11Sep2018 5 choses à faire dans le Ségala categories: Aveyron, Voyage Métro, boulot, dodo… votre quotidien d’urbain manque malgré vous de nature? A seulement quelques heures de la capitale, le Ségala, coeur vert de l’Aveyron, vous appelle ! Découvrez juste ici 5 activités à faire dans cette terre de nature et de culture! 1) Ouvrir grand les yeux Premier réflexe en arrivant en Aveyron : ouvrir bien sûr grand ses poumons et respirer de larges bouffées d’un air pur et frais ! Mais votre second réflexe devrait ensuite être d’ouvrir les yeux. L’Aveyron et le Ségala, pays des cent vallées, regorgent en effet de points de vue impressionnants, de paysages apaisants, de forêts riches et fournies, et disposent d’un patrimoine architectural et historique hors du commun. Mais dans le Ségala votre regard saura aussi être charmé par des oeuvres d’art ! Surprenant sur cette terre au fort ancrage rural, nommée d’après le seigle, segal en occitan ? Pas tant que ça ! A Rieupeyroux, une folle initiative a vu le jour il y a dix ans : rendre l’art accessible à tous grâce à une artothèque, base d’emprunt d’oeuvres d’art. Comme on irait emprunter ses livres et DVD, particuliers, mairies, écoles et commerçants s’abonnent et empruntent pour deux mois tableaux, sculptures et autres créations d’artistes de renommée internationale. Le fond contient plus de 350 oeuvres et une partie de la collection est exposée au centre culturel de la commune, dont le dynamisme marquera tout visiteur qui le visite. – Centre culturel Aveyron Ségala Viaur Espace Gilbert Alauzet 12240 Rieupeyroux Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17H. Site de l’artothèque – Chapelle Saint Jean-Baptiste de Modulance Dressée sur la montagne de Modulance, à 804 mètres d’altitude, la chapelle offre un panorama incroyable sur le Ségala et ses nombreuses vallées, entre les rivières Viaur et Aveyron. Par temps clair, on y verrait même jusqu’aux Pyrénées ! Visites à la demande – 05.65.65.51.12 2) Prêter l’oreille Dans le Ségala, tous les sens sont aux aguets. Après avoir pleinement satisfait notre vue, il s’agirait désormais de prêter l’oreille. D’abord pour entendre les sons de la nature : meuglements des vaches, mélodie d’un ruisseau qui s’écoule, cloches des églises médiévales mais aussi le vrai silence que l’on retrouve à la campagne. Ensuite, pour découvrir l’histoire des lieux et des habitants de la région. C’est en effet ce que propose Oreilles en balade ! Armé d’un smartphone prêt à flasher des QRcodes ou d’un audioguide emprunté en mairie ou chez un commerçant, partez en promenade dans les villages du Ségala, guidé par les voix et histoires des Aveyronnais. Les parcours proposés vous permettront notamment de découvrir des vestiges du Moyen-Âge, les anecdotes sur des sites historiques ou encore l’histoire du sculpteur Pierre Alechinsky. Ils seront aussi l’occasion d’écouter les récits des anciens, partageant leurs souvenirs et leur regard sur la région, la religion, l’agriculture ou les traditions locales. Une oreille attentive vous permettra également d’entendre sonner le Martinet de la Ramonde. Martine ? Raymonde ? Non, non, et rien à voir non plus avec le martinet du père Fouettard. Le Martinet de la Ramonde est en fait un marteau hydraulique, ancêtre du marteau pilon, servant à battre le cuivre. Utilisé durant des siècles par des artisans pour faire des chaudrons, il a été rénové par une association et bat encore la mesure à La Bastide-l’Évêque. – Oreilles en balade 15 parcours pour tous, gratuits, en libre accès et sans durée imposée Existent en version adulte et enfants – Le Martinet de la Ramonde Gorges de l’Aveyron, Le moulin du Roc, La Bastide-l’Évêque, 12200 Le Bas-Ségala Visites guidées, visites pédagogiques Aire de pique-nique et petit musée avec une salle de projection 3) Remonter le temps Vous n’êtes pas convaincus de la fiabilité des machines à voyager dans le temps ? Faites confiance à la ligne Paris-Rodez ! Un séjour dans le Ségala, c’est l’occasion de véritablement remonter le temps. Il suffit pour cela par exemple de vous rendre à Prévinquières : dans ce village médiéval, les bâtisses ont vu défiler les siècles. Irène Desmard, enfant du pays passionnée d’Histoire, a rénové une maison du XVème siècle, ancienne école de jeunes filles, pour en faire la chambre d’hôte. En partie construit sur les anciennes fortifications de la ville datant du XIIIème siècle, l’édifice a tout le charme de l’ancien mais avec un confort que nous envieraient tous nos contemporains. Et ce, même dans la chambre appelées “Donjon” ou “Médiévale” ! – Le Portail Haut & Prévinquières Chambre entre 2 et 4 personnes, à partir de 75€ avec petit déjeuner Ouvert de mars à janvier Le bourg, 12350 Prévinquières Information et réservation : 06 99 80 61 69 4) Avoir le goût des bonnes choses…. Le plein air, les balades, c’est que ça creuse tout ça ! Mais rassurez-vous, s’il y a une chose à retenir sur l’Aveyron, c’est que l’on y mange, et que l’on y mange bien ! Le Ségala, grenier de la région, est une terre de culture et d’élevage. Boeufs, veaux, moutons font la fierté des exploitants aveyronnais et la viande est un élément incontournable de la cuisine locale. Parmi les spécialités du département, on pensera notamment aux tripoux, des panses de veaux farcies au jarret de porc et au céleri, au boeuf d’Aubrac, ou encore aux nombreux plats autour du veau d’Aveyron et du Ségala, une appellation obtenue selon un cahier des charges très strict et qui perpétue un savoir-faire local et historique. Mais à part la viande me direz-vous ? Et bien, un point sur la cuisine aveyronnaise ne serait rien sans une mention de l’aligot. Cette spécialité m’a valu de défaire ma ceinture d’un cran… voire de deux, lors de mon récent séjour en Aveyron. Purée de pomme de terre mélangée à de la tomme d’Aubrac et de l’ail, l’aligot est souvent servi en accompagnement des (déjà copieuses) portions de viande. Si vous ne voulez pas passer pour un touriste, servez vous en aligot en le