27Avr2018 Sound Travels : explorez les sons de l’Amérique categories: Bon Plans - Insolite, Voyage Sea, sex and … sounds ! Vous n’avez plus de jours à solder et rêviez pourtant de vous envoler ? Voyagez avec vos oreilles avec Expedia, qui propose avec Sound Travels une exploration audio des Etats-Unis. Mettez votre casque, fermez les yeux et envolez-vous pour un voyage sonore. Las Vegas, Miami, Austin, Orange County : ne craignez pas les kilomètres, cette fois, ce sont vos oreilles qui partent en voyage. Expedia lance Sound Travels, une expérience audio immersive qui met en valeur la diversité des ambiances et activités des Etats-Unis ! Sortie à la fête foraine, concert, virée en mer, verre en ville, visite de musée : on s’y croirait ! L’enregistrement 3D des ambiances sonores plonge l’auditeur au coeur de l’instant. Une animation écran donne des indices visuels du lieu et de l’activité. Images, textes et vidéos accompagnent chaque extrait sonore pour prolonger l’expérience et informer sur la destination. Un parcours sonore inspiré du film America’s Musical Journey, dont le narrateur n’est autre que le merveilleux Morgan Freeman, qui explore l’histoire des Etats-Unis à travers la musique. Sortez vos écouteurs : embarquement immédiat !
Sea, sex and … sounds ! Vous n’avez plus de jours à solder et rêviez pourtant de vous envoler ? Voyagez avec vos oreilles avec Expedia, qui propose avec Sound Travels une exploration audio des Etats-Unis. Mettez votre casque, fermez les yeux et envolez-vous pour un voyage sonore. Las Vegas, Miami, Austin, Orange County : ne craignez pas les kilomètres, cette fois, ce sont vos oreilles qui partent en voyage. Expedia lance Sound Travels, une expérience audio immersive qui met en valeur la diversité des ambiances et activités des Etats-Unis ! Sortie à la fête foraine, concert, virée en mer, verre en ville, visite de musée : on s’y croirait ! L’enregistrement 3D des ambiances sonores plonge l’auditeur au coeur de l’instant. Une animation écran donne des indices visuels du lieu et de l’activité. Images, textes et vidéos accompagnent chaque extrait sonore pour prolonger l’expérience et informer sur la destination. Un parcours sonore inspiré du film America’s Musical Journey, dont le narrateur n’est autre que le merveilleux Morgan Freeman, qui explore l’histoire des Etats-Unis à travers la musique. Sortez vos écouteurs : embarquement immédiat !
01Fév2018 Conduire aux Etats-Unis categories: Californie, Voyage Drivin’ in the USAAAA ! Quand on pense aux Etats-Unis, on pense souvent road-trip, highway 101 et pointes de vitesse sur la route 66 dans des décors dignes d’Hollywood. Mais avant que ne démarre cet American dream demeure un essentiel : maîtriser la conduite U.S. Voici 10 conseils pour vous préparer au mieux à conduire aux Etats-Unis ! 1- Règle n°1 : avoir son permis Un basique mais il est toujours de bon ton de le rappeler ! 😉 Pour des séjours de moins de 3 mois, un permis de conduire européen peut suffire pour louer et conduire une voiture. En dehors de la Floride qui l’exige, le permis international n’est pas obligatoire mais je le recommande fortement. Traduit en différentes langues, il peut être présenté en cas de contrôle aux forces de police en accompagnement de votre permis français. Attention, seul, il ne vaut rien car il n’a pas la valeur des permis locaux. 2 – U.S.AFE Thelma et Louise ne sont pas un bon exemple (mais en même temps *spoiler* ça ne finit pas très bien pour elles) : le port de la ceinture de sécurité est obligatoire pour tous les passagers du véhicule. On respecte également la sécurité des piétons : si vous ne vous arrêtez pas à un passage piéton lorsqu’une personne s’apprête à traverser, cela peut vous coûter 200$ d’amende ! 3 – Se débarrasser de certains automatismes Aux Etats-Unis, on roule en automatique ! Et pour ceux qui ont l’habitude des boîtes manuelles, un temps d’adaptation sera nécessaire. Voici quelques infos importantes à connaître avant de vous lancer sur la route : C’est directement la boîte qui gère l’embrayage et le passage des vitesses et le levier de vitesse est donc simplifié. Vous trouverez les symboles suivants : D pour Drive (marche avant) R pour Reverse (marche arrière) N pour Neutral (point mort) P pour Parking (l’équivalent de notre frein à main). Veillez à ce que le levier soit bien enclenché sur P quand votre voiture est à l’arrêt, garée : si ce n’est pas le cas, vous ne pourrez pas retirer la clef du tableau. Pour avancer : appuyez sur le frein