre jeunesse ! Le SUP n’est autre que l’acronyme de Stand-Up Paddle plus communément appelé Paddle. Cette activité nautique qui a la côte (désolée, elle était trop facile) se pratique debout, sur une planche plus longue et large que sa cousine le surf, et surtout bien plus stable. Très abordable pour les débutants (à mon grand dam, j’avais déjà préparé mon super jeu de mot « paddl-er dans la semoule ») et plaisant pour tous les niveaux, le paddle permet de se déplacer aisément sur l’eau. Avec sa grande maniabilité, c’est un excellent moyen de naviguer en rivière mais aussi le long du littoral marin. En séjour à St Malo, l’occasion était donc toute trouvée pour enfin m’y essayer ! Plancher sur mon sujet C’est aux côtés d’Endel, malouin de souche et marin passionné, que j’ai eu le plaisir de m’initier au paddle. Sur le pont des bateaux de compétition l’hiver et toujours près de sa cabine « Loc Malouine » l’été, on pourrait croire que l’expression « comme un poisson dans l’eau » a été inventée pour lui. L’introduction débute sur la jetée : Endel explique comment s’appellent les différents éléments du paddle (la pagaie, la « leash ») et surtout, comment bien se positionner pour pouvoir naviguer sereinement. Une fois sur l’eau, Endel corrige ma posture pour que je sois la plus à l’aise possible, et que surtout la rame m’aide à avancer et à profiter des effets du courant. Contrairement au surf qui nécessite d’avoir des vagues, le paddle permet de naviguer très facilement, quelles que soit la houle. Deux points sont à retenir : Pour naviguer facilement, il faut mettre la main en haut de la pagaie et bien l’enfoncer dans l’eauLa posture sur la planche est essentielle : pieds écartés, genoux fléchis, dos droit : dans cette position, l’équilibre est assuré ! Endel profite de la balade pour me raconter un peu l’histoire de la baie de St Malo, cité corsaire convoitée et tournée depuis toujours vers la mer. On se rend aisément jusqu’au rocher où se trouve la tombe de Chateaubriand, rendant envieux les piétons restés sur la plage, qui devront quant à eux attendre que la marée ne baisse pour y accéder. Si vous êtes familier du blog, ma réputation de Pierre Richard me précède et vous ne serez donc pas surpris d’apprendre que… J’ai bien entendu fait une admirable chute. Si mon brushing en a souffert, il a été bien seul : protégée par ma combi, je n’ai même pas senti la fraîcheur des eaux malouines. Cerise sur le gâteau, le paddle est une activité très complète d’un point de vue sportif : la sangle abdominale, le dos et les cuisses sont fortement sollicités pour maintenir l’équilibre, les bras travaillent quant à eux grâce à la pagaie. Prétexte idéal pour aller découvrir toutes les adresses gourmandes de St Malo (et elles sont nombreuses). Si vous êtes sympa, Endel vous en révèlera peut-être quelques-unes ! Prêts à vous jeter à l’eau ? Infos pratiques : Loc Malouine, 2 place du Guet, 35400 Saint-Malo7 j/7 de 14h à 18h selon les conditions météo – de mai à octobre. Location de Paddles et cours privés, en individuel ou groupe (paddles XXL disponibles). Sur réservation au 06 11 60 19 30.Comptez 60€ le cours privé d’1h et 15€ la location « sèche » d’un paddle. Un grand merci à Endel et aux équipes de tourisme Haute Bretagne pour cette découverte !
Vous le savez, pour vous trouver les meilleurs plans, je suis toujours prête à mouiller le maillot. En virée à St Malo, j’ai pris ma mission au mot et ai testé pour vous… le paddle! What’SUP Paddle ? Loin de moi l’idée de vouloir vous faire replonger dans les Wazza de votre jeunesse ! Le SUP n’est autre que l’acronyme de Stand-Up Paddle plus communément appelé Paddle. Cette activité nautique qui a la côte (désolée, elle était trop facile) se pratique debout, sur une planche plus longue et large que sa cousine le surf, et surtout bien plus stable. Très abordable pour les débutants (à mon grand dam, j’avais déjà préparé mon super jeu de mot « paddl-er dans la semoule ») et plaisant pour tous les niveaux, le paddle permet de se déplacer aisément sur l’eau. Avec sa grande maniabilité, c’est un excellent moyen de naviguer en rivière mais aussi le long du littoral marin. En séjour à St Malo, l’occasion était donc toute trouvée pour enfin m’y essayer ! Plancher sur mon sujet C’est aux côtés d’Endel, malouin de souche et marin passionné, que j’ai eu le plaisir de m’initier au paddle. Sur le pont des bateaux de compétition l’hiver et toujours près de sa cabine « Loc Malouine » l’été, on pourrait croire que l’expression « comme un poisson dans l’eau » a été inventée pour lui. L’introduction débute sur la jetée : Endel explique comment s’appellent les différents éléments du paddle (la pagaie, la « leash ») et surtout, comment bien se positionner pour pouvoir naviguer sereinement. Une fois sur l’eau, Endel corrige ma posture pour que je sois la plus à l’aise possible, et que surtout la rame m’aide à avancer et à profiter des effets du courant. Contrairement au surf qui nécessite d’avoir des vagues, le paddle permet de naviguer très facilement, quelles que soit la houle. Deux points sont à retenir : Pour naviguer facilement, il faut mettre la main en haut de la pagaie et bien l’enfoncer dans l’eauLa posture sur la planche est essentielle : pieds écartés, genoux fléchis, dos droit : dans cette position, l’équilibre est assuré ! Endel profite de la balade pour me raconter un peu l’histoire de la baie de St Malo, cité corsaire convoitée et tournée depuis toujours vers la mer. On se rend aisément jusqu’au rocher où se trouve la tombe de Chateaubriand, rendant envieux les piétons restés sur la plage, qui devront quant à eux attendre que la marée ne baisse pour y accéder. Si vous êtes familier du blog, ma réputation de Pierre Richard me précède et vous ne serez donc pas surpris d’apprendre que… J’ai bien entendu fait une admirable chute. Si mon brushing en a souffert, il a été bien seul : protégée par ma combi, je n’ai même pas senti la fraîcheur des eaux malouines. Cerise sur le gâteau, le paddle est une activité très complète d’un point de vue sportif : la sangle abdominale, le dos et les cuisses sont fortement sollicités pour maintenir l’équilibre, les bras travaillent quant à eux grâce à la pagaie. Prétexte idéal pour aller découvrir toutes les adresses gourmandes de St Malo (et elles sont nombreuses). Si vous êtes sympa, Endel vous en révèlera peut-être quelques-unes ! Prêts à vous jeter à l’eau ? Infos pratiques : Loc Malouine, 2 place du Guet, 35400 Saint-Malo7 j/7 de 14h à 18h selon les conditions météo – de mai à octobre. Location de Paddles et cours privés, en individuel ou groupe (paddles XXL disponibles). Sur réservation au 06 11 60 19 30.Comptez 60€ le cours privé d’1h et 15€ la location « sèche » d’un paddle. Un grand merci à Endel et aux équipes de tourisme Haute Bretagne pour cette découverte !