faisant filer sans le rompre. Un tour de main habilement maitrisé par les habitants de la région… et les Auvergnats, eux aussi friands d’aligot. Heureusement, la nature et les grands espaces du Ségala sont le cadre idéal pour faire un peu d’exercice : une manière de contrebalancer les plaisirs d’une cuisine locale très (très) généreuse ! – Idées de restaurants : Relais de Prévinquières Le Bourg, 12350 Prévinquières Hôtel restaurant le Commerce 60 Rue de l’Homps, 12240 Rieupeyroux 5) … Et renouer avec sa part bestiale Moutons, chèvres, vaches, chevaux, ânes… Dans le Ségala, les mammifères que l’on trouve en plus grand nombre ne sont pas les humains. Pour le plus grand bonheur des amoureux des animaux. Si un réveil à l’aube ne vous fait pas peur, profitez de votre séjour en Aveyron pour assister à une tétée de veau. Chaque matin, après une nuit passée loin d’elles, les veaux d’Aveyron et du Ségala retrouvent leurs mères pour un petit déjeuner lacté. Et l’enthousiasme est de la partie ! Si vous êtes plus ovins que bovins, vous pourrez également rêver d’une vie pastorale en accompagnant un troupeau de chèvres au Cabra des Broussailles. Vous auriez dû voir ma fierté quand, bergère d’un jour, je me suis essayé à la traite et ai réussi du premier coup à faire sortir du lait des mamelles de ma partenaire. Le brise coeur a été de ne pas pouvoir repartir avec un des petits chevreaux. – Tétée des veaux d’Aveyron et du Ségala : renseignez vous auprès de l’office de tourisme pour connaître les exploitations qui reçoivent du public, et l’heure à laquelle il vous est possible de venir. Certaines fermes recoivent en effet le matin, d’autres plus tard dans la journée, vers 18h. – Cabra de Broussailles Elevage de chèvres du Rove en sylvo pastoralisme et bio dynamie Transformation fromagère et vente de fromages Visite sur rendez vous au 06 40 19 98 70 Toutes ces idées vous ont donné des envies de week-end ? Il est très simple de se rendre dans l’Aveyron : les liaisons par le train sont quotidiennes depuis Paris (arrêtez vous à Millau, Rodez, Albi…) et la voiture et le bus sont également des options pratiques et peu coûteuses. Pour les pressés, Air France, Hop et la compagnie low-cost Flybe desservent également l’aéroport de Rodez. Quelques liens pratiques pour retrouver plus d’information : Office de tourisme d’Aveyron Office de tourisme du Ségala Si la destination vous intéresse, retrouvez également mon article Postcard From Aveyron, dans lequel je partage “à chaud” mon impression sur la région. Nota Bene : C’est à l’occasion de l’édition 2018 du salon des blogueurs de voyage (qui se tenait à Millau) que j’ai eu le plaisir de découvrir l’Aveyron. Cet article fait suite à un blogtrip réalisé dans le cadre du salon des blogueurs de voyage mais n’est pas un article rémunéré. Il est un compte-rendu sincère et est garanti sans tentative de corruption à l’aligot 😉 Encore un grand merci à l’équipe du WAT18 et aux offices de tourisme d’Aveyron et du Haut Ségala qui nous ont réservé un accueil incroyable.
Métro, boulot, dodo… votre quotidien d’urbain manque malgré vous de nature? A seulement quelques heures de la capitale, le Ségala, coeur vert de l’Aveyron, vous appelle ! Découvrez juste ici 5 activités à faire dans cette terre de nature et de culture! 1) Ouvrir grand les yeux Premier réflexe en arrivant en Aveyron : ouvrir bien sûr grand ses poumons et respirer de larges bouffées d’un air pur et frais ! Mais votre second réflexe devrait ensuite être d’ouvrir les yeux. L’Aveyron et le Ségala, pays des cent vallées, regorgent en effet de points de vue impressionnants, de paysages apaisants, de forêts riches et fournies, et disposent d’un patrimoine architectural et historique hors du commun. Mais dans le Ségala votre regard saura aussi être charmé par des oeuvres d’art ! Surprenant sur cette terre au fort ancrage rural, nommée d’après le seigle, segal en occitan ? Pas tant que ça ! A Rieupeyroux, une folle initiative a vu le jour il y a dix ans : rendre l’art accessible à tous grâce à une artothèque, base d’emprunt d’oeuvres d’art. Comme on irait emprunter ses livres et DVD, particuliers, mairies, écoles et commerçants s’abonnent et empruntent pour deux mois tableaux, sculptures et autres créations d’artistes de renommée internationale. Le fond contient plus de 350 oeuvres et une partie de la collection est exposée au centre culturel de la commune, dont le dynamisme marquera tout visiteur qui le visite. – Centre culturel Aveyron Ségala Viaur Espace Gilbert Alauzet 12240 Rieupeyroux Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17H. Site de l’artothèque – Chapelle Saint Jean-Baptiste de Modulance Dressée sur la montagne de Modulance, à 804 mètres d’altitude, la chapelle offre un panorama incroyable sur le Ségala et ses nombreuses vallées, entre les rivières Viaur et Aveyron. Par temps clair, on y verrait même jusqu’aux Pyrénées ! Visites à la demande – 05.65.65.51.12 2) Prêter l’oreille Dans le Ségala, tous les sens sont aux aguets. Après avoir pleinement satisfait notre vue, il s’agirait désormais de prêter l’oreille. D’abord pour entendre les sons de la nature : meuglements des vaches, mélodie d’un ruisseau qui s’écoule, cloches des églises médiévales mais aussi le vrai silence que l’on retrouve à la campagne. Ensuite, pour découvrir l’histoire des lieux et des habitants de la région. C’est en effet ce que propose Oreilles en balade ! Armé d’un smartphone prêt à flasher des QRcodes ou d’un audioguide emprunté en mairie ou chez un commerçant, partez en promenade dans les villages du Ségala, guidé par les voix et histoires des Aveyronnais. Les parcours proposés vous permettront notamment de découvrir des vestiges du Moyen-Âge, les anecdotes sur des sites historiques ou encore l’histoire du sculpteur Pierre Alechinsky. Ils seront aussi l’occasion d’écouter les récits des anciens, partageant leurs souvenirs et leur regard sur la région, la religion, l’agriculture ou les traditions locales. Une oreille attentive