29Août2018 Meteopodo : choisir sa destination selon la météo categories: Bon Plans - Insolite, Voyage “Et alors, tes vacances, il a fait quel temps?” Je ne vous apprends rien en vous disant qu’au-delà d’être la star du “small talk”, la météo est un sujet sérieux et… crucial en matière de voyage ! Qu’à cela ne tienne, Opodo et Météo France s’associent pour lancer Meteopodo, la plateforme qui vous permet de choisir votre destination en fonction de sa météo. Bon cette année, on ne pourra pas dire qu’on a manqué de soleil. Mais si la canicule et les températures au-dessus de la moyenne nous font oublier le rythme des saisons, je vous préviens tout de suite : WINTER IS COMING ! Et on sera bien content, quand il sera là, de nous souvenir qu’une plateforme a vu le jour pour nous permettre de choisir notre destination de voyage en fonction de son ensoleillement. Meteopodo ressemble à toute autre plateforme de voyagiste : on y entre notre ville de départ, nos dates… Mais le bouton de validation nous rappelle que l’on recherche avant tout le soleil ! S’affiche ensuite une carte avec les destinations recommandées. A sa gauche, différents filtres sont à moduler comme le niveau d’ensoleillement souhaité. Températures attendues, précipitations ou encore intensité du vent sont autant de critères pour espérer mettre toutes les cartes de son côté niveau météo. Une fois notre sélection affinée, il suffit de cliquer sur “voir les vols” pour poursuivre sa réservation. Le site propose également pour les indécis des articles sur les “tops” destinations pour un mois, et des offres spéciales “last minutes”… avec des données météo certainement plus fiables dans ce cas. Une initiative originale qui trouvera sans doute son public, mais qui reste malgré tout à prendre comme une tendance… Et si l’on jette un oeil aux conditions de vente du site, il est bien stipulé que les sociétés ne s’engagent pas à garantir les conditions météo annoncées : c’eut été pour le moins audacieux ! 😉 Petit bonus ! Si la question du lien entre tourisme et météo vous intéresse, n’hésitez pas à lire cette étude de Susanne Becken. La chercheuse, spécialiste du tourisme, analyse très bien le phénomène.
“Et alors, tes vacances, il a fait quel temps?” Je ne vous apprends rien en vous disant qu’au-delà d’être la star du “small talk”, la météo est un sujet sérieux et… crucial en matière de voyage ! Qu’à cela ne tienne, Opodo et Météo France s’associent pour lancer Meteopodo, la plateforme qui vous permet de choisir votre destination en fonction de sa météo. Bon cette année, on ne pourra pas dire qu’on a manqué de soleil. Mais si la canicule et les températures au-dessus de la moyenne nous font oublier le rythme des saisons, je vous préviens tout de suite : WINTER IS COMING ! Et on sera bien content, quand il sera là, de nous souvenir qu’une plateforme a vu le jour pour nous permettre de choisir notre destination de voyage en fonction de son ensoleillement. Meteopodo ressemble à toute autre plateforme de voyagiste : on y entre notre ville de départ, nos dates… Mais le bouton de validation nous rappelle que l’on recherche avant tout le soleil ! S’affiche ensuite une carte avec les destinations recommandées. A sa gauche, différents filtres sont à moduler comme le niveau d’ensoleillement souhaité. Températures attendues, précipitations ou encore intensité du vent sont autant de critères pour espérer mettre toutes les cartes de son côté niveau météo. Une fois notre sélection affinée, il suffit de cliquer sur “voir les vols” pour poursuivre sa réservation. Le site propose également pour les indécis des articles sur les “tops” destinations pour un mois, et des offres spéciales “last minutes”… avec des données météo certainement plus fiables dans ce cas. Une initiative originale qui trouvera sans doute son public, mais qui reste malgré tout à prendre comme une tendance… Et si l’on jette un oeil aux conditions de vente du site, il est bien stipulé que les sociétés ne s’engagent pas à garantir les conditions météo annoncées : c’eut été pour le moins audacieux ! 😉 Petit bonus ! Si la question du lien entre tourisme et météo vous intéresse, n’hésitez pas à lire cette étude de Susanne Becken. La chercheuse, spécialiste du tourisme, analyse très bien le phénomène.