15Août2019 RED Dingue ! categories: J'ai testé pour vous... J’ai testé pour vous… Le mariage ! Mais à défaut d’âme soeur, j’ai dit oui à ma rousseur. Vous vous en doutez, la cérémonie n’avait rien d’officiel, j’ai enfilé une magnifique robe blanche à l’occasion du Festival Red Love, premier festival français à célébrer les roux et rousses. Sa seconde édition aura lieu le 24 août prochain. Je vous en dis plus ? Où est Archie ? Comme le nom de ce blog en témoigne, si je n’en parle pas beaucoup, mes cheveux sont un peu une sorte de signature. Il faut dire que nous ne sommes pas si nombreux à arborer des teintes rousses. Seuls 1 à 2% de la population mondiale et 5% de Français auraient les cheveux roux ou blond vénitien. Cette couleur de cheveux serait issue d’une variation du gène MC1R, également responsable de la couleur de notre peau et de nos poils. Le variant roux est récessif : il ne peut être transmis s’il se trouve face à un variant plus fort. Ainsi, la couleur rousse ne peut être transmise que si les deux parents sont porteurs du variant et le transmettent. Le caractère récessif explique également d’ailleurs que l’on puisse être roux sans que nos parents le soient. Ils peuvent être porteur du variant roux et d’un autre variant, ce qui explique les fréquents sauts de génération dans les couleurs de cheveux. Rousseur de vivre Souvent, la rousseur fascine ou intrigue. Cette différence peut aussi valoir à certains moqueries et discriminations. C’est à partir de ce constat malheureux que Pascal Sacleux, photographe rennais – lui-même roux s’est lancé dans un projet artistique. L’idée : prendre en photo les roux et rousses et mettre en lumière leur beauté. Un livre et quelques centaines de shootings plus tard, il veut aller plus loin et décide de lancer le premier rassemblement de roux en France, le RED LOVE ! Après m’être rendue en Hollande il y a quelques années, pour le RedHead Day, je ne pouvais bien entendu pas manquer un évènement consacré aux roux et rousses se passant, qui plus est, dans ma chère Bretagne ! Ginger Power, un des modèles de la ligne de t-shirts développée par Alexia, du blog Alerte Rousse RED Dingue ! Mais tant qu’à m’y rendre, j’ai voulu embrasser ma rousseur dans toute son ampleur. Parmi les animations proposées lors de ce festival, Pascal recherchait en effet des jeunes femmes prêtes à enfiler une des superbes tenues de Thom de Corbie, créateur de robes de mariage … Et à défiler ! J’ai proposé ma candidature, bien contente de pouvoir faire un essayage sans engagement aucun et de pouvoir par la même occasion faire croire à mes amis que j’étais clandestinement passée devant l’autel sans les en avoir informés. Spoiler : ils ne m’ont pas crue. Nous étions un peu plus d’une quinzaine à avoir répondu à l’appel du mariage. Maquillage, coiffure, initiation au “défilé”, toute une équipe de professionnels s’est réunie autour de nos têtes rousses (déclinées dans toutes les nuances) pour faire de nous les reines de la journée. Pour la Ginger Pride, de magnifiques Ginger Brides ! 1500 personnes se sont rassemblées pour assister à cette 1ère édition qui s’est montrée, à juste titre, haute en couleur. En plus du défilé de mariées, les festivaliers ont pu assister à de nombreux concerts, manger des galettes saucisse (la terminologie trahit bien le fait que nous ne nous trouvions non pas dans mon Finistère natal mais en Ille-et-Vilaine), découvrir de nombreux stands de créateurs… Et faire un tour dans la cité historique de Châteaugiron. Ca vous donne envie ? Ca tombe bien ! La seconde édition du RED Love aura lieu le 24 août prochain et est ouverte à 3000 participants. Rien à craindre si vous n’êtes pas roux, le festival est bien entendu ouvert à tous. Un super prétexte pour passer un moment festif et convivial à boire, manger et écouter les nombreux groupes programmés cette année ! Infos pratiques RED LOVE, seconde édition24 août 2019, de 11h à 23hOuvert à tous, roux et non-rouxChâteaugiron (35)Billetterie Un très grand remerciement à toute l’équipe organisatrice du festival pour cette chouette édition de l’an passé : Pascal, bien entendu, les bénévoles aux petits soins, l’association Les Elégantes courbes qui a coordonné tout le défilé, les maquilleuses et coiffeuses, et Thom de Corbie qui m’a fait prêté une de ses sublimes créations, en me faisant confiance, malgré ma capacité légendaire à me transformer en Pierre Richard ! Bonus : Si le sujet de la rousseur vous intéresse, le génialissime site et magazine québécois Urbania a consacré un hors série aux Roux. Et rien que pour la couv, il vaut le détour. Il est disponible en pdf ou en papier via leur shop en ligne.
J’ai testé pour vous… Le mariage ! Mais à défaut d’âme soeur, j’ai dit oui à ma rousseur. Vous vous en doutez, la cérémonie n’avait rien d’officiel, j’ai enfilé une magnifique robe blanche à l’occasion du Festival Red Love, premier festival français à célébrer les roux et rousses. Sa seconde édition aura lieu le 24 août prochain. Je vous en dis plus ? Où est Archie ? Comme le nom de ce blog en témoigne, si je n’en parle pas beaucoup, mes cheveux sont un peu une sorte de signature. Il faut dire que nous ne sommes pas si nombreux à arborer des teintes rousses. Seuls 1 à 2% de la population mondiale et 5% de Français auraient les cheveux roux ou blond vénitien. Cette couleur de cheveux serait issue d’une variation du gène MC1R, également responsable de la couleur de notre peau et de nos poils. Le variant roux est récessif : il ne peut être transmis s’il se trouve face à un variant plus fort. Ainsi, la couleur rousse ne peut être transmise que si les deux parents sont porteurs du variant et le transmettent. Le caractère récessif explique également d’ailleurs que l’on puisse être roux sans que nos parents le soient. Ils peuvent être porteur du variant roux et d’un autre variant, ce qui explique les fréquents sauts de génération dans les couleurs de cheveux. Rousseur de vivre Souvent, la rousseur fascine ou intrigue. Cette différence peut aussi valoir à certains moqueries et discriminations. C’est à partir de ce constat malheureux que Pascal Sacleux, photographe rennais – lui-même roux s’est lancé dans un projet artistique. L’idée : prendre en photo les roux et rousses et mettre en lumière leur beauté. Un livre et quelques centaines de shootings plus tard, il veut aller plus loin et décide de lancer le premier rassemblement de roux en France, le RED LOVE ! Après m’être rendue en Hollande il y a quelques années, pour le RedHead Day, je ne pouvais bien entendu pas manquer un évènement consacré aux roux et rousses se passant, qui plus est, dans ma chère Bretagne ! Ginger Power, un des modèles de la ligne de t-shirts développée par Alexia, du blog Alerte Rousse RED Dingue ! Mais tant qu’à m’y rendre, j’ai voulu embrasser ma rousseur dans toute son ampleur. Parmi les animations proposées lors de ce festival, Pascal recherchait en effet des jeunes femmes prêtes à enfiler une des superbes tenues de Thom de Corbie, créateur de robes de mariage … Et à défiler ! J’ai proposé ma candidature, bien contente de pouvoir faire un essayage sans engagement aucun et de pouvoir par la même occasion faire croire à mes amis que j’étais clandestinement passée devant l’autel sans les en avoir informés. Spoiler : ils ne m’ont pas crue. Nous étions un peu plus d’une quinzaine à avoir répondu à l’appel du mariage. Maquillage, coiffure, initiation au “défilé”, toute une équipe de professionnels s’est réunie autour de nos têtes rousses (déclinées dans toutes les nuances) pour faire de nous les reines de la journée. Pour la Ginger Pride, de magnifiques Ginger Brides ! 1500 personnes se sont rassemblées pour assister à cette 1ère édition qui s’est montrée, à juste titre, haute en couleur. En plus du défilé de mariées, les festivaliers ont pu assister à de nombreux concerts, manger des galettes saucisse (la terminologie trahit bien le fait que nous ne nous trouvions non pas dans mon Finistère natal mais en Ille-et-Vilaine), découvrir de nombreux stands de créateurs… Et faire un tour dans la cité historique de Châteaugiron. Ca vous donne envie ? Ca tombe bien ! La seconde édition du RED Love aura lieu le 24 août prochain et est ouverte à 3000 participants. Rien à craindre si vous n’êtes pas roux, le festival est bien entendu ouvert à tous. Un super prétexte pour passer un moment festif et convivial à boire, manger et écouter les nombreux groupes programmés cette année ! Infos pratiques RED LOVE, seconde édition24 août 2019, de 11h à 23hOuvert à tous, roux et non-rouxChâteaugiron (35)Billetterie Un très grand remerciement à toute l’équipe organisatrice du festival pour cette chouette édition de l’an passé : Pascal, bien entendu, les bénévoles aux petits soins, l’association Les Elégantes courbes qui a coordonné tout le défilé, les maquilleuses et coiffeuses, et Thom de Corbie qui m’a fait prêté une de ses sublimes créations, en me faisant confiance, malgré ma capacité légendaire à me transformer en Pierre Richard ! Bonus : Si le sujet de la rousseur vous intéresse, le génialissime site et magazine québécois Urbania a consacré un hors série aux Roux. Et rien que pour la couv, il vaut le détour. Il est disponible en pdf ou en papier via leur shop en ligne.