et passez le levier sur “D”. La voiture avancera à mesure que vous relâcherez la pédale de frein. De même, pour vous arrêter, appuyez simplement sur le frein. Un rappel important : on ne se sert pas du pied gauche en automatique ! Laissez le au repos, et utilisez votre pied droit pour l’accélérateur et le frein. Si vos vieilles habitudes de boîte manuelle vous reprennent, vous risquez d’appuyer sur la pédale de frein avec votre pied gauche… et piler au beau milieu la route. N’hésitez pas à demander à la compagnie de location de vous expliquer les différentes fonctions supplémentaires (régulateur de vitesse, options…) ou, à l’ancienne, jetez un oeil au mode d’emploi du véhicule avant de prendre la route ! 4 – Types de route Il y a de nombreux péages aux Etats-Unis. Si vous connaissez déjà votre itinéraire, jetez un oeil en ligne ou demandez à votre loueur si les routes que vous prévoyez de prendre sont concernées. Si c’est le cas, deux options s’offrent à vous : demander si votre véhicule est équipé d’un boîtier de péage (et dans ce cas, voyez les modalités avec l’agence de location) ou munissez-vous de liquide (coupures de 1,5 et 10$) car seul le paiement cash est prévu pour les touristes. Pour identifier les différents types de route, référez vous aux lettres qui précèdent leur numéro : I pour les “Interstates”, des autoroutes qui traversent plusieurs Etats ; US pour “US Highways”, les routes nationales fédérales ; Les deux premières initiales de l’Etat traversé ou le nom de l’Etat pour les routes nationales d’Etat. Contrairement aux deux premières catégories, elles ont pour spécificité d’être circonscrites à un seul et même Etat. Inspirés du drapeau de l’Etat, de sa forme, ou bien ronds comme en Iowa ou au Mississipi, les panneaux les désignant varient vraiment d’un Etat à l’autre. Au niveau de l’Etat, il existe aussi des routes moins importantes, entretenues et désignées au niveau territorial ou local (county roads). BS pour les Business States ou périphériques. 5 – Limitations de vitesse Il ne faut pas croire tout ce qu’on vous dit dans les films : si la plupart des acteurs font chauffer leur compteur quand ils sont en roadtrip, je ne vous conseille pas d’en faire autant. La vitesse maximale est de 65 milles/h (environ 100 km/h, sur autoroute) et elle est réduite quand vous êtes en agglomération. Des panneaux indiquent les différentes limites mais ils ne sont pas souvent répétés, ouvrez l’oeil. Petit tips pour vous rendre compte des distances parcourues : 1 mile = 1.61 km 10 miles = 16 km 31 miles = 50 km 62 miles = 100 km 124 miles = 200 km 6. Panneaux et exceptions Les panneaux sont souvent assez parlants et ressemblent à ceux que l’on retrouve en Europe : interdictions de tourner à gauche ou droite, sens uniques… Mais quelques spécificités sont à noter : Le virage à droite au feu rouge : sauf contre-ordre ou panneau, il est généralement permis partout aux États-Unis. Il doit bien sûr se faire en bonne intelligence : attention aux piétons et aux autres voitures ! le feu vert clignotant : un feu vert clignotant indique que nous avons priorité pour tourner à gauche en toute sécurité. STOP (in the name of looooove) : quand il y a une intersection avec 4 stops (oui, oui, ça arrive), le premier arrivé est le premier à repartir. Et ainsi de suite. Les panneaux routiers n’indiquent pas toujours les destinations : la plupart n’indiqueront que les numéros des autoroutes. Avant de partir en virée, essayez de mémoriser les numéros des principales voies de votre itinéraire. A noter, les numéros des sorties d’autoroute correspondent aux nombre de miles auxquels nous sommes rendus. Entre la sortie 10 et la sortie 20, il y aura donc 10 miles : pratique pour savoir quelle distance parcourir avant de sortir. 7 – Stationner Sans surprise, le stationnement est particulièrement un sujet dans les grandes villes. Et à San Francisco, en plus de la place s’ajoute le challenge du dénivelé… Renseignez-vous sur les parkings souterrains ou à étages : malgré le fait qu’ils soient payants, ils peuvent vous éviter bien des angoisses dans les grandes villes. Bon à savoir, les parcmètres sont souvent gratuits le dimanche. Les règles de stationnement sont pour la plupart les mêmes qu’en Europe mais il est important de bien regarder les panneaux (pour s’éviter des amendes) et de stationner dans le sens de la circulation : il est interdit de se garer en sens inverse. 