vous permettra également d’entendre sonner le Martinet de la Ramonde. Martine ? Raymonde ? Non, non, et rien à voir non plus avec le martinet du père Fouettard. Le Martinet de la Ramonde est en fait un marteau hydraulique, ancêtre du marteau pilon, servant à battre le cuivre. Utilisé durant des siècles par des artisans pour faire des chaudrons, il a été rénové par une association et bat encore la mesure à La Bastide-l’Évêque. – Oreilles en balade 15 parcours pour tous, gratuits, en libre accès et sans durée imposée Existent en version adulte et enfants – Le Martinet de la Ramonde Gorges de l’Aveyron, Le moulin du Roc, La Bastide-l’Évêque, 12200 Le Bas-Ségala Visites guidées, visites pédagogiques Aire de pique-nique et petit musée avec une salle de projection 3) Remonter le temps Vous n’êtes pas convaincus de la fiabilité des machines à voyager dans le temps ? Faites confiance à la ligne Paris-Rodez ! Un séjour dans le Ségala, c’est l’occasion de véritablement remonter le temps. Il suffit pour cela par exemple de vous rendre à Prévinquières : dans ce village médiéval, les bâtisses ont vu défiler les siècles. Irène Desmard, enfant du pays passionnée d’Histoire, a rénové une maison du XVème siècle, ancienne école de jeunes filles, pour en faire la chambre d’hôte. En partie construit sur les anciennes fortifications de la ville datant du XIIIème siècle, l’édifice a tout le charme de l’ancien mais avec un confort que nous envieraient tous nos contemporains. Et ce, même dans la chambre appelées “Donjon” ou “Médiévale” ! – Le Portail Haut & Prévinquières Chambre entre 2 et 4 personnes, à partir de 75€ avec petit déjeuner Ouvert de mars à janvier Le bourg, 12350 Prévinquières Information et réservation : 06 99 80 61 69 4) Avoir le goût des bonnes choses…. Le plein air, les balades, c’est que ça creuse tout ça ! Mais rassurez-vous, s’il y a une chose à retenir sur l’Aveyron, c’est que l’on y mange, et que l’on y mange bien ! Le Ségala, grenier de la région, est une terre de culture et d’élevage. Boeufs, veaux, moutons font la fierté des exploitants aveyronnais et la viande est un élément incontournable de la cuisine locale. Parmi les spécialités du département, on pensera notamment aux tripoux, des panses de veaux farcies au jarret de porc et au céleri, au boeuf d’Aubrac, ou encore aux nombreux plats autour du veau d’Aveyron et du Ségala, une appellation obtenue selon un cahier des charges très strict et qui perpétue un savoir-faire local et historique. Mais à part la viande me direz-vous ? Et bien, un point sur la cuisine aveyronnaise ne serait rien sans une mention de l’aligot. Cette spécialité m’a valu de défaire ma ceinture d’un cran… voire de deux, lors de mon récent séjour en Aveyron. Purée de pomme de terre mélangée à de la tomme d’Aubrac et de l’ail, l’aligot est souvent servi en accompagnement des (déjà copieuses) portions de viande. Si vous ne voulez pas passer pour un touriste, servez vous en aligot en le faisant filer sans le rompre. Un tour de main habilement maitrisé par les habitants de la région… et les Auvergnats, eux aussi friands d’aligot. Heureusement, la nature et les grands espaces du Ségala sont le cadre idéal pour faire un peu d’exercice : une manière de contrebalancer les plaisirs d’une cuisine locale très (très) généreuse ! – Idées de restaurants : Relais de Prévinquières Le Bourg, 12350 Prévinquières Hôtel restaurant le Commerce 60 Rue de l’Homps, 12240 Rieupeyroux 5) … Et renouer avec sa part bestiale Moutons, chèvres, vaches, chevaux, ânes… Dans le Ségala, les mammifères que l’on trouve en plus grand nombre ne sont pas les humains. Pour le plus grand bonheur des amoureux des animaux. Si un réveil à l’aube ne vous fait pas peur, profitez de votre séjour en Aveyron pour assister à une tétée de veau. Chaque matin, après une nuit passée loin d’elles, les veaux d’Aveyron et du Ségala retrouvent leurs mères pour un petit déjeuner lacté. Et l’enthousiasme est de la partie ! Si vous êtes plus ovins que bovins, vous pourrez également rêver d’une vie pastorale en accompagnant un troupeau de chèvres au Cabra des Broussailles. Vous auriez dû voir ma fierté quand, bergère d’un jour, je me suis essayé à la traite et ai réussi du premier coup à faire sortir du lait des mamelles de ma partenaire. Le brise coeur a été de ne pas pouvoir repartir avec un des petits chevreaux. – Tétée des veaux d’Aveyron et du Ségala : renseignez vous auprès de l’office de tourisme pour connaître les exploitations qui reçoivent du public, et l’heure à laquelle il vous est possible de venir. Certaines fermes recoivent en effet le matin, d’autres plus tard dans la journée, vers 18h. – Cabra de Broussailles Elevage de chèvres du Rove en sylvo pastoralisme et bio dynamie Transformation fromagère et vente de fromages Visite sur rendez vous au 06 40 19 98 70 Toutes ces idées vous ont donné des envies de week-end ? Il est très simple de se rendre dans l’Aveyron : les liaisons par le train sont quotidiennes depuis Paris (arrêtez vous à Millau, Rodez, Albi…) et la voiture et le bus sont également des options pratiques et peu coûteuses. Pour les pressés, Air France, Hop et la compagnie low-cost Flybe desservent également l’aéroport de Rodez. Quelques liens pratiques pour retrouver plus d’information : Office de tourisme d’Aveyron Office de tourisme du Ségala Si la destination vous intéresse, retrouvez également mon article Postcard From Aveyron, dans lequel je partage “à chaud” mon impression sur la région. Nota Bene : C’est à l’occasion de l’édition 2018 du salon des blogueurs de voyage (qui se tenait à Millau) que j’ai eu le plaisir de découvrir l’Aveyron. Cet article fait suite à un blogtrip réalisé dans le cadre du salon des blogueurs de voyage mais n’est pas un article rémunéré. Il est un compte-rendu sincère et est garanti sans tentative de corruption à l’aligot 😉 Encore un grand merci à l’équipe du WAT18 et aux offices de tourisme d’Aveyron et du Haut Ségala qui nous ont réservé un accueil incroyable.