03Oct2017 J’ai testé pour vous… Wecandoo ! categories: J'ai testé pour vous..., Paris En manque de créativité ? Oubliez le collier de nouilles ! Pour mettre la main à la pâte, rien de tel qu’apprendre aux côtés des meilleurs ! C’est le futé concept de Wecandoo, la start-up qui vous met en relation avec des artisans passionnés prêts à vous faire découvrir leur savoir-faire et leur atelier. Bijouterie, poterie, torréfaction, brasserie, maroquinerie : les seules limites sont celles de votre imagination ! Explications. Wecandoo repose sur un principe simple : pour découvrir et s’initier à un savoir faire, rien de tel qu’apprendre aux côtés des meilleurs, les artisans ! Et si la force de ce concept en est son évidence, la suite est elle aussi d’une grande facilité. L’inscription est en effet très intuitive : les ateliers sont classés par catégories : mode, maison, atypique, autant de clefs d’entrées pour découvrir les activités proposées par plus de 50 artisans à Paris et à Lyon. En survolant les vignettes, on découvre les informations essentielles relatives à l’atelier : son prix, sa durée ainsi que le nombre de participants par session. Un nombre qui ne dépasse d’ailleurs rarement les 6 participants, garantie d’un vrai suivi et d’un atelier personnalisé. Quand je me décide à mettre la main à la pâte, je suis quelque peu terre à terre : pour moi, la découverte d’un atelier Wecandoo passera par du concret. Je veux toucher, modeler, sculpter ; c’est donc tout naturellement que je me porte vers l’atelier céramique proposé par Aurélie Dorard. L’idée ? Se lancer dans la confection d’un set à café, lors d’une soirée dans son atelier. Le site indique qu’aucun prérequis n’est nécessaire : ça tombe bien, je n’en ai pas et ma dernière expérience de modelage remonte à la maternelle. Mais Aurélie nous met de suite à l’aise. Elle nous fait dans un premier temps découvrir son atelier. Niché au fond d’une petite cours, il déborde de poteries en tout genre et dispose d’un four, essentiel pour les cuissons à hautes températures que nécessite le travail de la terre. Après quelques explications sur les différentes étapes, du modelage à l’émaillage, elle nous laisse choisir nos terres : grès, porcelaine, nous avons l’embarras du choix ! Une fois notre boule de terre devant nous vient le temps du modelage : on pétrit la boule entre nos mains et on commence par lui donner une forme approchant le volume final. Nous prenons bien en compte le fait que la cuisson implique une réduction de la terre : il est important de s’en rappeler sans quoi notre service à café risque de ressembler à une dinette. Le moment est convivial : on partage avis et conseils entre participantes. Finalement, mon projet évolue en cours de route : je suis plus branchée succulentes et cactus que café, et transforme donc ma tasse … en pot de fleurs ! Aurélie, attentive, est là pour nous guider : elle veut que notre céramique soit fidèle à notre envie, car le principe de Wecandoo est bien celui d’apprendre… mais aussi de repartir avec sa création. Le bilan ? Un excellent moment ! Il me faudra encore un peu de pratique avant de pouvoir modeler avec adresse, mais cet atelier a été une vraie découverte de la céramique, un apprentissage de sa pratique mais surtout une vraie parenthèse. Une idée cadeau idéale à faire entre ami(e)s, avec sa famille… ou à garder jalousement pour un moment rien qu’à soi ! Les actualités de Wecandoo et d’Aurélie Wecandoo Wecandoo développe toujours plus son offre d’ateliers et poursuit en ce moment même une campagne de crowdfunding pour intégrer de nouveaux “métiers” à découvrir, se développer dans d’autres villes et ouvrir un espace à Paris pour créer des rencontres entre grand public et artisans. Les contributions sont ouvertes à partir de 5€ (soit même pas le prix d’un verre à Paris), et les contre-parties donnent envie : pour quelques dizaines d’euros, vous pourrez repartir avec des produits et ateliers des artisans partenaires ! Site Campagne KissKissBankBank Facebook Aurélie Dorard Outre les ateliers qu’elle anime pour enseigner la céramique, Aurélie développe également ses collections et se rend sur de nombreux évènements pour vendre ses créations. Vous pouvez suivre son actualité sur son site et via la page Facebook de son atelier. EnregistrerEnregistrer EnregistrerEnregistrer
En manque de créativité ? Oubliez le collier de nouilles ! Pour mettre la main à la pâte, rien de tel qu’apprendre aux côtés des meilleurs ! C’est le futé concept de Wecandoo, la start-up qui vous met en relation avec des artisans passionnés prêts à vous faire découvrir leur savoir-faire et leur atelier. Bijouterie, poterie, torréfaction, brasserie, maroquinerie : les seules limites sont celles de votre imagination ! Explications. Wecandoo repose sur un principe simple : pour découvrir et s’initier à un savoir faire, rien de tel qu’apprendre aux côtés des meilleurs, les artisans ! Et si la force de ce concept en est son évidence, la suite est elle aussi d’une grande facilité. L’inscription est en effet très intuitive : les ateliers sont classés par catégories : mode, maison, atypique, autant de clefs d’entrées pour découvrir les activités proposées par plus de 50 artisans à Paris et à Lyon. En survolant les vignettes, on découvre les informations essentielles relatives à l’atelier : son prix, sa durée ainsi que le nombre de participants par session. Un nombre qui ne dépasse d’ailleurs rarement les 6 participants, garantie d’un vrai suivi et d’un atelier personnalisé. Quand je me décide à mettre la main à la pâte, je suis quelque peu terre à terre : pour moi, la découverte d’un atelier Wecandoo passera par du concret. Je veux toucher, modeler, sculpter ; c’est donc tout naturellement que je me porte vers l’atelier céramique proposé par Aurélie Dorard. L’idée ? Se lancer dans la confection d’un set à café, lors d’une soirée dans son atelier. Le site indique qu’aucun prérequis n’est nécessaire : ça tombe bien, je n’en ai pas et ma dernière expérience de modelage remonte à la maternelle. Mais Aurélie nous met de suite à l’aise. Elle nous fait dans un premier temps découvrir son atelier. Niché au fond d’une petite cours, il déborde de poteries en tout genre et dispose d’un four, essentiel pour les cuissons à hautes températures que nécessite le travail de la terre. Après quelques explications sur les différentes étapes, du modelage à l’émaillage, elle nous laisse choisir nos terres : grès, porcelaine, nous avons l’embarras du choix ! Une fois notre boule de terre devant nous vient le temps du modelage : on pétrit la boule entre nos mains et on commence par lui donner une forme approchant le volume final. Nous prenons bien en compte le fait que la cuisson implique une réduction de la terre : il est important de s’en rappeler sans quoi notre service à café risque de ressembler à une dinette. Le moment est convivial : on partage avis et conseils entre participantes. Finalement, mon projet évolue en cours de route : je suis plus branchée succulentes et cactus que café, et transforme donc ma tasse … en pot de fleurs ! Aurélie, attentive, est là pour nous guider : elle veut que notre céramique soit fidèle à notre envie, car le principe de Wecandoo est bien celui d’apprendre… mais aussi de repartir avec sa création. Le bilan ? Un excellent moment ! Il me faudra encore un peu de pratique avant de pouvoir modeler avec adresse, mais cet atelier a été une vraie découverte de la céramique, un apprentissage de sa pratique mais surtout une vraie parenthèse. Une idée cadeau idéale à faire entre ami(e)s, avec sa famille… ou à garder jalousement pour un moment rien qu’à soi ! Les actualités de Wecandoo et d’Aurélie Wecandoo Wecandoo développe toujours plus son offre d’ateliers et poursuit en ce moment même une campagne de crowdfunding pour intégrer de nouveaux “métiers” à découvrir, se développer dans d’autres villes et ouvrir un espace à Paris pour créer des rencontres entre grand public et artisans. Les contributions sont ouvertes à partir de 5€ (soit même pas le prix d’un verre à Paris), et les contre-parties donnent envie : pour quelques dizaines d’euros, vous pourrez repartir avec des produits et ateliers des artisans partenaires ! Site Campagne KissKissBankBank Facebook Aurélie Dorard Outre les ateliers qu’elle anime pour enseigner la céramique, Aurélie développe également ses collections et se rend sur de nombreux évènements pour vendre ses créations. Vous pouvez suivre son actualité sur son site et via la page Facebook de son atelier. EnregistrerEnregistrer EnregistrerEnregistrer