8 – Carburer Il vous faudra souvent payer avant de pouvoir faire le plein : si vous payez avec votre carte une somme plus importante que ce que vous consommez réellement, le caissier de la station service recréditera automatiquement votre compte. Il est également tout à fait possible de payer en liquide dans la plupart des stations service. A noter, vous perdrez peut-être vos repères en regardant les prix : ici la mesure ne se fait pas au litre mais… au gallon ! Un gallon fait environ 3,8 litres. Pour ce qui est du carburant, demandez à votre loueur de vous le préciser au moment de la prise en charge du véhicule. La plupart du temps, ils louent des voitures essence, mais on n’est pas à l’abri d’une exception. 9 – *NOT* To do List : Dans cette short list de recommandations, il fallait bien qu’il y ait une liste de choses à ne pas faire. Elle n’est pas exhaustive, mais cela peut déjà vous donner une idée de ce qu’il faut absolument éviter ! L’alcool est limité à 0.08g : on surveille sa consommation et on passe le volant à quelqu’un si on dépasse la limite légale. Le téléphone au volant : on oublie ! En cas d’incident ou d’accident, il est important de ne pas repartir sans votre rapport de police. Ce document sera demandé par votre loueur s’il y a des frais à prendre en charge par l’assurance, et sans, vous pourriez vous retrouver bredouilles. Il est interdit de s’arrêter ou de se garer à moins de 5 mètres d’une borne-incendie ou de l’entrée d’une caserne de pompier : les incendies sont fréquents dans de nombreux Etats du pays et votre véhicule pourrait représenter une gêne. Si vous ne payez pas la taxe due à un péage, une photo de la plaque de la voiture sera prise et la facture sera directement envoyée au loueur. Qui ne tardera pas à vous les refacturer, en y ajoutant de juteux frais de gestion ! Enfin, dernier “not to…” : en Alabama, il est rigoureusement interdit de conduire une voiture avec les yeux bandés. J’imagine que ça n’était pas nécessairement dans vos projets mais un homme averti en vaut deux! 🙂 10 – Profiter ! Une fois ces quelques conseils en tête, il ne vous reste qu’une chose à faire : profiter ! Me and my CheV (se prononce Ché-Vi) avons formé un sacré duo sur les routes californiennes et avec les quelques précautions d’usage, la conduite aux Etats-Unis est un vrai plaisir !
Drivin’ in the USAAAA ! Quand on pense aux Etats-Unis, on pense souvent road-trip, highway 101 et pointes de vitesse sur la route 66 dans des décors dignes d’Hollywood. Mais avant que ne démarre cet American dream demeure un essentiel : maîtriser la conduite U.S. Voici 10 conseils pour vous préparer au mieux à conduire aux Etats-Unis ! 1- Règle n°1 : avoir son permis Un basique mais il est toujours de bon ton de le rappeler ! 😉 Pour des séjours de moins de 3 mois, un permis de conduire européen peut suffire pour louer et conduire une voiture. En dehors de la Floride qui l’exige, le permis international n’est pas obligatoire mais je le recommande fortement. Traduit en différentes langues, il peut être présenté en cas de contrôle aux forces de police en accompagnement de votre permis français. Attention, seul, il ne vaut rien car il n’a pas la valeur des permis locaux. 2 – U.S.AFE Thelma et Louise ne sont pas un bon exemple (mais en même temps *spoiler* ça ne finit pas très bien pour elles) : le port de la ceinture de sécurité est obligatoire pour tous les passagers du véhicule. On respecte également la sécurité des piétons : si vous ne vous arrêtez pas à un passage piéton lorsqu’une personne s’apprête à traverser, cela peut vous coûter 200$ d’amende ! 3 – Se débarrasser de certains automatismes Aux Etats-Unis, on roule en automatique ! Et pour ceux qui ont l’habitude des boîtes manuelles, un temps d’adaptation sera nécessaire. Voici quelques infos importantes à connaître avant de vous lancer sur la route : C’est directement la boîte qui gère l’embrayage et le passage des vitesses et le levier de vitesse est donc simplifié. Vous trouverez les symboles suivants : D pour Drive (marche avant) R pour Reverse (marche arrière) N pour Neutral (point mort) P pour Parking (l’équivalent de notre frein à main). Veillez à ce que le levier soit bien enclenché sur P quand votre voiture est à l’arrêt, garée : si ce n’est pas le cas, vous ne pourrez pas retirer la clef du tableau. Pour avancer : appuyez sur le frein et passez le levier sur “D”. La voiture avancera à mesure que vous relâcherez la pédale de frein. De même, pour vous arrêter, appuyez simplement sur le frein. Un rappel important : on ne se sert pas du pied gauche en automatique ! Laissez le au repos, et utilisez votre pied droit pour l’accélérateur et le frein. Si vos vieilles habitudes de boîte manuelle vous reprennent, vous risquez d’appuyer sur la pédale de frein avec votre pied gauche… et piler au beau milieu la route. N’hésitez pas à demander à la compagnie de location de vous expliquer les différentes fonctions supplémentaires (régulateur de vitesse, options…) ou, à l’ancienne, jetez un oeil au mode d’emploi du véhicule avant de prendre la route ! 