03Sep2018 L’agenda de la semaine categories: Bon Plans - Insolite, Paris Allemand, dessin, arts, éducation civique : en cette semaine de rentrée, on compatit avec les écoliers et on révise ses basiques. Et qui plus est, avec joie : Messieurs, Mesdames les élèves, dites bonjour à l’agenda ! Lundi 3 septembre Ratespiel Y a-t-il des Germanophones dans la salle ? Oui ? Et bien rassurez tout de suite vos petits camarades en leur expliquant qu’on ne va pas parler de peaux de rats. “Ratespiel”, tiré de “das Rätsel” veut dire “jeu de la devinette”. Et c’est avec une petite devinette que se termine chaque Karambolage, l’émission culte d’Arte qui met en lumière les liens et différences des cultures française et allemande. Le KIEZGarten, bar allemand de Paris, propose de retrouver chaque lundi le programme et sa question finale… et offre des lots pour les bonnes réponses ! Das klingt gut ! Montag Karambolage KIEZ Biergarten, 24 rue Vauvenargues, 75018 Paris Tous les lundis à 20h Mardi 4 septembre Dessine moi un téton Faire la fête le week-end, c’est d’un classique ! Et les choses trop formatées et formatives, ce n’est pas la cam des Soeurs Malsaines. Du coup, le collectif lance un apérobarge ce mardi, ayant pour thème “Ni Dieu, nichon“. DJ Set, limbo, roue de l’infortune, mise en beauté des comédons et … un concours de dessin anatomique, où dessiner joyeusement boobs, vulves, engins, poireaux, cons, abricots, nounes, zobs, shneks et minous, bref une nature des plus vivantes ! L’Apérobarge Ni Dieu Nichon Entrée libre et gratuite Mardi 4 septembre 2018 – 19h00 – 02h00 Le Petit Bain, 7 port de la Gare, 75013 Paris Mercredi 5 septembre L’Exp’eau Non mais All’eau quoi ! Je sais, cette blague date d’il y a 4 ans, mais je n’ai trouvé manière plus subtile de vous annoncer le thème de l’expo annuelle du prix du Graffiti et du Street Art. Les artistes se sont tous laissés inspirer par la joyeuse ondine et ont réalisé fresques, collages et graff à ce sujet. Une expo à découvrir au Pavillon de l’eau jusqu’en novembre. Exposition du Prix du Graffiti et du Street Art Pavillon de l’eau, 77 avenue de Versailles 75016 Paris Du 5 septembre au 4 novembre 2018 Du lundi au vendredi de 14h à 18h – Le samedi et dimanche de 14h à 19h Jeudi 6 septembre Faire des plantes sur la comète Zamioculcas, dieffenbachia, pachira, hedera … Serait-ce les noms de galaxies lointaines ? Non, non, ce sont en fait celles de plantes toutes plus chouettes les unes que les autres ! Elles seront proposées à la vente ce jeudi à la Base filante par l’équipe des Serres de Léon, une aventure familiale d’horticulture. Une sortie sous les étoiles pour trouver le nouveau petit être vert qui ravira votre coeur. Vente de plantes cosmiques La Base filante, 49 Boulevard de Ménilmontant, 75011 Paris Jeudi 6 septembre de 18h à 22h Paiement en CB ou espèces Vendredi 7 septembre Sweat Street Ce week-end, la place de la République sera the place to be ! Enfin surtout the place to eat. 24 foodtrucks et triporteurs proposant de la cuisine du monde entier s’y installent pour le festival “Cuisine de rues”. Recettes coréennes, colombiennes, capverdiennes : il y aura des plats pour tous les goûts et de partout. MIAM ! Festival “Cuisines de rue” Place de la République Du 7 au 9 septembre Samedi 8 septembre Marche ou crève Un titre bien moins marrant que d’habitude, mais il faut dire que l’heure est grave. A moins que vous ne soyez partisans du discours “climatosceptique” porté par des gens qui ne savent très sérieusement pas doser leur coloration rousse et leur autobronzant, vous avez dû vous rendre compte que la planète elle va pas très très bien. Et c’est un peu (beaucoup) de la faute d’un système de surconsommation et d’un modèle économique et politique très court-termiste. Mais il y a une chose de positif dans tout ça : comme dans tous les grands combats, chaque petit geste compte ! En plus d’adopter chaque jour de nouvelles habitudes plus respecteueuses de l’environnement (consommation plus raisonnée, recyclage, meilleure gestion des déchets…), rejoignez samedi la grande Marche pour le climat. Marcher pour signifier à nos politiques l’urgence d’agir pour l’écologie, qui bien plus qu’un thème à cocher sur son programme est surtout une question de survie . Et d’ici là, un geste qui ne vous prendra pas plus de 3 secondes et demi : signer cette pétition. Marche pour le climat Départ depuis l’Hôtel de ville de Paris Samedi 8 septembre à partir de 14h00 Dimanche 9 septembre Fil d’Art-riane Ce week-end, cap sur le Marais, qui sera traversé de part en part d’amateurs d’art, d’expo et de performances ! Les Traversées du Marais reviennent pour la 4ème année consécutive et les organisateurs ont cousu un programme des plus riches. Filez dans les 28 lieux qui accueillent le festival et vibrez avec cette nouvelle édition “Sur le fil”. Les Traversées du Marais Programmation complète Du 7 au 9 septembre Le Marais
Allemand, dessin, arts, éducation civique : en cette semaine de rentrée, on compatit avec les écoliers et on révise ses basiques. Et qui plus est, avec joie : Messieurs, Mesdames les élèves, dites bonjour à l’agenda ! Lundi 3 septembre Ratespiel Y a-t-il des Germanophones dans la salle ? Oui ? Et bien rassurez tout de suite vos petits camarades en leur expliquant qu’on ne va pas parler de peaux de rats. “Ratespiel”, tiré de “das Rätsel” veut dire “jeu de la devinette”. Et c’est avec une petite devinette que se termine chaque Karambolage, l’émission culte d’Arte qui met en lumière les liens et différences des cultures française et allemande. Le KIEZGarten, bar allemand de Paris, propose de retrouver chaque lundi le programme et sa question finale… et offre des lots pour les bonnes réponses ! Das klingt gut ! Montag Karambolage KIEZ Biergarten, 24 rue Vauvenargues, 75018 Paris Tous les lundis à 20h Mardi 4 septembre Dessine moi un téton Faire la fête le week-end, c’est d’un classique ! Et les choses trop formatées et formatives, ce n’est pas la cam des Soeurs Malsaines. Du coup, le collectif lance un apérobarge ce mardi, ayant pour thème “Ni Dieu, nichon“. DJ Set, limbo, roue de l’infortune, mise en beauté des comédons et … un concours de dessin anatomique, où dessiner joyeusement boobs, vulves, engins, poireaux, cons, abricots, nounes, zobs, shneks et minous, bref une nature des plus vivantes ! L’Apérobarge Ni Dieu Nichon Entrée libre et gratuite Mardi 4 septembre 2018 – 19h00 – 02h00 Le Petit Bain, 7 port de la Gare, 75013 Paris Mercredi 5 septembre L’Exp’eau Non mais All’eau quoi ! Je sais, cette