17Mai2017 J’ai testé pour vous… Les Déchaînés ! categories: J'ai testé pour vous..., Paris Le mois de mai est là : avec lui s’annonce la saison des bourgeons, des premiers rayons… et du tennis sur France Télévisions ! Roland Garros et ses spectateurs qui ne craignent ni tours de cou ni coups de soleil sont chaque année le rendez-vous incontournable des amateurs de tennis. Pour me mettre à niveau, et comprendre enfin ce qui se joue sur les terrains parisiens, j’ai décidé de passer à l’action et ai testé pour vous … Les Déchaînés ! Les Déchaînés, c’est le nouveau service de sport sur mesure à Paris. Leur slogan? “Joue, on s’occupe du reste” ! Lancé depuis mars, il est pour l’instant disponible pour le tennis mais devrait s’étendre prochainement à d’autres disciplines. Mais, à quoi cela sert-il en fait ? Et bien, tout simplement à vous faciliter la vie lorsque vous souhaitez découvrir et pratiquer le tennis sans vous engager ni investir. Vous voulez jouer mais n’avez ni le matériel, ni l’envie de vous décarcasser à trouver un lieu et un partenaire… ni tout bonnement les compétences pour profiter pleinement de votre location ? Les Déchaînés s’occupent de tout ! En trois clics, l’affaire est résolue. Parfait quand vous voulez faire une activité qui change et la découvrir sans souscrire à un abonnement ou avoir à vous équiper ! Quand l’idée m’est venue de tester ce service, il faut savoir que je partais de très très loin : je n’avais jusqu’à présent jamais eu vraiment l’occasion, ni l’envie de m’intéresser à ce sport. Sans grossir le trait, le tennis se résumait pour moi à un comptage de points assez obscur, des pubs pour les Kinder Bueno, beaucoup de jupettes, beaucoup de casquettes, des ramasseurs de balles et enfin quelques cris bestiaux pour accompagner des heures d’affrontement. Mais l’approche ludique du site et le côté “sur mesure” m’ont convaincue : j’ai réservé une séance découverte avec une amie, prétexte avant tout pour se voir et m’initier au tennis en même temps. Terrain réservé à deux pas de chez elle, matériel et petite collation (ils savent comment séduire), météo au top (bon ça, ils n’y peuvent rien) et un accompagnateur très très patient et prêt à répondre à toutes nos interrogations et à reprendre inlassablement les mêmes gestes pour nous apprendre à servir : la séance découverte porte bien son nom et on parvient avant la fin de l’heure à échanger quelques balles en toute autonomie. Un très bon moment et une formule parfaite pour les débutants dans notre genre. Et le tarif est raisonnable : à 17.50€ par personne pour deux, on est loin des cours collectifs de yoga à 30€ que proposent de nombreux établissements parisiens. Et si vous pratiquez déjà, les formules s’adaptent : que vous souhaitiez reprendre le tennis, progresser ou tout simplement ne pas vous préoccuper de la logistique, il y en a pour tous les souhaits et tous les budgets ! Les Déchaînés viennent même de développer leur offre entreprise pour faire profiter aux C.E de leur expertise. Vous le savez, avec les bons plans, je suis plutôt partageuse : pour fêter l’arrivée de Roland-Garros (et mon baptême concluant sur terre battue), je vous propose un bon de réduction de 10% pour votre première réservation avec Les Déchaînés : STRAWBERRY A vos raquettes ! 🙂
Le mois de mai est là : avec lui s’annonce la saison des bourgeons, des premiers rayons… et du tennis sur France Télévisions ! Roland Garros et ses spectateurs qui ne craignent ni tours de cou ni coups de soleil sont chaque année le rendez-vous incontournable des amateurs de tennis. Pour me mettre à niveau, et comprendre enfin ce qui se joue sur les terrains parisiens, j’ai décidé de passer à l’action et ai testé pour vous … Les Déchaînés ! Les Déchaînés, c’est le nouveau service de sport sur mesure à Paris. Leur slogan? “Joue, on s’occupe du reste” ! Lancé depuis mars, il est pour l’instant disponible pour le tennis mais devrait s’étendre prochainement à d’autres disciplines. Mais, à quoi cela sert-il en fait ? Et bien, tout simplement à vous faciliter la vie lorsque vous souhaitez découvrir et pratiquer le tennis sans vous engager ni investir. Vous voulez jouer mais n’avez ni le matériel, ni l’envie de vous décarcasser à trouver un lieu et un partenaire… ni tout bonnement les compétences pour profiter pleinement de votre location ? Les Déchaînés s’occupent de tout ! En trois clics, l’affaire est résolue. Parfait quand vous voulez faire une activité qui change et la découvrir sans souscrire à un abonnement ou avoir à vous équiper ! Quand l’idée m’est venue de tester ce service, il faut savoir que je partais de très très loin : je n’avais jusqu’à présent jamais eu vraiment l’occasion, ni l’envie de m’intéresser à ce sport. Sans grossir le trait, le tennis se résumait pour moi à un comptage de points assez obscur, des pubs pour les Kinder Bueno, beaucoup de jupettes, beaucoup de casquettes, des ramasseurs de balles et enfin quelques cris bestiaux pour accompagner des heures d’affrontement. Mais l’approche ludique du site et le côté “sur mesure” m’ont convaincue : j’ai réservé une séance découverte avec une amie, prétexte avant tout pour se voir et m’initier au tennis en même temps. Terrain réservé à deux pas de chez elle, matériel et petite collation (ils savent comment séduire), météo au top (bon ça, ils n’y peuvent rien) et un accompagnateur très très patient et prêt à répondre à toutes nos interrogations et à reprendre inlassablement les mêmes gestes pour nous apprendre à servir : la séance découverte porte bien son nom et on parvient avant la fin de l’heure à échanger quelques balles en toute autonomie. Un très bon moment et une formule parfaite pour les débutants dans notre genre. Et le tarif est raisonnable : à 17.50€ par personne pour deux, on est loin des cours collectifs de yoga à 30€ que proposent de nombreux établissements parisiens. Et si vous pratiquez déjà, les formules s’adaptent : que vous souhaitiez reprendre le tennis, progresser ou tout simplement ne pas vous préoccuper de la logistique, il y en a pour tous les souhaits et tous les budgets ! Les Déchaînés viennent même de développer leur offre entreprise pour faire profiter aux C.E de leur expertise. Vous le savez, avec les bons plans, je suis plutôt partageuse : pour fêter l’arrivée de Roland-Garros (et mon baptême concluant sur terre battue), je vous propose un bon de réduction de 10% pour votre première réservation avec Les Déchaînés : STRAWBERRY A vos raquettes ! 🙂
02Mar2017 J’ai testé pour vous… Listminut, le service de bricolage malin ! categories: Bon Plans - Insolite, J'ai testé pour vous... Vous êtes aussi perplexe face à un marteau qu’une poule devant un couteau ? Rassurez-vous, des solutions existent ! J’ai testé pour vous ListMinut, le site malin pour les travaux du quotidien. Et vous ai même décroché une super réduction sur votre première prestation ! Mon habileté (légendaire) m’a parfois amenée à fréquenter les hôpitaux. Alors, quand je me suis retrouvée avec plusieurs meubles à monter, je n’ai pas voulu prendre de risque et ai testé le service de ListMinut. Le site belge, récemment lancé à Paris, propose de mettre en relations des particuliers ayant des travaux à réaliser et des experts ou passionnés en mesure de les aider. Le principe du site est très simple : on poste un besoin (bricolage, peinture, électricité, plomberie…) et on reçoit dans les heures ou jours qui suivent les devis des artisans intéressés. Une fois un des devis sélectionné, il ne reste plus qu’à prendre rendez-vous. Dans mon cas, c’est Alexis qui s’attele au montage de mes meubles. En une soirée, tout est réglé, et il prend même le temps de refixer une accroche murale sur le déclin. Il ne m’en fallait pas plus pour être convaincue ! Et comme les bons plans, c’est encore meilleur quand c’est partagé, voici un code pour bénéficier de 25€ sur le service ListMinut de votre choix : STRAWBERRY Le code est valable jusqu’à fin juin : à vos travaux !
Vous êtes aussi perplexe face à un marteau qu’une poule devant un couteau ? Rassurez-vous, des solutions existent ! J’ai testé pour vous ListMinut, le site malin pour les travaux du quotidien. Et vous ai même décroché une super réduction sur votre première prestation ! Mon habileté (légendaire) m’a parfois amenée à fréquenter les hôpitaux. Alors, quand je me suis retrouvée avec plusieurs meubles à monter, je n’ai pas voulu prendre de risque et ai testé le service de ListMinut. Le site belge, récemment lancé à Paris, propose de mettre en relations des particuliers ayant des travaux à réaliser et des experts ou passionnés en mesure de les aider. Le principe du site est très simple : on poste un besoin (bricolage, peinture, électricité, plomberie…) et on reçoit dans les heures ou jours qui suivent les devis des artisans intéressés. Une fois un des devis sélectionné, il ne reste plus qu’à prendre rendez-vous. Dans mon cas, c’est Alexis qui s’attele au montage de mes meubles. En une soirée, tout est réglé, et il prend même le temps de refixer une accroche murale sur le déclin. Il ne m’en fallait pas plus pour être convaincue ! Et comme les bons plans, c’est encore meilleur quand c’est partagé, voici un code pour bénéficier de 25€ sur le service ListMinut de votre choix : STRAWBERRY Le code est valable jusqu’à fin juin : à vos travaux !