4 – Types de route Il y a de nombreux péages aux Etats-Unis. Si vous connaissez déjà votre itinéraire, jetez un oeil en ligne ou demandez à votre loueur si les routes que vous prévoyez de prendre sont concernées. Si c’est le cas, deux options s’offrent à vous : demander si votre véhicule est équipé d’un boîtier de péage (et dans ce cas, voyez les modalités avec l’agence de location) ou munissez-vous de liquide (coupures de 1,5 et 10$) car seul le paiement cash est prévu pour les touristes. Pour identifier les différents types de route, référez vous aux lettres qui précèdent leur numéro : I pour les “Interstates”, des autoroutes qui traversent plusieurs Etats ; US pour “US Highways”, les routes nationales fédérales ; Les deux premières initiales de l’Etat traversé ou le nom de l’Etat pour les routes nationales d’Etat. Contrairement aux deux premières catégories, elles ont pour spécificité d’être circonscrites à un seul et même Etat. Inspirés du drapeau de l’Etat, de sa forme, ou bien ronds comme en Iowa ou au Mississipi, les panneaux les désignant varient vraiment d’un Etat à l’autre. Au niveau de l’Etat, il existe aussi des routes moins importantes, entretenues et désignées au niveau territorial ou local (county roads). BS pour les Business States ou périphériques. 5 – Limitations de vitesse Il ne faut pas croire tout ce qu’on vous dit dans les films : si la plupart des acteurs font chauffer leur compteur quand ils sont en roadtrip, je ne vous conseille pas d’en faire autant. La vitesse maximale est de 65 milles/h (environ 100 km/h, sur autoroute) et elle est réduite quand vous êtes en agglomération. Des panneaux indiquent les différentes limites mais ils ne sont pas souvent répétés, ouvrez l’oeil. Petit tips pour vous rendre compte des distances parcourues : 1 mile = 1.61 km 10 miles = 16 km 31 miles = 50 km 62 miles = 100 km 124 miles = 200 km 6. Panneaux et exceptions Les panneaux sont souvent assez parlants et ressemblent à ceux que l’on retrouve en Europe : interdictions de tourner à gauche ou droite, sens uniques… Mais quelques spécificités sont à noter : Le virage à droite au feu rouge : sauf contre-ordre ou panneau, il est généralement permis partout aux États-Unis. Il doit bien sûr se faire en bonne intelligence : attention aux piétons et aux autres voitures ! le feu vert clignotant : un feu vert clignotant indique que nous avons priorité pour tourner à gauche en toute sécurité. STOP (in the name of looooove) : quand il y a une intersection avec 4 stops (oui, oui, ça arrive), le premier arrivé est le premier à repartir. Et ainsi de suite. Les panneaux routiers n’indiquent pas toujours les destinations : la plupart n’indiqueront que les numéros des autoroutes. Avant de partir en virée, essayez de mémoriser les numéros des principales voies de votre itinéraire. A noter, les numéros des sorties d’autoroute correspondent aux nombre de miles auxquels nous sommes rendus. Entre la sortie 10 et la sortie 20, il y aura donc 10 miles : pratique pour savoir quelle distance parcourir avant de sortir. 7 – Stationner Sans surprise, le stationnement est particulièrement un sujet dans les grandes villes. Et à San Francisco, en plus de la place s’ajoute le challenge du dénivelé… Renseignez-vous sur les parkings souterrains ou à étages : malgré le fait qu’ils soient payants, ils peuvent vous éviter bien des angoisses dans les grandes villes. Bon à savoir, les parcmètres sont souvent gratuits le dimanche. Les règles de stationnement sont pour la plupart les mêmes qu’en Europe mais il est important de bien regarder les panneaux (pour s’éviter des amendes) et de stationner dans le sens de la circulation : il est interdit de se garer en sens inverse. 