blague date d’il y a 4 ans, mais je n’ai trouvé manière plus subtile de vous annoncer le thème de l’expo annuelle du prix du Graffiti et du Street Art. Les artistes se sont tous laissés inspirer par la joyeuse ondine et ont réalisé fresques, collages et graff à ce sujet. Une expo à découvrir au Pavillon de l’eau jusqu’en novembre. Exposition du Prix du Graffiti et du Street Art Pavillon de l’eau, 77 avenue de Versailles 75016 Paris Du 5 septembre au 4 novembre 2018 Du lundi au vendredi de 14h à 18h – Le samedi et dimanche de 14h à 19h Jeudi 6 septembre Faire des plantes sur la comète Zamioculcas, dieffenbachia, pachira, hedera … Serait-ce les noms de galaxies lointaines ? Non, non, ce sont en fait celles de plantes toutes plus chouettes les unes que les autres ! Elles seront proposées à la vente ce jeudi à la Base filante par l’équipe des Serres de Léon, une aventure familiale d’horticulture. Une sortie sous les étoiles pour trouver le nouveau petit être vert qui ravira votre coeur. Vente de plantes cosmiques La Base filante, 49 Boulevard de Ménilmontant, 75011 Paris Jeudi 6 septembre de 18h à 22h Paiement en CB ou espèces Vendredi 7 septembre Sweat Street Ce week-end, la place de la République sera the place to be ! Enfin surtout the place to eat. 24 foodtrucks et triporteurs proposant de la cuisine du monde entier s’y installent pour le festival “Cuisine de rues”. Recettes coréennes, colombiennes, capverdiennes : il y aura des plats pour tous les goûts et de partout. MIAM ! Festival “Cuisines de rue” Place de la République Du 7 au 9 septembre Samedi 8 septembre Marche ou crève Un titre bien moins marrant que d’habitude, mais il faut dire que l’heure est grave. A moins que vous ne soyez partisans du discours “climatosceptique” porté par des gens qui ne savent très sérieusement pas doser leur coloration rousse et leur autobronzant, vous avez dû vous rendre compte que la planète elle va pas très très bien. Et c’est un peu (beaucoup) de la faute d’un système de surconsommation et d’un modèle économique et politique très court-termiste. Mais il y a une chose de positif dans tout ça : comme dans tous les grands combats, chaque petit geste compte ! En plus d’adopter chaque jour de nouvelles habitudes plus respecteueuses de l’environnement (consommation plus raisonnée, recyclage, meilleure gestion des déchets…), rejoignez samedi la grande Marche pour le climat. Marcher pour signifier à nos politiques l’urgence d’agir pour l’écologie, qui bien plus qu’un thème à cocher sur son programme est surtout une question de survie . Et d’ici là, un geste qui ne vous prendra pas plus de 3 secondes et demi : signer cette pétition. Marche pour le climat Départ depuis l’Hôtel de ville de Paris Samedi 8 septembre à partir de 14h00 Dimanche 9 septembre Fil d’Art-riane Ce week-end, cap sur le Marais, qui sera traversé de part en part d’amateurs d’art, d’expo et de performances ! Les Traversées du Marais reviennent pour la 4ème année consécutive et les organisateurs ont cousu un programme des plus riches. Filez dans les 28 lieux qui accueillent le festival et vibrez avec cette nouvelle édition “Sur le fil”. Les Traversées du Marais Programmation complète Du 7 au 9 septembre Le Marais
21Mar2018 Concours Air France : Parlez-vous French Food ? categories: Bon Plans - Insolite A l’occasion du festival “Goût de / Good France”, Air France lance “Parlez-vous French Food?”, une série de vidéos et un concours avec à la clef deux billets long-courrier. Le goût des mots Gastronomie et langue française ont toujours fait bon ménage : la lecture des cartes de restaurants invite souvent à voyager ! Mais les noms des recettes ne sont pas toujours à prendre au pied de la lettre. Aller au restaurant avec un ami non francophone peut d’ailleurs vite devenir très amusant : croque-monsieur, pot au feu, soufflé au chocolat, trou normand, pain perdu, les traductions littérales offrent au menu une toute nouvelle dimension. Parlez-vous French Food ? Air France l’a bien compris et lance à l’occasion du Festival “Goût de / Good France” – qui célèbre la gastronomie française à travers le monde – “Parlez-vous French Food?”. Avec une série de quatre vidéos, la compagnie se joue des faux amis : “Les petits fours” : des mini accessoires de cuisine ? Faux ! “La robe du vin”, une pièce haute-couture ? Toujours pas ça. Ces jeux de mots vous amusent et la cuisine vous inspire ? Saisissez l’occasion au vol ! Air France organise également un jeu concours et offrira au plus inspiré d’entre nous deux vols pour la destination de son choix. Le principe du jeu est simple : revisiter une recette typiquement française, avec humour et originalité et partager le résultat en photo sur instagram avec le hashtag #Parlezvousfrenchfood. Je sais pas vous mais l’idée de m’envoler pour le bout du monde me met déjà l’eau à la bouche… On joue ? Jeu concours jusqu’au 3 avril inclus, infos et règlement sous ce lien.
A l’occasion du festival “Goût de / Good France”, Air France lance “Parlez-vous French Food?”, une série de vidéos et un concours avec à la clef deux billets long-courrier. Le goût des mots Gastronomie et langue française ont toujours fait bon ménage : la lecture des cartes de restaurants invite souvent à voyager ! Mais les noms des recettes ne sont pas toujours à prendre au pied de la lettre. Aller au restaurant avec un ami non francophone peut d’ailleurs vite devenir très amusant : croque-monsieur, pot au feu, soufflé au chocolat, trou normand, pain perdu, les traductions littérales offrent au menu une toute nouvelle dimension. Parlez-vous French Food ? Air France l’a bien compris et lance à l’occasion du Festival “Goût de / Good France” – qui célèbre la gastronomie française à travers le monde – “Parlez-vous French Food?”. Avec une série de quatre vidéos, la compagnie se joue des faux amis : “Les petits fours” : des mini accessoires de cuisine ? Faux ! “La robe du vin”, une pièce haute-couture ? Toujours pas ça. Ces jeux de mots vous amusent et la cuisine vous inspire ? Saisissez l’occasion au vol ! Air France organise également un jeu concours et offrira au plus inspiré d’entre nous deux vols pour la destination de son choix. Le principe du jeu est simple : revisiter une recette typiquement française, avec humour et originalité et partager le résultat en photo sur instagram avec le hashtag #Parlezvousfrenchfood. Je sais pas vous mais l’idée de m’envoler pour le bout du monde me met déjà l’eau à la bouche… On joue ? Jeu concours jusqu’au 3 avril inclus, infos et règlement sous ce lien.