26Sep2016 J’ai testé pour vous… les tablées cachées ! categories: Bon Plans - Insolite, J'ai testé pour vous..., Paris Pour vivre heureux, dînons cachés ! Si l’adage originel a été quelque peu modifié, l’équipe des Tablées Cachées ne s’y est pas trompée ! La recette du succès ? Chaque mois, un chef, un endroit insolite et une tablée de curieux gourmands dînant avec le(s) propriétaires du lieu pour le découvrir et s’imprégner de son histoire. Vous imaginez bien que je ne pouvais manquer une telle promesse de bon repas et d’expérience inédite… : j’ai testé pour vous les tablées cachées ! Les Tablées Cachées, c’est l’association de Coline, Amélie et Jocelyn, trois passionnés amateurs de bonnes tables, qui ont trouvé LA recette pour un dîner plus que parfait : réunir, le temps d’une soirée, un chef et de chanceux gourmands dans un lieu secret, ouvert tout spécialement. Chaque mois, ces tablées réunissent ainsi une vingtaine de privilégiés, qui en plus de se régaler, découvrent les coulisses d’un endroit insolite. Parmi les dernières éditions, on notera notamment un diner dans une Nef, un autre dans les Anciens Frigos de Paris, ou encore une soirée sur les hauteurs de Belleville, dans d’anciens ateliers aux cours fleuries et aux faux airs de campagne. Et si le plaisir de la découverte est bien une des motivations premières du trio, celui de la dégustation n’est pas en reste : chaque fois, aux fourneaux, un maestro de la cuisine ! L’équipe déniche chaque fois des lieux hors du commun. Et le mystère demeure jusqu’à la dernière heure : si quelques indices sont dévoilés avant, le rendez-vous est donné la veille et ne laisse souvent pas présager de l’ampleur de la surprise qui attend les convives. C’est donc bien enthousiaste que je me présente un dimanche soir dans le 13ème arrondissement, à deux pas de l’hôpital de la Pitié Salpêtrière. Coline, Amélie et Jocelyn nous retrouvent accompagnés de Côme, interne en médecine, qui sera notre hôte de la soirée. Le dîner est en effet prévu dans un lieu habituellement connu que des seuls médecins : la salle de garde ! Certaines d’entre elles ont fait couler beaucoup d’encre ces dernières années ; on se souvient en effet de la fresque polémique de Clermont ! Les salles de garde ont en effet un folklore… et une tradition paillarde assumée. Cantine des internes et des médecins, la salle de garde est un lieu à part d’un hôpital. Ses règles sont très codifiées : ici, toute hiérarchie hospitalière est abolie (seul règne en maître l’économe, un interne qui gère la vie du lieu), et toute mention à l’univers médical interdit. Sous peine de se voir octroyer une punition… comme celle de chanter une chanson paillarde ou d’embrasser son voisin. La salle de garde est un véritable sas de décompression. Nous découvrons ce lieu atypique sous les explications de deux économes et de médecins habitués de la salle. Quand vient l’heure de l’apéro, les bouteilles sabrées nous permettent d’apprendre que le tire-bouchon est interdit en salle de garde : sa forme trop proche d’instruments médicaux lui a valu d’être banni. Puis vient l’heure du dîner : le chef Benjamin Schmitt a mis tout son talent dans un menu clin d’oeil à la médecine. Du coeur de canard, un condiment mûre servi comme “une tâche de sang”, une seringue pour recouvrir de coulis une pêche pochée… Tout est juste, délicieux et parfaitement assaisonné. Les discussions vont bon train et l’on se régale tout en échangeant avec les internes et médecins, qui sont ravis de partager avec nous les coulisses de cet univers si particulier. Verdict de cette tablée cachée ? Un sans-faute ! Le dîner est un régal et nous sommes tous ravis d’avoir, le temps d’un soir, eu accès à un lieu si secret. Vous voulez vous aussi rejoindre un de ces dîners ? C’est simple mais il vous faudra être rapide : abonnez-vous vite à la newsletter des Tablées Cachées et sautez sur les réservations dès que le prochain évènement s’annonce ! Pour ce qui est du prix, il vous faudra compter 70€ par personne… un tarif un peu élévé mais qui se justifie par la qualité de la prestation et de la cuisine, d’un niveau gastronomique. (Encore merci à ma grande amie Claire qui m’a permis de vivre cette soirée d’exception ! Et merci à nos hôtes et notre chef d’un soir) Infos pratiques : Les Tablées Cachées Page Facebook Tous les mois, à Paris 70€ le dîner (entrée / plat / dessert / boissons) (Article également publié sur Graines de blogueuses)
Pour vivre heureux, dînons cachés ! Si l’adage originel a été quelque peu modifié, l’équipe des Tablées Cachées ne s’y est pas trompée ! La recette du succès ? Chaque mois, un chef, un endroit insolite et une tablée de curieux gourmands dînant avec le(s) propriétaires du lieu pour le découvrir et s’imprégner de son histoire. Vous imaginez bien que je ne pouvais manquer une telle promesse de bon repas et d’expérience inédite… : j’ai testé pour vous les tablées cachées ! Les Tablées Cachées, c’est l’association de Coline, Amélie et Jocelyn, trois passionnés amateurs de bonnes tables, qui ont trouvé LA recette pour un dîner plus que parfait : réunir, le temps d’une soirée, un chef et de chanceux gourmands dans un lieu secret, ouvert tout spécialement. Chaque mois, ces tablées réunissent ainsi une vingtaine de privilégiés, qui en plus de se régaler, découvrent les coulisses d’un endroit insolite. Parmi les dernières éditions, on notera notamment un diner dans une Nef, un autre dans les Anciens Frigos de Paris, ou encore une soirée sur les hauteurs de Belleville, dans d’anciens ateliers aux cours fleuries et aux faux airs de campagne. Et si le plaisir de la découverte est bien une des motivations premières du trio, celui de la dégustation n’est pas en reste : chaque fois, aux fourneaux, un maestro de la cuisine ! L’équipe déniche chaque fois des lieux hors du commun. Et le mystère demeure jusqu’à la dernière heure : si quelques indices sont dévoilés avant, le rendez-vous est donné la veille et ne laisse souvent pas présager de l’ampleur de la surprise qui attend les convives. C’est donc bien enthousiaste que je me présente un dimanche soir dans le 13ème arrondissement, à deux pas de l’hôpital de la Pitié Salpêtrière. Coline, Amélie et Jocelyn nous retrouvent accompagnés de Côme, interne en médecine, qui sera notre hôte de la soirée. Le dîner est en effet prévu dans un lieu habituellement connu que des seuls médecins : la salle de garde ! Certaines d’entre elles ont fait couler beaucoup d’encre ces dernières années ; on se souvient en effet de la fresque polémique de Clermont ! Les salles de garde ont en effet un folklore… et une tradition paillarde assumée. Cantine des internes et des médecins, la salle de garde est un lieu à part d’un hôpital. Ses règles sont très codifiées : ici, toute hiérarchie hospitalière est abolie (seul règne en maître l’économe, un interne qui gère la vie du lieu), et toute mention à l’univers médical interdit. Sous peine de se voir octroyer une punition… comme celle de chanter une chanson paillarde ou d’embrasser son voisin. La salle de garde est un véritable sas de décompression. Nous découvrons ce lieu atypique sous les explications de deux économes et de médecins habitués de la salle. Quand vient l’heure de l’apéro, les bouteilles sabrées nous permettent d’apprendre que le tire-bouchon est interdit en salle de garde : sa forme trop proche d’instruments médicaux lui a valu d’être banni. Puis vient l’heure du dîner : le chef Benjamin Schmitt a mis tout son talent dans un menu clin d’oeil à la médecine. Du coeur de canard, un condiment mûre servi comme “une tâche de sang”, une seringue pour recouvrir de coulis une pêche pochée… Tout est juste, délicieux et parfaitement assaisonné. Les discussions vont bon train et l’on se régale tout en échangeant avec les internes et médecins, qui sont ravis de partager avec nous les coulisses de cet univers si particulier. Verdict de cette tablée cachée ? Un sans-faute ! Le dîner est un régal et nous sommes tous ravis d’avoir, le temps d’un soir, eu accès à un lieu si secret. Vous voulez vous aussi rejoindre un de ces dîners ? C’est simple mais il vous faudra être rapide : abonnez-vous vite à la newsletter des Tablées Cachées et sautez sur les réservations dès que le prochain évènement s’annonce ! Pour ce qui est du prix, il vous faudra compter 70€ par personne… un tarif un peu élévé mais qui se justifie par la qualité de la prestation et de la cuisine, d’un niveau gastronomique. (Encore merci à ma grande amie Claire qui m’a permis de vivre cette soirée d’exception ! Et merci à nos hôtes et notre chef d’un soir) Infos pratiques : Les Tablées Cachées Page Facebook Tous les mois, à Paris 70€ le dîner (entrée / plat / dessert / boissons) (Article également publié sur Graines de blogueuses)
16Sep2016 J’ai testé pour vous… le stinky Tofu! categories: J'ai testé pour vous... En 2011, je m’installais pour six mois sur la charmante île de Taïwan et y découvrais… le Stinky Tofu ! Malgré ce nom peu engageant, je l’ai testé pour vous … et en garde – 5 ans plus tard – un souvenir impérissable ! Si les Français ont pour réputation d’être de téméraires gastronomes, capables de manger des mets odorants voire… moisis, les Taïwanais ne sont pas en reste ! Véritable star des night markets, le Cho Dofu – autrement connu sous le nom “Stinky Tofu” – est un incontournable de la cuisine taïwanaise. Il partage avec son “cousin” – classique tofu issu du caillage du lait de soja – l’aspect pâteux et mou, mais s’en distingue par l’odeur. Le stinky tofu est en effet sacrément bien nommé : impossible de manquer ses effluves dans les night markets nombreux sur l’île ! Il fait honneur aux origines étymologiques du terme chinois 豆腐 dòufu, ou « pourriture de haricots ». Souvent frit avant d’être consommé, il se mange accompagné de légumes, dans un bouillon ou encore sous la forme de brochettes, en repas sur le pouce. Et les Taiwanais ne boudent pas leur plaisir : du petit déjeuner au snack nocturne, le stinky tofu compte parmi leurs snacks préféres et se mange à toute heure de la journée. Ma conclusion du test ? Une certaine perplexité… Il est bien connu que la saveur d’un plat s’apprécie aussi souvent à son odeur et celle du cho dofu a, pour ma part, inhibé mes papilles gustatives ! Mais je ne regrette pas le test et vous encourage à tenter l’expérience si vous avez l’occasion de vous rendre à Taïwan. Après cela, vous pourrez en effet répondre avec dignité aux Taïwanais tentés de rire face à votre mine dépitée qu’ils n’ont plus qu’à goûter le bleu ou le roquefort !