8 – Carburer Il vous faudra souvent payer avant de pouvoir faire le plein : si vous payez avec votre carte une somme plus importante que ce que vous consommez réellement, le caissier de la station service recréditera automatiquement votre compte. Il est également tout à fait possible de payer en liquide dans la plupart des stations service. A noter, vous perdrez peut-être vos repères en regardant les prix : ici la mesure ne se fait pas au litre mais… au gallon ! Un gallon fait environ 3,8 litres. Pour ce qui est du carburant, demandez à votre loueur de vous le préciser au moment de la prise en charge du véhicule. La plupart du temps, ils louent des voitures essence, mais on n’est pas à l’abri d’une exception. 9 – *NOT* To do List : Dans cette short list de recommandations, il fallait bien qu’il y ait une liste de choses à ne pas faire. Elle n’est pas exhaustive, mais cela peut déjà vous donner une idée de ce qu’il faut absolument éviter ! L’alcool est limité à 0.08g : on surveille sa consommation et on passe le volant à quelqu’un si on dépasse la limite légale. Le téléphone au volant : on oublie ! En cas d’incident ou d’accident, il est important de ne pas repartir sans votre rapport de police. Ce document sera demandé par votre loueur s’il y a des frais à prendre en charge par l’assurance, et sans, vous pourriez vous retrouver bredouilles. Il est interdit de s’arrêter ou de se garer à moins de 5 mètres d’une borne-incendie ou de l’entrée d’une caserne de pompier : les incendies sont fréquents dans de nombreux Etats du pays et votre véhicule pourrait représenter une gêne. Si vous ne payez pas la taxe due à un péage, une photo de la plaque de la voiture sera prise et la facture sera directement envoyée au loueur. Qui ne tardera pas à vous les refacturer, en y ajoutant de juteux frais de gestion ! Enfin, dernier “not to…” : en Alabama, il est rigoureusement interdit de conduire une voiture avec les yeux bandés. J’imagine que ça n’était pas nécessairement dans vos projets mais un homme averti en vaut deux! 🙂 10 – Profiter ! Une fois ces quelques conseils en tête, il ne vous reste qu’une chose à faire : profiter ! Me and my CheV (se prononce Ché-Vi) avons formé un sacré duo sur les routes californiennes et avec les quelques précautions d’usage, la conduite aux Etats-Unis est un vrai plaisir !
01Jan2018 5 remèdes pour lendemain de fête, inspirés du monde entier categories: Bon Plans - Insolite, Voyage Après avoir revisité les coutumes du monde entier pour le nouvel an… voici un article qui peut s’avérer utile pour le lendemain ! La soirée a été un peu trop arrosée et votre corps vous le fait payer ? Découvrez 5 astuces du monde entier pour vous remettre sur pied ! L’oeuf ou la poule ? Philippines, Afrique du Sud, Etats-Unis Rassurez-vous, je ne vous demande pas de résoudre cette énigme séculaire, je ne voudrais pas risquer de renforcer vos maux de tête ! Ici, plus que la poule, ce sont les oeufs qui nous intéressent. Riches en cystéine, ils aident à réduire les effets de l’acétaldéhyde, composé qui serait à l’origine de la gueule de bois. Parmi les fêtards du monde entier qui adoptent la méthode “oeufs”, on dénombre les Philippins, qui consomment des oeufs de canard fécondés. Les Sud-Africains, eux, optent pour la formule “maxi-faim” avec une omelette d’oeufs d’Autruche. Enfin, les Américains, qui dégustent des “prairie oysters“, cocktails à base de ketchup, de vinaigre, de tabasco et d’un jaune d’oeuf ! Aux grands maux, les Gras remèdes ! Royaume-Uni, Québec, Croatie Je ne vous apprends rien : il est commun d’entendre que le gras éponge l’alcool. Si la technique n’est pas éprouvée, elle est du moins recommandée par nombre de nos voisins ! Outre-Manche, nos amis les Anglais se servent en lendemain de fêtes un traditionnel “English Breakfast”… intégralement frit ! Les Québécois, quant à eux, mangent une poutine, spécialité locale à base de frites, de cheddar et de sauce. En Croatie, c’est le börek qui l’emporte : cette pâte feuilletée frite fourrée avec du fromage, des épinards ou de la viande hachée se trouve dans une grande partie des balkans et se mange sans faim, gueule de bois ou pas ! Retour à l’eau Allemagne, Norvège, Pérou Les Allemands et les Norvégiens adoptent une stratégie originale pour aborder leur retour à l’eau : manger du poisson ! En Allemagne, le katerfrühstuck (ou petit déjeuner de gueule de bois) se compose souvent de morceaux de harengs marinés, accompagnés de cornichons et d’oignons. En Norvège, le lutefisk est un plat de poisson blanc séché puis macéré dans de la potasse. L’odeur dégage les narines – ce qui peut être un vrai challenge si vous vous sentez nauséeux – mais il paraît que c’est délicieux ! Les Péruviens mangent, eux, un bon ceviche au leche de tigre : plus que le poisson, ce sont surtout les effets du citron vert, du