27Juin2017 L’agenda de la semaine categories: Paris L’eau, le feu, le vent, de tous les éléments… Cette semaine, après avoir vu les températures grimper à Comme nous brûlons et au Festival du film de Fesses, on se rafraichit avec une baignade… en eaux troubles, en compagnie des requins de la Nuit au Max. Heureusement, je vous propose aussi de quoi (bien) manger et boire pour se remettre de toutes ces émotions : à vos agendas ! Lundi 26 juin Ris’au top ! Miam, miam, miam, cette semaine, placée sous le signe de la gastronomie italienne, met sacrément l’eau à la bouche. Du 26 juin au 2 juillet, à l’occasion de la semaine du Risotto, les Français sont en effet invités à redécouvrir cette spécialité de la région de Milan. 15 grands chefs revisitent le plat emblématique en restant toutefois intransigeants sur le choix du riz – crucial (!) car c’est de lui que dépend la texture onctueuse et ferme du plat. Découvrez les cartes des restaurants partenaires et préparez votre appétit : il vous sera utile si vous vous lancez dans la dégustation des quelques… 180 variétés de riz qui peuvent constituer ce “primo piatto” ! A table ! Semaine du Risotto Du 26 juin au 2 juillet Restaurants partenaires à Paris : Le clos des Gourmets : Chef: Arnaud Pitrois (16 avenue Rapp, 75007 Paris) Le Petit Commines : Chef: Flavien CARUCCI (16 rue Commines, 75003 Paris) Café Léonard : Chef: Guillaume BOUCHEIX (57 rue de Turbigo, 75003 Paris) Le réciproque : Chef: Sylvain GAUDON (14 rue Ferdinand Flocon, 75018 Paris) Le V : Chef: Richard ROBE (25 rue Vernet, 75008 Paris) Edouard 7 : Chef: Rémy FOURMEAUX (39 avenue de l’Opéra, 75002 Paris) Tous : Chef: Jérôme MOINARD (9 rue Lamartine , 75009 Paris) Bouche B : Chef: Camile BERTRANDIAS (Traiteur à domicile) Mardi 27 juin Labo(té) des mots L’écriture ressemblerait parfois à un certain art de guerre : on court après sa muse comme Ménélas après la belle Hélène, on livre bataille contre sa peur de la page blanche, on verse des flots d’encre et on couche sur papier des récits jusqu’au point final salvateur, victorieux d’un combat singulier contre son inspiration. En bon stratège, une précaution s’impose : s’intéresser de près à ses alliés et ses ennemis. Ca tombe bien, c’est ce que propose ce mardi le nouvel atelier écriture du Labo de l’Edition ! Rencontre écriture choisir ses alliés et ses ennemis Mardi 27 juin de 19h00 à 20h30 Entrée libre sur réservation Labo de l’Edition, 2 rue Saint-Médard, 75005 Paris Mercredi 28 juin Tout feu, tout femme ! Avant que ne démarre la saison des bals des pompiers, on surfe sur la vague de chaleur et on embarque pour le festival Comme nous brûlons, trois jours d’une programmation musicale, artistique et engagée plus que brûlante. Un festival féministe comme on les aime, avec plein de talent dedans. Comme nous brûlons Du 28 juin au 2 juillet La Station – Gare des Mines, 29 avenue de la Porte d’Aubervilliers, 75018 Paris Programmation et réservation Jeudi 29 juin Globe-Troqueurs & toiles du monde Rien d’étonnant que le Musée d’Orsay, logé au sein d’une ancienne gare, ait le goût du voyage. Ce jeudi, rejoignez sa Curieuse Nocturne – remède aux jeudis sans suprises – et embarquez pour une soirée sous le signe de l’exploration. Au programme : de l’art bien entendu, mais aussi des échanges, dans tous les sens du termes avec un troc de guides de voyages et des récits d’aventuriers aussi fascinants que Priscillia Telmon, compagne de route de Sylvain Tesson et Jean-Louis Etienne, premier homme à atteindre le Pôle Nord en solitaire en 1986. Curieuse Nocturne – Grands Voyageurs Jeudi 29 juin à partir de 18h30 Musée d’Orsay, 1 rue de la Légion d’Honneur, 75007 Paris Entrée Gratuite pour les – de 26 ans, tarif nocturne de 9€ pour les autres visiteurs Vendredi 30 juin L’As des Ass Le baigneur, la lune, le ballon, les jumelles : les fesses fascinent et il y a de quoi ! Et comme tous les objets de fascination, elles sont vite passées à l’action… face caméra : le Festival du Film de Fesses leur rend honneur durant quelques jours et crie l’amour du cinéma et du public pour le popotin. A noter : une sélection de courts métrages est en compétition et deux d’entre eux auront la chance de se voir remettre des … fessées ! Mais que fait le gouvernement ? 😀 Festival du Film de Fesses Du 29 juin au 2 juillet Reflet Médicis / La Filmothèque / La Villa Rose / La Station gare des Mines Billetterie Samedi 1er juillet Sharkturday Night Fever Le Max propose une nuit pour les mordus du Grand Bleu et des grands requins blancs qui s’y baignent gaiement : pour sa nuit Requin, le cinéma propose trois incontournables du genre : Les Dents de la mer (tin din..tin din… tin din… tin din tin din tin din tin din, vous l’avez ?), Open Water et The Shallows. Ca va vous faire passer l’envie de vous baigner ! Nuit au Max : Requins Samedi 1er juillet de 23h30 à 8h30 Billetterie Dimanche 2 juillet Brasser de l’art Une telle semaine ça donne soif ! Mais comme on est sacrément courageux, on joint l’utile à l’agréable et on se désaltère en s’instruivant : au Mondial de la Bière, on découvre des bières du monde entier et on assiste à des masterclasses de brasseurs experts. Elle est pas bière, la vie ? Mondial de la Bière Du 30 juin au 2 juillet Maison de la Mutualité, 24 rue Saint-Victor, 75005 Paris EnregistrerEnregistrer EnregistrerEnregistrer