En 2011, je m’installais pour six mois sur la charmante île de Taïwan et y découvrais… le Stinky Tofu ! Malgré ce nom peu engageant, je l’ai testé pour vous … et en garde – 5 ans plus tard – un souvenir impérissable ! Si les Français ont pour réputation d’être de téméraires gastronomes, capables de manger des mets odorants voire… moisis, les Taïwanais ne sont pas en reste ! Véritable star des night markets, le Cho Dofu – autrement connu sous le nom “Stinky Tofu” – est un incontournable de la cuisine taïwanaise. Il partage avec son “cousin” – classique tofu issu du caillage du lait de soja – l’aspect pâteux et mou, mais s’en distingue par l’odeur. Le stinky tofu est en effet sacrément bien nommé : impossible de manquer ses effluves dans les night markets nombreux sur l’île ! Il fait honneur aux origines étymologiques du terme chinois 豆腐 dòufu, ou « pourriture de haricots ». Souvent frit avant d’être consommé, il se mange accompagné de légumes, dans un bouillon ou encore sous la forme de brochettes, en repas sur le pouce. Et les Taiwanais ne boudent pas leur plaisir : du petit déjeuner au snack nocturne, le stinky tofu compte parmi leurs snacks préféres et se mange à toute heure de la journée. Ma conclusion du test ? Une certaine perplexité… Il est bien connu que la saveur d’un plat s’apprécie aussi souvent à son odeur et celle du cho dofu a, pour ma part, inhibé mes papilles gustatives ! Mais je ne regrette pas le test et vous encourage à tenter l’expérience si vous avez l’occasion de vous rendre à Taïwan. Après cela, vous pourrez en effet répondre avec dignité aux Taïwanais tentés de rire face à votre mine dépitée qu’ils n’ont plus qu’à goûter le bleu ou le roquefort !
21Août2016 J’ai testé pour vous… les bobos de l’été categories: J'ai testé pour vous..., Voyage N’en déplaise à une certaine Sophie qui crierait au plagiat, cet article aurait pu s’appeler “Les malheurs de Klervi”. Il faut en effet savoir que tout voyage se transforme souvent avec moi en une aventure digne des plus grands moments de François Perrin. Piqûre de méduse, sévères coups de soleil, mal de mer, épines d’oursin, chutes, bosses et bien sûr, nombreux passages à l’hôpital : j’ai testé pour vous… les bobos de l’été ! Le coup de soleil Le contexte Ah, le soleil ! Comme un bon nombre de mes semblables, avec l’arrivée de l’été, je n’ai qu’une envie : profiter de ses rayons et sentir sa chaleur sur ma peau. Oui, mais voilà, sa douce chaleur est trompeuse et serait même plutôt “main de fer dans un gant de velours” ! Avec ma peau sensible et malgré de généreuses couches de crème, je me suis ainsi retrouvée bien trop souvent marquée au fer rouge… Que faire ? Il est essentiel de réhydrater au plus vite votre peau brûlée en appliquant, par couches épaisses, de la biafine ou de l’aloe vera. Si des cloques apparaissent ou si vous souffrez également d’une insolation, rendez vous dans la pharmacie la plus proche ou chez le médecin. Buvez énormément, évitez les heures les plus chaudes de la journée, renouvelez l’application de votre crème très régulièrement et bien sûr… retenez la leçon ! Il est vraiment dommage de brûler littéralement son capital santé, donc une solution : sortez couvert… de crème ou de vêtements. Le mal des transports Le contexte C’est un peu un comble quand on sait combien j’aime voyager mais je suis depuis toujours malade en transports. Et l’ironie est poussée à son paroxysme quand je prends le bateau : j’ai beau être bretonne, fille et petite fille de marin, j’ai l’estomac à l’envers dès qu’il s’agit de prendre la mer. Nul besoin des détails peu glamour, vous l’aurez compris, le transport et moi, ça fait deux. Que faire ? Si comme moi, vous êtes abonnés depuis l’enfance au vogalen et regardez les manèges avec une défiance absolue, prenez quelques précautions. Mangez léger avant de partir, réservez vous un siège près d’une fenêtre, pour pouvoir regarder au loin et surtout pour vous aérer aux premiers signes de malaise. Tournez-vous vers l’homéopathie ou les aides préventives (cocculine, bracelets…) et… ne sortez jamais sans un petit sac à portée de main (on ne sait jamais ;-p). La méduse Le contexte Eté 2015. Je me baigne dans une magnifique crique à deux pas de l’île rousse, l’eau est cristalline et le soleil de plomb. Ma plénitude est soudain interrompue par la venue de Pélagie la méduse – ou Pelagia noctiluca, très belle méduse mauve de son état – qui décide de me piquer. Résultat : un cri tonitruant et un genou doublant de volume sous l’effet de la brûlure. Une chance : la méduse est des plus douloureuses… mais pas bien dangereuse ! Que faire ? Commençons déjà par révéler l’intox : même si c’est très rigolo, faire pipi sur votre ami(e) piqué(e) par une méduse ne servirait à rien. La première chose à faire est de sortir de l’eau (évitez le suraccident !). Puis, pour que la brûlure ne se poursuive pas, il faut enlever les filaments venimeux, à l’aide d’une carte de crédit (quoi, vous ne vous baignez pas avec votre CB?), d’une pince à épiler ou “à défaut”, en étalant du sable sur la plaie pour les piéger et en les faisant tomber avec un bout de carton ou de plastique. Rincez ensuite à l’eau de mer puis – si possible – à l’eau chaude (là, vous serez bien content d’avoir oublié votre bouteille d’eau dans la voiture garée au soleil). Les moustiques Le contexte Pas besoin de dire grand chose à son sujet : avec les embouteillages, le moustique est définitivement l’ennemi numéro 1 des vacanciers. Je n’échappe bien entendu pas à la règle : les moustiques démontrent d’ailleurs un talent fou pour me piquer là où leurs boutons dérangeront le plus. Le dernier en date ? Sur un de mes orteils, pile à l’endroit de la sangle de ma chaussure : idéal pour la journée de marche qui m’attendait ! Que faire ? Vous aimez la citronnelle ? Car le moustique, lui, ne supporte pas cette odeur ! De nombreux produits en contenant sont vendus chaque année mais je vous recommande d’aller vers les plus naturels d’entre eux : pour faire tomber les moustiques comme des mouches, certains fabricants ne lésinent pas sur des additifs pas sympa sympa. Sinon, la plus imparable des protections reste d’être couvert à l’extérieur et d’adopter la moustiquaire à l’intérieur. Si le mal est déjà fait, quelques gouttes d’huile essentielle de lavande aspic devraient pouvoir vous soulager. Sinon, il paraîtrait qu’une rondelle d’oignon calmerait la démangeaison : mélangé à l’odeur de citronnelle, voilà qui devrait être du meilleur effet pour l’été. L’épine d’oursin Le contexte Il fait beau, il fait chaud, et vous décidez d’aller explorer les fonds marins en vous adonnant à une pratique bien sympathique : la plongée avec tuba. Vous vous émerveillez devant la richesse de sa faune et souhaitez observer de plus près les oursins. Manque de chance, une vague arrive, et vous vous retrouvez avec une ou plusieurs épines du charmant animal plantées dans votre corps. La situation vous semble irréaliste ? Ça m’est pourtant arrivé et les accidents d’oursins sont plus fréquents qu’on ne le pense ! Que faire ? Si le premier réflexe serait d’arracher l’épine, il faut savoir quelque chose : les épines d’oursin sont très friables et se brisent souvent en laissant de nombreux morceaux sous la peau. L’idéal est donc de vous rendre au centre médical le plus proche. Le médecin ou l’infirmier pourra vous ôter l’épine… ou choisira, comme dans mon cas, de faire une petite opération locale en la brisant à l’intérieur et en vous prescrivant un antibiotique pour éliminer les résidus. Ouch ! Les points de suture Le contexte L’été, c’est aussi l’occasion de pratiquer de nombreuses activités en plein air. Rando, balades, vélo, canyoning… autant de possibilités de repartir cabossé(e) ! Je vous rassure, je ne visite pas les hôpitaux à chacun de mes séjours, mais je dois reconnaître avoir à mon compteur quelques cicatrices “estivales”. Mes 4 points de suture au Laos pour mon genou m’ouvrant la pommette en pleine descente de tyrolienne demeurent encore aujourd’hui mon souvenir le plus original ! Que faire ? Tentez d’arrêter le saignement s’il est important. Désinfectez dès que possible et… rendez vous dans un centre médical pour faire observer la plaie, et la faire recoudre si besoin. Armez vous de votre carte vitale et de votre assurance maladie si vous êtes à l’étranger, et puis aussi d’un peu de courage (au Laos, ils posent les points sans anesthésie locale : une expérience… mémorable !).