gingembre et des épices et piments qui sont recherchés : l’acide citrique et le fructose qu’ils contiennent nettoient le foie et boostent le système. Soigner le mal par le mal Namibie, Danemark Je ne voudrais pas vous pousser à la consommation mais… certains recommandent de poursuivre sur une note alcoolisée. En Namibie, il est d’usage de boire un “lait de buffle” au lendemain d’une soirée arrosée : crème fraîche, crème entière et… deux types de rhums ! Les Danois, quant à eux, se tournent vers une boisson bien nommée : la reparationsbajer ou… bière de réparation. C’est vrai qu’il faut s’hydrater… “Mangez – buvez” Bangladesh, Pologne, Japon, Mongolie Enfin, une mesure façon “5 fruits et légumes par jour” que validerait le Ministère de la santé ! La noix de coco aurait un effet positif sur les électrolytes et le niveau de potassium. Le lendemain d’une soirée, les Indonésiens déjeunent ainsi d’un kaya toast, pain brioché servi avec de la confiture de noix de coco (kaya), du sucre, du lait de coco et des œufs, et les Bangladais se servent, quant à eux, de larges verres d’eau de coco. En Pologne, c’est une boisson un peu moins exotique (et appétissante) qui est recommandée : le jus de cornichon ! Les Japonais, eux, mangent des umeboshis, prunes amères marinées, qui auraient pour vertus de stimuler le foie et de réduire les nausées. Pour finir, place au cocktail plus qu’insolite que se servent les Mongols quand ils ont trop fait la fête : un jus de tomate… avec des yeux de moutons. Peut-être est-ce leur manière de se résoudre à la résolution du “plus jamais ça!”. – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – Allez, après tout, comme on dit “être saoul, c’est pour une nuit” : bon courage pour vous remettre de la soirée et “cheers” pour cette nouvelle année 😉 HAPPY 2018 !
Après avoir revisité les coutumes du monde entier pour le nouvel an… voici un article qui peut s’avérer utile pour le lendemain ! La soirée a été un peu trop arrosée et votre corps vous le fait payer ? Découvrez 5 astuces du monde entier pour vous remettre sur pied ! L’oeuf ou la poule ? Philippines, Afrique du Sud, Etats-Unis Rassurez-vous, je ne vous demande pas de résoudre cette énigme séculaire, je ne voudrais pas risquer de renforcer vos maux de tête ! Ici, plus que la poule, ce sont les oeufs qui nous intéressent. Riches en cystéine, ils aident à réduire les effets de l’acétaldéhyde, composé qui serait à l’origine de la gueule de bois. Parmi les fêtards du monde entier qui adoptent la méthode “oeufs”, on dénombre les Philippins, qui consomment des oeufs de canard fécondés. Les Sud-Africains, eux, optent pour la formule “maxi-faim” avec une omelette d’oeufs d’Autruche. Enfin, les Américains, qui dégustent des “prairie oysters“, cocktails à base de ketchup, de vinaigre, de tabasco et d’un jaune d’oeuf ! Aux grands maux, les Gras remèdes ! Royaume-Uni, Québec, Croatie Je ne vous apprends rien : il est commun d’entendre que le gras éponge l’alcool. Si la technique n’est pas éprouvée, elle est du moins recommandée par nombre de nos voisins ! Outre-Manche, nos amis les Anglais se servent en lendemain de fêtes un traditionnel “English Breakfast”… intégralement frit ! Les Québécois, quant à eux, mangent une poutine, spécialité locale à base de frites, de cheddar et de sauce. En Croatie, c’est le börek qui l’emporte : cette pâte feuilletée frite fourrée avec du fromage, des épinards ou de la viande hachée se trouve dans une grande partie des balkans et se mange sans faim, gueule de bois ou pas ! Retour à l’eau Allemagne, Norvège, Pérou Les Allemands et les Norvégiens adoptent une stratégie originale pour aborder leur retour à l’eau : manger du poisson ! En Allemagne, le katerfrühstuck (ou petit déjeuner de gueule de bois) se compose souvent de morceaux de harengs marinés, accompagnés de cornichons et d’oignons. En Norvège, le lutefisk est un plat de poisson blanc séché puis macéré dans de la potasse. L’odeur dégage les narines – ce qui peut être un vrai challenge si vous vous sentez nauséeux – mais il paraît que c’est délicieux ! Les Péruviens mangent, eux, un bon ceviche au leche de tigre : plus que le poisson, ce sont surtout les effets du citron vert, du gingembre et des épices et piments qui sont recherchés : l’acide citrique et le fructose qu’ils contiennent nettoient le foie et boostent le système. Soigner le mal par le mal Namibie, Danemark Je ne voudrais pas vous pousser à la consommation mais… certains recommandent de poursuivre sur une note alcoolisée. En