21Août2016 J’ai testé pour vous… les bobos de l’été categories: J'ai testé pour vous..., Voyage N’en déplaise à une certaine Sophie qui crierait au plagiat, cet article aurait pu s’appeler “Les malheurs de Klervi”. Il faut en effet savoir que tout voyage se transforme souvent avec moi en une aventure digne des plus grands moments de François Perrin. Piqûre de méduse, sévères coups de soleil, mal de mer, épines d’oursin, chutes, bosses et bien sûr, nombreux passages à l’hôpital : j’ai testé pour vous… les bobos de l’été ! Le coup de soleil Le contexte Ah, le soleil ! Comme un bon nombre de mes semblables, avec l’arrivée de l’été, je n’ai qu’une envie : profiter de ses rayons et sentir sa chaleur sur ma peau. Oui, mais voilà, sa douce chaleur est trompeuse et serait même plutôt “main de fer dans un gant de velours” ! Avec ma peau sensible et malgré de généreuses couches de crème, je me suis ainsi retrouvée bien trop souvent marquée au fer rouge… Que faire ? Il est essentiel de réhydrater au plus vite votre peau brûlée en appliquant, par couches épaisses, de la biafine ou de l’aloe vera. Si des cloques apparaissent ou si vous souffrez également d’une insolation, rendez vous dans la pharmacie la plus proche ou chez le médecin. Buvez énormément, évitez les heures les plus chaudes de la journée, renouvelez l’application de votre crème très régulièrement et bien sûr… retenez la leçon ! Il est vraiment dommage de brûler littéralement son capital santé, donc une solution : sortez couvert… de crème ou de vêtements. Le mal des transports Le contexte C’est un peu un comble quand on sait combien j’aime voyager mais je suis depuis toujours malade en transports. Et l’ironie est poussée à son paroxysme quand je prends le bateau : j’ai beau être bretonne, fille et petite fille de marin, j’ai l’estomac à l’envers dès qu’il s’agit de prendre la mer. Nul besoin des détails peu glamour, vous l’aurez compris, le transport et moi, ça fait deux. Que faire ? Si comme moi, vous êtes abonnés depuis l’enfance au vogalen et regardez les manèges avec une défiance absolue, prenez quelques précautions. Mangez léger avant de partir, réservez vous un siège près d’une fenêtre, pour pouvoir regarder au loin et surtout pour vous aérer aux premiers signes de malaise. Tournez-vous vers l’homéopathie ou les aides préventives (cocculine, bracelets…) et… ne sortez jamais sans un petit sac à portée de main (on ne sait jamais ;-p). La méduse Le contexte Eté 2015. Je me baigne dans une magnifique crique à deux pas de l’île rousse, l’eau est cristalline et le soleil de plomb. Ma plénitude est soudain interrompue par la venue de Pélagie la méduse – ou Pelagia noctiluca, très belle méduse mauve de son état – qui décide de me piquer. Résultat : un cri tonitruant et un genou doublant de volume sous l’effet de la brûlure. Une chance : la méduse est des plus douloureuses… mais pas bien dangereuse ! Que faire ? Commençons déjà par révéler l’intox : même si c’est très rigolo, faire pipi sur votre ami(e) piqué(e) par une méduse ne servirait à rien. La première chose à faire est de sortir de l’eau (évitez le suraccident !). Puis, pour que la brûlure ne se poursuive pas, il faut enlever les filaments venimeux, à l’aide d’une carte de crédit (quoi, vous ne vous baignez pas avec votre CB?), d’une pince à épiler ou “à défaut”, en étalant du sable sur la plaie pour les piéger et en les faisant tomber avec un bout de carton ou de plastique. Rincez ensuite à l’eau de mer puis – si possible – à l’eau chaude (là, vous serez bien content d’avoir oublié votre bouteille d’eau dans la voiture garée au soleil). Les moustiques Le contexte Pas besoin de dire grand chose à son sujet : avec les embouteillages, le moustique est définitivement l’ennemi numéro 1 des vacanciers. Je n’échappe bien entendu pas à la règle : les moustiques démontrent d’ailleurs un talent fou pour me piquer là où leurs boutons dérangeront le plus. Le dernier en date ? Sur un de mes orteils, pile à l’endroit de la sangle de ma chaussure : idéal pour la journée de marche qui m’attendait ! Que faire ? Vous aimez la citronnelle ? Car le moustique, lui, ne supporte pas cette odeur ! De nombreux produits en contenant sont vendus chaque année mais je vous recommande d’aller vers les plus naturels d’entre eux : pour faire tomber les moustiques comme des mouches, certains fabricants ne lésinent pas sur des additifs pas sympa sympa. Sinon, la plus imparable des protections reste d’être couvert