N’en déplaise à une certaine Sophie qui crierait au plagiat, cet article aurait pu s’appeler “Les malheurs de Klervi”. Il faut en effet savoir que tout voyage se transforme souvent avec moi en une aventure digne des plus grands moments de François Perrin. Piqûre de méduse, sévères coups de soleil, mal de mer, épines d’oursin, chutes, bosses et bien sûr, nombreux passages à l’hôpital : j’ai testé pour vous… les bobos de l’été ! Le coup de soleil Le contexte Ah, le soleil ! Comme un bon nombre de mes semblables, avec l’arrivée de l’été, je n’ai qu’une envie : profiter de ses rayons et sentir sa chaleur sur ma peau. Oui, mais voilà, sa douce chaleur est trompeuse et serait même plutôt “main de fer dans un gant de velours” ! Avec ma peau sensible et malgré de généreuses couches de crème, je me suis ainsi retrouvée bien trop souvent marquée au fer rouge… Que faire ? Il est essentiel de réhydrater au plus vite votre peau brûlée en appliquant, par couches épaisses, de la biafine ou de l’aloe vera. Si des cloques apparaissent ou si vous souffrez également d’une insolation, rendez vous dans la pharmacie la plus proche ou chez le médecin. Buvez énormément, évitez les heures les plus chaudes de la journée, renouvelez l’application de votre crème très régulièrement et bien sûr… retenez la leçon ! Il est vraiment dommage de brûler littéralement son capital santé, donc une solution : sortez couvert… de crème ou de vêtements. Le mal des transports Le contexte C’est un peu un comble quand on sait combien j’aime voyager mais je suis depuis toujours malade en transports. Et l’ironie est poussée à son paroxysme quand je prends le bateau : j’ai beau être bretonne, fille et petite fille de marin, j’ai l’estomac à l’envers dès qu’il s’agit de prendre la mer. Nul besoin des détails peu glamour, vous l’aurez compris, le transport et moi, ça fait deux. Que faire ? Si comme moi, vous êtes abonnés depuis l’enfance au vogalen et regardez les manèges avec une défiance absolue, prenez quelques précautions. Mangez léger avant de partir, réservez vous un siège près d’une fenêtre, pour pouvoir regarder au loin et surtout pour vous aérer aux premiers signes de malaise. Tournez-vous vers l’homéopathie ou les aides préventives (cocculine, bracelets…) et… ne sortez jamais sans un petit sac à portée de main (on ne sait jamais ;-p). La méduse Le contexte Eté 2015. Je me baigne dans une magnifique crique à deux pas de l’île rousse, l’eau est cristalline et le soleil de plomb. Ma plénitude est soudain interrompue par la venue de Pélagie la méduse – ou Pelagia noctiluca, très belle méduse mauve de son état – qui décide de me piquer. Résultat : un cri tonitruant et un genou doublant de volume sous l’effet de la brûlure. Une chance : la méduse est des plus douloureuses… mais pas bien dangereuse ! Que faire ? Commençons déjà par révéler l’intox : même si c’est très rigolo, faire pipi sur votre ami(e) piqué(e) par une méduse ne servirait à rien. La première chose à faire est de sortir de l’eau (évitez le suraccident !). Puis, pour que la brûlure ne se poursuive pas, il faut enlever les filaments venimeux, à l’aide d’une carte de crédit (quoi, vous ne vous baignez pas avec votre CB?), d’une pince à épiler ou “à défaut”, en étalant du sable sur la plaie pour les piéger et en les faisant tomber avec un bout de carton ou de plastique. Rincez ensuite à l’eau de mer puis – si possible – à l’eau chaude (là, vous serez bien content d’avoir oublié votre bouteille d’eau dans la voiture garée au soleil). Les moustiques Le contexte Pas besoin de dire grand chose à son sujet : avec les embouteillages, le moustique est définitivement l’ennemi numéro 1 des vacanciers. Je n’échappe bien entendu pas à la règle : les moustiques démontrent d’ailleurs un talent fou pour me piquer là où leurs boutons dérangeront le plus. Le dernier en date ? Sur un de mes orteils, pile à l’endroit de la sangle de ma chaussure : idéal pour la journée de marche qui m’attendait ! Que faire ? Vous aimez la citronnelle ? Car le moustique, lui, ne supporte pas cette odeur ! De nombreux produits en contenant sont vendus chaque année mais je vous recommande d’aller vers les plus naturels d’entre eux : pour faire tomber les moustiques comme des mouches, certains fabricants ne lésinent pas sur des additifs pas sympa sympa. Sinon, la plus imparable des protections reste d’être couvert à l’extérieur et d’adopter la moustiquaire à l’intérieur. Si le mal est déjà fait, quelques gouttes d’huile essentielle de lavande aspic devraient pouvoir vous soulager. Sinon, il paraîtrait qu’une rondelle d’oignon calmerait la démangeaison : mélangé à l’odeur de citronnelle, voilà qui devrait être du meilleur effet pour l’été. L’épine d’oursin Le contexte Il fait beau, il fait chaud, et vous décidez d’aller explorer les fonds marins en vous adonnant à une pratique bien sympathique : la plongée avec tuba. Vous vous émerveillez devant la richesse de sa faune et souhaitez observer de plus près les oursins. Manque de chance, une vague arrive, et vous vous retrouvez avec une ou plusieurs épines du charmant animal plantées dans votre corps. La situation vous semble irréaliste ? Ça m’est pourtant arrivé et les accidents d’oursins sont plus fréquents qu’on ne le pense ! Que faire ? Si le premier réflexe serait d’arracher l’épine, il faut savoir quelque chose : les épines d’oursin sont très friables et se brisent souvent en laissant de nombreux morceaux sous la peau. L’idéal est donc de vous rendre au centre médical le plus proche. Le médecin ou l’infirmier pourra vous ôter l’épine… ou choisira, comme dans mon cas, de faire une petite opération locale en la brisant à l’intérieur et en vous prescrivant un antibiotique pour éliminer les résidus. Ouch ! Les points de suture Le contexte L’été, c’est aussi l’occasion de pratiquer de nombreuses activités en plein air. Rando, balades, vélo, canyoning… autant de possibilités de repartir cabossé(e) ! Je vous rassure, je ne visite pas les hôpitaux à chacun de mes séjours, mais je dois reconnaître avoir à mon compteur quelques cicatrices “estivales”. Mes 4 points de suture au Laos pour mon genou m’ouvrant la pommette en pleine descente de tyrolienne demeurent encore aujourd’hui mon souvenir le plus original ! Que faire ? Tentez d’arrêter le saignement s’il est important. Désinfectez dès que possible et… rendez vous dans un centre médical pour faire observer la plaie, et la faire recoudre si besoin. Armez vous de votre carte vitale et de votre assurance maladie si vous êtes à l’étranger, et puis aussi d’un peu de courage (au Laos, ils posent les points sans anesthésie locale : une expérience… mémorable !).