Namibie, il est d’usage de boire un “lait de buffle” au lendemain d’une soirée arrosée : crème fraîche, crème entière et… deux types de rhums ! Les Danois, quant à eux, se tournent vers une boisson bien nommée : la reparationsbajer ou… bière de réparation. C’est vrai qu’il faut s’hydrater… “Mangez – buvez” Bangladesh, Pologne, Japon, Mongolie Enfin, une mesure façon “5 fruits et légumes par jour” que validerait le Ministère de la santé ! La noix de coco aurait un effet positif sur les électrolytes et le niveau de potassium. Le lendemain d’une soirée, les Indonésiens déjeunent ainsi d’un kaya toast, pain brioché servi avec de la confiture de noix de coco (kaya), du sucre, du lait de coco et des œufs, et les Bangladais se servent, quant à eux, de larges verres d’eau de coco. En Pologne, c’est une boisson un peu moins exotique (et appétissante) qui est recommandée : le jus de cornichon ! Les Japonais, eux, mangent des umeboshis, prunes amères marinées, qui auraient pour vertus de stimuler le foie et de réduire les nausées. Pour finir, place au cocktail plus qu’insolite que se servent les Mongols quand ils ont trop fait la fête : un jus de tomate… avec des yeux de moutons. Peut-être est-ce leur manière de se résoudre à la résolution du “plus jamais ça!”. – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – Allez, après tout, comme on dit “être saoul, c’est pour une nuit” : bon courage pour vous remettre de la soirée et “cheers” pour cette nouvelle année 😉 HAPPY 2018 !
06Oct2017 Postcard from #1 – CALIFORNIA categories: Californie, Voyage Comme je vous l’expliquais juste ici, je suis en ce moment même en Californie, et toutes les découvertes que j’y fais m’ont donné envie de tester un nouveau type d’article : les cartes postales (ou postcards). L’idée ? Un format bref (si tant est que j’en sois capable), des réactions “à chaud” et le charme de l’épistolaire. Ready ? Dear friend, I send you a postcard from …. CALIFORNIA ! Le point Météo Je t’écris de Californie où il fait beau et chaud. Enfin, je m’emballe peut-être un peu : si la Californie mérite son nom de Golden Coast (et pas que pour son passé de chercheurs d’or), il ne faut pas oublier sa petite laine. Le climat de San Francisco est surprenant : on peut en un instant passer du chaud au froid en raison du vent qu’il y souffle. Et la température chute aussi avec l’altitude dès qu’on se lance dans une randonnée dans les parcs nationaux. Mais rassure toi maman, je suis bien couverte ! Food Porn La Californie ne faillit pas à sa réputation healthy ! Pour ne pas faillir à la mienne, je mange burger veggies et quinoa bowls et me fais plaisir avec des fruits et légumes locaux (NB : les raisins secs SunMaid sont tout bonnement délicieux!). Les supermarchés favorisant les circuits courts et les restaurants “locavores” sont également légions. Dans le marché de l’embarcadère de San Francisco, on trouve ainsi un grand nombre de produits de fermes californiennes mais aussi… de produits de la mer, qui se trouve à deux pas. Les bars à huitres et sandwichs au crabe sont ainsi des incontournables d’un séjour dans la “bay”. Et les burgers (à la viande cette fois) sont indéniablement à tester. En un mot : Miam ! Going Wild Les grands espaces californien font la part belle à la nature. De nombreuses espèces apprécient eux aussi le doux climat et les paysages fantastiques de l’état : on y trouve de nombreux écureuils, biches, rapaces mais également des… ours ! Au détour d’une balade dans le parc des Séquoia géants, je suis d’ailleurs tombé sur un d’entre eux. Heureusement pour moi, qui aie une fâcheuse tendance à cumuler les mésaventures animalières (ou les mésaventures tout court), il était bien trop occupé par le morceau de bois avec lequel il jouait pour m’accorder son attention. Bearidique ! Random Facts Bref, pour l’instant, tout se passe bien, mais je note tout de même pour les prochaines fois : de m’entraîner aux squats avant de partir : je ne compte plus le nombre de marches que j’ai gravies depuis mon arrivée en Californie ! Les collines de San Francisco (et notamment celle de North Beach et Russian Hill) et les trails de Yosemite et du Séquoia Park ont mis mes cuisses à rude épreuve ! de prévoir mon MP3 pour les road trip dans les montagnes : avec le relief, les deux seules radios à capter sont… la radio “bilingual” hispanophone qui propose de la musique folklorique fortement dosée en accordéon et la radio chrétienne Air1 où le nom de Jésus accompagne chaque riff (comme quoi, la foi