L’eau, le feu, le vent, de tous les éléments… Cette semaine, après avoir vu les températures grimper à Comme nous brûlons et au Festival du film de Fesses, on se rafraichit avec une baignade… en eaux troubles, en compagnie des requins de la Nuit au Max. Heureusement, je vous propose aussi de quoi (bien) manger et boire pour se remettre de toutes ces émotions : à vos agendas ! Lundi 26 juin Ris’au top ! Miam, miam, miam, cette semaine, placée sous le signe de la gastronomie italienne, met sacrément l’eau à la bouche. Du 26 juin au 2 juillet, à l’occasion de la semaine du Risotto, les Français sont en effet invités à redécouvrir cette spécialité de la région de Milan. 15 grands chefs revisitent le plat emblématique en restant toutefois intransigeants sur le choix du riz – crucial (!) car c’est de lui que dépend la texture onctueuse et ferme du plat. Découvrez les cartes des restaurants partenaires et préparez votre appétit : il vous sera utile si vous vous lancez dans la dégustation des quelques… 180 variétés de riz qui peuvent constituer ce “primo piatto” ! A table ! Semaine du Risotto Du 26 juin au 2 juillet Restaurants partenaires à Paris : Le clos des Gourmets : Chef: Arnaud Pitrois (16 avenue Rapp, 75007 Paris) Le Petit Commines : Chef: Flavien CARUCCI (16 rue Commines, 75003 Paris) Café Léonard : Chef: Guillaume BOUCHEIX (57 rue de Turbigo, 75003 Paris) Le réciproque : Chef: Sylvain GAUDON (14 rue Ferdinand Flocon, 75018 Paris) Le V : Chef: Richard ROBE (25 rue Vernet, 75008 Paris) Edouard 7 : Chef: Rémy FOURMEAUX (39 avenue de l’Opéra, 75002 Paris) Tous : Chef: Jérôme MOINARD (9 rue Lamartine , 75009 Paris) Bouche B : Chef: Camile BERTRANDIAS (Traiteur à domicile) Mardi 27 juin Labo(té) des mots L’écriture ressemblerait parfois à un certain art de guerre : on court après sa muse comme Ménélas après la belle Hélène, on livre bataille contre sa peur de la page blanche, on verse des flots d’encre et on couche sur papier des récits jusqu’au point final salvateur, victorieux d’un combat singulier contre son inspiration. En bon stratège, une précaution s’impose : s’intéresser de près à ses alliés et ses ennemis. Ca tombe bien, c’est ce que propose ce mardi le nouvel atelier écriture du Labo de l’Edition ! Rencontre écriture choisir ses alliés et ses ennemis Mardi 27 juin de 19h00 à 20h30 Entrée libre sur réservation Labo de l’Edition, 2 rue Saint-Médard, 75005 Paris Mercredi 28 juin Tout feu, tout femme ! Avant que ne démarre la saison des bals des pompiers, on surfe sur la vague de chaleur et on embarque pour le festival Comme nous brûlons, trois jours d’une programmation musicale, artistique et engagée plus que brûlante. Un festival féministe comme on les aime, avec plein de talent dedans. Comme nous brûlons Du 28 juin au 2 juillet La Station – Gare des Mines, 29 avenue de la Porte d’Aubervilliers, 75018 Paris Programmation et réservation Jeudi 29 juin Globe-Troqueurs & toiles du monde Rien d’étonnant que le Musée d’Orsay, logé au sein d’une ancienne gare, ait le goût du voyage. Ce jeudi, rejoignez sa Curieuse Nocturne – remède aux jeudis sans suprises – et embarquez pour une soirée sous le signe de l’exploration. Au programme : de l’art bien entendu, mais aussi des échanges, dans tous les sens du termes avec un troc de guides de voyages et des récits d’aventuriers aussi fascinants que Priscillia Telmon, compagne de route de Sylvain Tesson et Jean-Louis Etienne, premier homme à atteindre le Pôle Nord en solitaire en 1986. Curieuse Nocturne – Grands Voyageurs Jeudi 29 juin à partir de 18h30 Musée d’Orsay, 1 rue de la Légion d’Honneur, 75007 Paris Entrée Gratuite pour les – de 26 ans, tarif nocturne de 9€ pour les autres visiteurs Vendredi 30 juin L’As des Ass Le baigneur, la lune, le ballon, les jumelles : les fesses fascinent et il y a de quoi ! Et comme tous les objets de fascination, elles sont vite passées à l’action… face caméra : le Festival du Film de Fesses leur rend honneur durant quelques jours et crie l’amour du cinéma et du public pour le popotin. A noter : une sélection de courts métrages est en compétition et deux d’entre eux auront la chance de se voir remettre des … fessées ! Mais que fait le gouvernement ? 😀 Festival du Film de Fesses Du 29 juin au 2 juillet Reflet Médicis / La Filmothèque / La Villa Rose / La Station gare des Mines Billetterie Samedi 1er juillet Sharkturday Night Fever Le Max propose une nuit pour les mordus du Grand Bleu et des grands requins blancs qui s’y baignent gaiement : pour sa nuit Requin, le cinéma propose trois incontournables du genre : Les Dents de la mer (tin din..tin din… tin din… tin din tin din tin din tin din, vous l’avez ?), Open Water et The Shallows. Ca va vous faire passer l’envie de vous baigner ! Nuit au Max : Requins Samedi 1er juillet de 23h30 à 8h30 Billetterie Dimanche 2 juillet Brasser de l’art Une telle semaine ça donne soif ! Mais comme on est sacrément courageux, on joint l’utile à l’agréable et on se désaltère en s’instruivant : au Mondial de la Bière, on découvre des bières du monde entier et on assiste à des masterclasses de brasseurs experts. Elle est pas bière, la vie ? Mondial de la Bière Du 30 juin au 2 juillet Maison de la Mutualité, 24 rue Saint-Victor, 75005 Paris EnregistrerEnregistrer EnregistrerEnregistrer