à l’extérieur et d’adopter la moustiquaire à l’intérieur. Si le mal est déjà fait, quelques gouttes d’huile essentielle de lavande aspic devraient pouvoir vous soulager. Sinon, il paraîtrait qu’une rondelle d’oignon calmerait la démangeaison : mélangé à l’odeur de citronnelle, voilà qui devrait être du meilleur effet pour l’été. L’épine d’oursin Le contexte Il fait beau, il fait chaud, et vous décidez d’aller explorer les fonds marins en vous adonnant à une pratique bien sympathique : la plongée avec tuba. Vous vous émerveillez devant la richesse de sa faune et souhaitez observer de plus près les oursins. Manque de chance, une vague arrive, et vous vous retrouvez avec une ou plusieurs épines du charmant animal plantées dans votre corps. La situation vous semble irréaliste ? Ça m’est pourtant arrivé et les accidents d’oursins sont plus fréquents qu’on ne le pense ! Que faire ? Si le premier réflexe serait d’arracher l’épine, il faut savoir quelque chose : les épines d’oursin sont très friables et se brisent souvent en laissant de nombreux morceaux sous la peau. L’idéal est donc de vous rendre au centre médical le plus proche. Le médecin ou l’infirmier pourra vous ôter l’épine… ou choisira, comme dans mon cas, de faire une petite opération locale en la brisant à l’intérieur et en vous prescrivant un antibiotique pour éliminer les résidus. Ouch ! Les points de suture Le contexte L’été, c’est aussi l’occasion de pratiquer de nombreuses activités en plein air. Rando, balades, vélo, canyoning… autant de possibilités de repartir cabossé(e) ! Je vous rassure, je ne visite pas les hôpitaux à chacun de mes séjours, mais je dois reconnaître avoir à mon compteur quelques cicatrices “estivales”. Mes 4 points de suture au Laos pour mon genou m’ouvrant la pommette en pleine descente de tyrolienne demeurent encore aujourd’hui mon souvenir le plus original ! Que faire ? Tentez d’arrêter le saignement s’il est important. Désinfectez dès que possible et… rendez vous dans un centre médical pour faire observer la plaie, et la faire recoudre si besoin. Armez vous de votre carte vitale et de votre assurance maladie si vous êtes à l’étranger, et puis aussi d’un peu de courage (au Laos, ils posent les points sans anesthésie locale : une expérience… mémorable !).
N’en déplaise à une certaine Sophie qui crierait au plagiat, cet article aurait pu s’appeler “Les malheurs de Klervi”. Il faut en effet savoir que tout voyage se transforme souvent avec moi en une aventure digne des plus grands moments de François Perrin. Piqûre de méduse, sévères coups de soleil, mal de mer, épines d’oursin, chutes, bosses et bien sûr, nombreux passages à l’hôpital : j’ai testé pour vous… les bobos de l’été ! Le coup de soleil Le contexte Ah, le soleil ! Comme un bon nombre de mes semblables, avec l’arrivée de l’été, je n’ai qu’une envie : profiter de ses rayons et sentir sa chaleur sur ma peau. Oui, mais voilà, sa douce chaleur est trompeuse et serait même plutôt “main de fer dans un gant de velours” ! Avec ma peau sensible et malgré de généreuses couches de crème, je me suis ainsi retrouvée bien trop souvent marquée au fer rouge… Que faire ? Il est essentiel de réhydrater au plus vite votre peau brûlée en appliquant, par couches épaisses, de la biafine ou de l’aloe vera. Si des cloques apparaissent ou si vous souffrez également d’une insolation, rendez vous dans la pharmacie la plus proche ou chez le médecin. Buvez énormément, évitez les heures les plus chaudes de la journée, renouvelez l’application de votre crème très régulièrement et bien sûr… retenez la leçon ! Il est vraiment dommage de brûler littéralement son capital santé, donc une solution : sortez couvert… de crème ou de vêtements. Le mal des transports Le contexte C’est un peu un comble quand on sait combien j’aime voyager mais je suis depuis toujours malade en transports. Et l’ironie est poussée à son paroxysme quand je prends le bateau : j’ai beau être bretonne, fille et petite fille de marin, j’ai l’estomac à l’envers dès qu’il s’agit de prendre la mer. Nul besoin des détails peu glamour, vous l’aurez compris, le transport et moi, ça fait deux. Que faire ? Si comme moi, vous êtes abonnés depuis l’enfance au vogalen et regardez les manèges avec une défiance absolue, prenez quelques précautions. Mangez léger avant de partir, réservez vous un siège près d’une fenêtre, pour pouvoir regarder au loin et surtout pour vous aérer aux premiers signes de malaise. Tournez-vous