27Avr2016 J’ai testé pour vous… la Curry Wurst ! categories: J'ai testé pour vous... Fleuron de la gastronomie allemande, la Curry Wurst est un incontournable de tout séjour berlinois. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, elle ne tire pas son nom de lointaines influences indiennes, mais de sa sauce, sorte de ketchup soupoudré de curry. Comme de nombreux Allemands et touristes qui en dégustent chaque année 70 millions – tout de même ! – je me suis laissée tentée : portrait du plus célèbre des snacks allemands ! Ah, Berlin, sa Fernsehturm, ses fresques de street-art, son mur… A la simple évocation de la ville m’envahissent des images de ces symboles majeurs, témoins de l’histoire et de la culture berlinoises. Mais un dernier s’ajoute pour ma part : si la belle capitale se place parmi les villes les plus “vege-friendly“, elle reste également un des hauts lieux de consommation de “Curry Wurst”. Quiconque a déjà voyagé en Allemagne n’a pu manquer les petites baraques où sont vendues ces fameuses Curry Wurst. La Currry Wurst est une bratwurst, saucisse cuite faite de viande de veau ou de porc, souvent grillée ou sautée à la poêle. Elle est servie découpée en larges morceaux avec une sauce Curry (sauce tomate ou ketchup assaisonnée avec du curry… d’ailleurs plus sucrée que relevée) et est souvent accompagnée de “Pommes” (des frites) ou servie dans un morceau de pain, à la manière d’un hot dog. Vendue dans des baraques ou des “Stehcafé” (littéralement “debout café”), elle est souvent dégustée sur le pouce ou emportée. Mais attention si vous n’êtes (comme moi) pas très adroit : la sauce Curry Wurst tâche sacrément ! Verdict de cette dégustation ? 100% convaincue par ce snacking “Typisch Deutsch” ! Vous ne vous rendez pas de suite à Berlin ? N’ayez crainte, je vous donne mes conseils pour réaliser votre propre Curry Wurst en deux temps, trois mouvements. Il vous faut pour cette recette : Une ou plusieurs grosses saucisses de Francfort ou équivalent (selon votre appétit) 200 ml de coulis de tomate ou de ketchup 2 oignons 2 c.s d’huile d’olive 1 c.s de moutarde 1 c.s de curry 1 c.c de sucre (pas nécessaire si vous avez opté pour le ketchup) 10 cl de vinaigre sel / poivre Faites revenir les oignons coupés finement avec une cuillère d’huile d’olive dans une casserole. Une fois les oignons dorés, ajoutez le coulis de tomate, la moutarde, le vinaigre et le sucre. Laissez mijoter durant 5 à 10 minutes. Grillez à la poêle les saucisses (déjà cuites). Découpez les ensuite en de gros morceaux et disposez les dans une assiette ou dans un morceau de baguette (pour la french touch). Versez la sauce et soupoudrez généreusement de curry. Il ne vous reste plus qu’à déguster votre Curry Wurst faite maison ! Et que les végétariens se rassurent, la recette de la Curry Wurst est très facilement transposable sans viande, de nombreuses baraques berlinoises le proposent d’ailleurs déjà aujourd’hui. Pour aller plus loin (ou en manger tout près) : Le Musée de la CurryWurst à Berlin A Paris : Stube, UdoBar, Café Titon, ou encore à la très chouette épicerie allemande Tante Emma-Laden des Halles St Martin
Fleuron de la gastronomie allemande, la Curry Wurst est un incontournable de tout séjour berlinois. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, elle ne tire pas son nom de lointaines influences indiennes, mais de sa sauce, sorte de ketchup soupoudré de curry. Comme de nombreux Allemands et touristes qui en dégustent chaque année 70 millions – tout de même ! – je me suis laissée tentée : portrait du plus célèbre des snacks allemands ! Ah, Berlin, sa Fernsehturm, ses fresques de street-art, son mur… A la simple évocation de la ville m’envahissent des images de ces symboles majeurs, témoins de l’histoire et de la culture berlinoises. Mais un dernier s’ajoute pour ma part : si la belle capitale se place parmi les villes les plus “vege-friendly“, elle reste également un des hauts lieux de consommation de “Curry Wurst”. Quiconque a déjà voyagé en Allemagne n’a pu manquer les petites baraques où sont vendues ces fameuses Curry Wurst. La Currry Wurst est une bratwurst, saucisse cuite faite de viande de veau ou de porc, souvent grillée ou sautée à la poêle. Elle est servie découpée en larges morceaux avec une sauce Curry (sauce tomate ou ketchup assaisonnée avec du curry… d’ailleurs plus sucrée que relevée) et est souvent accompagnée de “Pommes” (des frites) ou servie dans un morceau de pain, à la manière d’un hot dog. Vendue dans des baraques ou des “Stehcafé” (littéralement “debout café”), elle est souvent dégustée sur le pouce ou emportée. Mais attention si vous n’êtes (comme moi) pas très adroit : la sauce Curry Wurst tâche sacrément ! Verdict de cette dégustation ? 100% convaincue par ce snacking “Typisch Deutsch” ! Vous ne vous rendez pas de suite à Berlin ? N’ayez crainte, je vous donne mes conseils pour réaliser votre propre Curry Wurst en deux temps, trois mouvements. Il vous faut pour cette recette : Une ou plusieurs grosses saucisses de Francfort ou équivalent (selon votre appétit) 200 ml de coulis de tomate ou de ketchup 2 oignons 2 c.s d’huile d’olive 1 c.s de moutarde 1 c.s de curry 1 c.c de sucre (pas nécessaire si vous avez opté pour le ketchup) 10 cl de vinaigre sel / poivre Faites revenir les oignons coupés finement avec une cuillère d’huile d’olive dans une casserole. Une fois les oignons dorés, ajoutez le coulis de tomate, la moutarde, le vinaigre et le sucre. Laissez mijoter durant 5 à 10 minutes. Grillez à la poêle les saucisses (déjà cuites). Découpez les ensuite en de gros morceaux et disposez les dans une assiette ou dans un morceau de baguette (pour la french touch). Versez la sauce et soupoudrez généreusement de curry. Il ne vous reste plus qu’à déguster votre Curry Wurst faite maison ! Et que les végétariens se rassurent, la recette de la Curry Wurst est très facilement transposable sans viande, de nombreuses baraques berlinoises le proposent d’ailleurs déjà aujourd’hui. Pour aller plus loin (ou en manger tout près) : Le Musée de la CurryWurst à Berlin A Paris : Stube, UdoBar, Café Titon, ou encore à la très chouette épicerie allemande Tante Emma-Laden des Halles St Martin
15Fév2016 J’ai testé pour vous… le Mochi categories: J'ai testé pour vous... Alors que les festivités du nouvel an chinois battent encore leur plein dans une partie du globe, j’inaugure cette nouvelle rubrique test avec une spécialité asiatique… le Mochi ! Je prends à vrai dire quelques libertés avec la géographie car le mochi est traditionnellement consommé au moment du nouvel an… japonais, qui depuis la fin du 19ème siècle est en fait célébré au 1er janvier du calendrier grégorien. Mais s’il est originaire du Japon, le mochi s’est très bien exporté et est aujourd’hui très populaire dans tout le bassin asiatique, et en particulier à Taiwan, où on le trouve dans tous les night markets et les supermarchés. Le mochi (à ne pas confondre avec le très approchant “moschi moschi” – qui n’est autre que la formule employée au Japon pour répondre au téléphone) est une boule de pâte de riz gluant, fourrée avec une farce sucrée. Il se mange dans une soupe lors d’un Shabu Shabu, ou se déguste frais voire glacé comme goûter ou dessert. Parmi les saveurs les plus fréquentes, on retrouve le thé vert, le sésame, le haricot rouge, la cacahuète ou encore le durian, fruit réputé pour son odeur… puissante ! Il y en a donc pour tous les goûts, à condition que l’on apprécie sa texture visqueuse que l’on retrouve très peu dans les pâtisseries européennes. Mais attention à ne pas en abuser : le petit gâteau gluant affiche un sacré nombre de calories au compteur. Nulle surprise donc qu’il ait donné naissance à l’expression “peau de Mochi” qui désigne une peau douce, ferme mais… rebondie. Où en trouver : – En Asie : dans les night markets, dans les stands proposant des encas ou encore dans les supermarchés (Japon, Taïwan, Corée…) – En France : dans les épiceries exotiques ou les supermarchés asiatiques. A Paris, on peut également les trouver dans leur forme glacée à la Pistacherie. Bon appétit !
Alors que les festivités du nouvel an chinois battent encore leur plein dans une partie du globe, j’inaugure cette nouvelle rubrique test avec une spécialité asiatique… le Mochi ! Je prends à vrai dire quelques libertés avec la géographie car le mochi est traditionnellement consommé au moment du nouvel an… japonais, qui depuis la fin du 19ème siècle est en fait célébré au 1er janvier du calendrier grégorien. Mais s’il est originaire du Japon, le mochi s’est très bien exporté et est aujourd’hui très populaire dans tout le bassin asiatique, et en particulier à Taiwan, où on le trouve dans tous les night markets et les supermarchés. Le mochi (à ne pas confondre avec le très approchant “moschi moschi” – qui n’est autre que la formule employée au Japon pour répondre au téléphone) est une boule de pâte de riz gluant, fourrée avec une farce sucrée. Il se mange dans une soupe lors d’un Shabu Shabu, ou se déguste frais voire glacé comme goûter ou dessert. Parmi les saveurs les plus fréquentes, on retrouve le thé vert, le sésame, le haricot rouge, la cacahuète ou encore le durian, fruit réputé pour son odeur… puissante ! Il y en a donc pour tous les goûts, à condition que l’on apprécie sa texture visqueuse que l’on retrouve très peu dans les pâtisseries européennes. Mais attention à ne pas en abuser : le petit gâteau gluant affiche un sacré nombre de calories au compteur. Nulle surprise donc qu’il ait donné naissance à l’expression “peau de Mochi” qui désigne une peau douce, ferme mais… rebondie. Où en trouver : – En Asie : dans les night markets, dans les stands proposant des encas ou encore dans les supermarchés (Japon, Taïwan, Corée…) – En France : dans les épiceries exotiques ou les supermarchés asiatiques. A Paris, on peut également les trouver dans leur forme glacée à la Pistacherie. Bon appétit !