27Avr2016 J’ai testé pour vous… la Curry Wurst ! categories: J'ai testé pour vous... Fleuron de la gastronomie allemande, la Curry Wurst est un incontournable de tout séjour berlinois. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, elle ne tire pas son nom de lointaines influences indiennes, mais de sa sauce, sorte de ketchup soupoudré de curry. Comme de nombreux Allemands et touristes qui en dégustent chaque année 70 millions – tout de même ! – je me suis laissée tentée : portrait du plus célèbre des snacks allemands ! Ah, Berlin, sa Fernsehturm, ses fresques de street-art, son mur… A la simple évocation de la ville m’envahissent des images de ces symboles majeurs, témoins de l’histoire et de la culture berlinoises. Mais un dernier s’ajoute pour ma part : si la belle capitale se place parmi les villes les plus “vege-friendly“, elle reste également un des hauts lieux de consommation de “Curry Wurst”. Quiconque a déjà voyagé en Allemagne n’a pu manquer les petites baraques où sont vendues ces fameuses Curry Wurst. La Currry Wurst est une bratwurst, saucisse cuite faite de viande de veau ou de porc, souvent grillée ou sautée à la poêle. Elle est servie découpée en larges morceaux avec une sauce Curry (sauce tomate ou ketchup assaisonnée avec du curry… d’ailleurs plus sucrée que relevée) et est souvent accompagnée de “Pommes” (des frites) ou servie dans un morceau de pain, à la manière d’un hot dog. Vendue dans des baraques ou des “Stehcafé” (littéralement “debout café”), elle est souvent dégustée sur le pouce ou emportée. Mais attention si vous n’êtes (comme moi) pas très adroit : la sauce Curry Wurst tâche sacrément ! Verdict de cette dégustation ? 100% convaincue par ce snacking “Typisch Deutsch” ! Vous ne vous rendez pas de suite à Berlin ? N’ayez crainte, je vous donne mes conseils pour réaliser votre propre Curry Wurst en deux temps, trois mouvements. Il vous faut pour cette recette : Une ou plusieurs grosses saucisses de Francfort ou équivalent (selon votre appétit) 200 ml de coulis de tomate ou de ketchup 2 oignons 2 c.s d’huile d’olive 1 c.s de moutarde 1 c.s de curry 1 c.c de sucre (pas nécessaire si vous avez opté pour le ketchup) 10 cl de vinaigre sel / poivre Faites revenir les oignons coupés finement avec une cuillère d’huile d’olive dans une casserole. Une fois les oignons dorés, ajoutez le coulis de tomate, la moutarde, le vinaigre et le sucre. Laissez mijoter durant 5 à 10 minutes. Grillez à la poêle les saucisses (déjà cuites). Découpez les ensuite en de gros morceaux et disposez les dans une assiette ou dans un morceau de baguette (pour la french touch). Versez la sauce et soupoudrez généreusement de curry. Il ne vous reste plus qu’à déguster votre Curry Wurst faite maison ! Et que les végétariens se rassurent, la recette de la Curry Wurst est très facilement transposable sans viande, de nombreuses baraques berlinoises le proposent d’ailleurs déjà aujourd’hui. Pour aller plus loin (ou en manger tout près) : Le Musée de la CurryWurst à Berlin A Paris : Stube, UdoBar, Café Titon, ou encore à la très chouette épicerie allemande Tante Emma-Laden des Halles St Martin
Fleuron de la gastronomie allemande, la Curry Wurst est un incontournable de tout séjour berlinois. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, elle ne tire pas son nom de lointaines influences indiennes, mais de sa sauce, sorte de ketchup soupoudré de curry. Comme de nombreux Allemands et touristes qui en dégustent chaque année 70 millions – tout de même ! – je me suis laissée tentée : portrait du plus célèbre des snacks allemands ! Ah, Berlin, sa Fernsehturm, ses fresques de street-art, son mur… A la simple évocation de la ville m’envahissent des images de ces symboles majeurs, témoins de l’histoire et de la culture berlinoises. Mais un dernier s’ajoute pour ma part : si la belle capitale se place parmi les villes les plus “vege-friendly“, elle reste également un des hauts lieux de consommation de “Curry Wurst”. Quiconque a déjà voyagé en Allemagne n’a pu manquer les petites baraques où sont vendues ces fameuses Curry Wurst. La Currry Wurst est une bratwurst, saucisse cuite faite de viande de veau ou de porc, souvent grillée ou sautée à la poêle. Elle est servie découpée en larges morceaux avec une sauce Curry (sauce tomate ou ketchup assaisonnée avec du curry… d’ailleurs plus sucrée que relevée) et est souvent accompagnée de “Pommes” (des frites) ou servie dans un morceau de pain, à la manière d’un hot dog. Vendue dans des baraques ou des “Stehcafé” (littéralement “debout café”), elle est souvent dégustée sur le pouce ou emportée. Mais attention si vous n’êtes (comme moi) pas très adroit : la sauce Curry Wurst tâche sacrément ! Verdict de cette dégustation ? 100% convaincue par ce snacking “Typisch Deutsch” ! Vous ne vous rendez pas de suite à Berlin ? N’ayez crainte, je vous donne mes conseils pour réaliser votre propre Curry Wurst en deux temps, trois mouvements. Il vous faut pour cette recette : Une ou plusieurs grosses saucisses de Francfort ou équivalent (selon votre appétit) 200 ml de coulis de tomate ou de ketchup 2 oignons 2 c.s d’huile d’olive 1 c.s de moutarde 1 c.s de curry 1 c.c de sucre (pas nécessaire si vous avez opté pour le ketchup) 10 cl de vinaigre sel / poivre Faites revenir les oignons coupés finement avec une cuillère d’huile d’olive dans une casserole. Une fois les oignons dorés, ajoutez le coulis de tomate, la moutarde, le vinaigre et le sucre. Laissez mijoter durant 5 à 10 minutes. Grillez à la poêle les saucisses (déjà cuites). Découpez les ensuite en de gros morceaux et disposez les dans une assiette ou dans un morceau de baguette (pour la french touch). Versez la sauce et soupoudrez généreusement de curry. Il ne vous reste plus qu’à déguster votre Curry Wurst faite maison ! Et que les végétariens se rassurent, la recette de la Curry Wurst est très facilement transposable sans viande, de nombreuses baraques berlinoises le proposent d’ailleurs déjà aujourd’hui. Pour aller plus loin (ou en manger tout près) : Le Musée de la CurryWurst à Berlin A Paris : Stube, UdoBar, Café Titon, ou encore à la très chouette épicerie allemande Tante Emma-Laden des Halles St Martin