vers l’homéopathie ou les aides préventives (cocculine, bracelets…) et… ne sortez jamais sans un petit sac à portée de main (on ne sait jamais ;-p). La méduse Le contexte Eté 2015. Je me baigne dans une magnifique crique à deux pas de l’île rousse, l’eau est cristalline et le soleil de plomb. Ma plénitude est soudain interrompue par la venue de Pélagie la méduse – ou Pelagia noctiluca, très belle méduse mauve de son état – qui décide de me piquer. Résultat : un cri tonitruant et un genou doublant de volume sous l’effet de la brûlure. Une chance : la méduse est des plus douloureuses… mais pas bien dangereuse ! Que faire ? Commençons déjà par révéler l’intox : même si c’est très rigolo, faire pipi sur votre ami(e) piqué(e) par une méduse ne servirait à rien. La première chose à faire est de sortir de l’eau (évitez le suraccident !). Puis, pour que la brûlure ne se poursuive pas, il faut enlever les filaments venimeux, à l’aide d’une carte de crédit (quoi, vous ne vous baignez pas avec votre CB?), d’une pince à épiler ou “à défaut”, en étalant du sable sur la plaie pour les piéger et en les faisant tomber avec un bout de carton ou de plastique. Rincez ensuite à l’eau de mer puis – si possible – à l’eau chaude (là, vous serez bien content d’avoir oublié votre bouteille d’eau dans la voiture garée au soleil). Les moustiques Le contexte Pas besoin de dire grand chose à son sujet : avec les embouteillages, le moustique est définitivement l’ennemi numéro 1 des vacanciers. Je n’échappe bien entendu pas à la règle : les moustiques démontrent d’ailleurs un talent fou pour me piquer là où leurs boutons dérangeront le plus. Le dernier en date ? Sur un de mes orteils, pile à l’endroit de la sangle de ma chaussure : idéal pour la journée de marche qui m’attendait ! Que faire ? Vous aimez la citronnelle ? Car le moustique, lui, ne supporte pas cette odeur ! De nombreux produits en contenant sont vendus chaque année mais je vous recommande d’aller vers les plus naturels d’entre eux : pour faire tomber les moustiques comme des mouches, certains fabricants ne lésinent pas sur des additifs pas sympa sympa. Sinon, la plus imparable des protections reste d’être couvert à l’extérieur et d’adopter la moustiquaire à l’intérieur. Si le mal est déjà fait, quelques gouttes d’huile essentielle de lavande aspic devraient pouvoir vous soulager. Sinon, il paraîtrait qu’une rondelle d’oignon calmerait la démangeaison : mélangé à l’odeur de citronnelle, voilà qui devrait être du meilleur effet pour l’été. L’épine d’oursin Le contexte Il fait beau, il fait chaud, et vous décidez d’aller explorer les fonds marins en vous adonnant à une pratique bien sympathique : la plongée avec tuba. Vous vous émerveillez devant la richesse de sa faune et souhaitez observer de plus près les oursins. Manque de chance, une vague arrive, et vous vous retrouvez avec une ou plusieurs épines du charmant animal plantées dans votre corps. La situation vous semble irréaliste ? Ça m’est pourtant arrivé et les accidents d’oursins sont plus fréquents qu’on ne le pense ! Que faire ? Si le premier réflexe serait d’arracher l’épine, il faut savoir quelque chose : les épines d’oursin sont très friables et se brisent souvent en laissant de nombreux morceaux sous la peau. L’idéal est donc de vous rendre au centre médical le plus proche. Le médecin ou l’infirmier pourra vous ôter l’épine… ou choisira, comme dans mon cas, de faire une petite opération locale en la brisant à l’intérieur et en vous prescrivant un antibiotique pour éliminer les résidus. Ouch ! Les points de suture Le contexte L’été, c’est aussi l’occasion de pratiquer de nombreuses activités en plein air. Rando, balades, vélo, canyoning… autant de possibilités de repartir cabossé(e) ! Je vous rassure, je ne visite pas les hôpitaux à chacun de mes séjours, mais je dois reconnaître avoir à mon compteur quelques cicatrices “estivales”. Mes 4 points de suture au Laos pour mon genou m’ouvrant la pommette en pleine descente de tyrolienne demeurent encore aujourd’hui mon souvenir le plus original ! Que faire ? Tentez d’arrêter le saignement s’il est important. Désinfectez dès que possible et… rendez vous dans un centre médical pour faire observer la plaie, et la faire recoudre si besoin. Armez vous de votre carte vitale et de votre assurance maladie si vous êtes à l’étranger, et puis aussi d’un peu de courage (au Laos, ils posent les points sans anesthésie locale : une expérience… mémorable !).