gravit vraiment les montagnes !). C’est sympa – un peu – mais un peu long quand ça dure sur des centaines de miles ! de vérifier le calendrier des activités régionales : mon grand regret du moment est de ne pas me trouver à Fresno le 21 octobre prochain, pour la Taco Fair ! En plus de célébrer ce délice mexicain… il y aura des courses et défilés de chihuahuas !!!!! #Frustration J’espère que tout va bien pour toi et te dis à bientôt ! P.S : Ah oui, je ne t’ai pas dit, mais malgré mon souhait initial de louer une petite voiture citadine, le loueur a considéré que je méritais de me retrouve au volant d’une Chevrolet (ou “Ché-Vi” pour les locaux). Je te raconterai prochainement toutes les subtilités de la conduite aux Etats-Unis mais, ma foi, on s’y fait ! #UneChéVipourKlerVi
Comme je vous l’expliquais juste ici, je suis en ce moment même en Californie, et toutes les découvertes que j’y fais m’ont donné envie de tester un nouveau type d’article : les cartes postales (ou postcards). L’idée ? Un format bref (si tant est que j’en sois capable), des réactions “à chaud” et le charme de l’épistolaire. Ready ? Dear friend, I send you a postcard from …. CALIFORNIA ! Le point Météo Je t’écris de Californie où il fait beau et chaud. Enfin, je m’emballe peut-être un peu : si la Californie mérite son nom de Golden Coast (et pas que pour son passé de chercheurs d’or), il ne faut pas oublier sa petite laine. Le climat de San Francisco est surprenant : on peut en un instant passer du chaud au froid en raison du vent qu’il y souffle. Et la température chute aussi avec l’altitude dès qu’on se lance dans une randonnée dans les parcs nationaux. Mais rassure toi maman, je suis bien couverte ! Food Porn La Californie ne faillit pas à sa réputation healthy ! Pour ne pas faillir à la mienne, je mange burger veggies et quinoa bowls et me fais plaisir avec des fruits et légumes locaux (NB : les raisins secs SunMaid sont tout bonnement délicieux!). Les supermarchés favorisant les circuits courts et les restaurants “locavores” sont également légions. Dans le marché de l’embarcadère de San Francisco, on trouve ainsi un grand nombre de produits de fermes californiennes mais aussi… de produits de la mer, qui se trouve à deux pas. Les bars à huitres et sandwichs au crabe sont ainsi des incontournables d’un séjour dans la “bay”. Et les burgers (à la viande cette fois) sont indéniablement à tester. En un mot : Miam ! Going Wild Les grands espaces californien font la part belle à la nature. De nombreuses espèces apprécient eux aussi le doux climat et les paysages fantastiques de l’état : on y trouve de nombreux écureuils, biches, rapaces mais également des… ours ! Au détour d’une balade dans le parc des Séquoia géants, je suis d’ailleurs tombé sur un d’entre eux. Heureusement pour moi, qui aie une fâcheuse tendance à cumuler les mésaventures animalières (ou les mésaventures tout court), il était bien trop occupé par le morceau de bois avec lequel il jouait pour m’accorder son attention. Bearidique ! Random Facts Bref, pour l’instant, tout se passe bien, mais je note tout de même pour les prochaines fois : de m’entraîner aux squats avant de partir : je ne compte plus le nombre de marches que j’ai gravies depuis mon arrivée en Californie ! Les collines de San Francisco (et notamment celle de North Beach et Russian Hill) et les trails de Yosemite et du Séquoia Park ont mis mes cuisses à rude épreuve ! de prévoir mon MP3 pour les road trip dans les montagnes : avec le relief, les deux seules radios à capter sont… la radio “bilingual” hispanophone qui propose de la musique folklorique fortement dosée en accordéon et la radio chrétienne Air1 où le nom de Jésus accompagne chaque riff (comme quoi, la foi gravit vraiment les montagnes !). C’est sympa – un peu – mais un peu long quand ça dure sur des centaines de miles ! de vérifier le calendrier des activités régionales : mon grand regret du moment est de ne pas me trouver à Fresno le 21 octobre prochain, pour la Taco Fair ! En plus de célébrer ce délice mexicain… il y aura des courses et défilés de chihuahuas !!!!! #Frustration J’espère que tout va bien pour toi et te dis à bientôt ! P.S : Ah oui, je ne t’ai pas dit, mais malgré mon souhait initial de louer une petite voiture citadine, le loueur a considéré que je méritais de me retrouve au volant d’une Chevrolet (ou “Ché-Vi” pour les locaux). Je te raconterai prochainement toutes les subtilités de la conduite aux Etats-Unis mais, ma foi, on s’y fait ! #UneChéVipourKlerVi