31Mar2018 Comment (bien) poser ses congés cette année ? categories: Bon Plans - Insolite La planification de congés peut parfois prendre des airs de gestion de projets. Comment profiter d’un jour de plus, comment partir un poil plus tôt ? Tout est sujet à optimisation ! Mais, pour mon plus grand bonheur, 2018 est généreuse en ponts et week-end prolongés : voici quelques astuces pour bien poser ses congés cette année ! En mai, fais ce qui te plaît ! En mai, cette année, trois jours fériés tombent en semaine : les mardis 1er, 8 et le jeudi 10 ! Et ça tombe bien, car c’est souvent un mois où il nous est demandé de solder nos congés. Prenez la directive au pied de la lettre : pour sept jours posés, vous bénéficierez d’une coupure de plus de deux semaines. #Joie Lundi 30 avril Mardi 1er mai (férié) Mercredi 2 mai Jeudi 3 mai Vendredi 4 mai Samedi 5 mai Dimanche 6 mai Lundi 7 mai Mardi 8 mai (férié) Mercredi 9 mai Jeudi 10 mai (férié) Vendredi 11 mai Samedi 12 mai Dimanche 13 mai Aoûtien, ça sonne bien ! Le 15 août est un mercredi et tombe par conséquent en plein milieu de la semaine : pour quatre jours posés, vous aurez une coupure de neuf jours d’affilé ! Samedi 11 août Dimanche 12 août Lundi 13 août Mardi 14 août Mercredi 15 août (férié) Jeudi 16 août Vendredi 17 août Samedi 18 août Dimanche 19 août Octobre : Hallow’Ouiiiiiii ! Comme en août, on profite d’un jour férié en milieu de semaine pour poser quatre jours et s’octroyer neuf jours off. Samedi 27 octobre Dimanche 28 octobre Lundi 29 octobre Mardi 30 octobre Mercredi 31 octobre Jeudi 1er novembre (férié) Vendredi 2 novembre Samedi 3 novembre Dimanche 4 novembre Décembre : Noël, joyeux noël ! C’est noël avant l’heure : s’il vous est possible d’anticiper et de poser dès à présent vos congés de fin d’année, posez les autour de la date du 25. Pour cinq jours posés, une coupure de onze jours s’offre à vous. Samedi 22 décembre Dimanche 23 décembre Lundi 24 décembre Mardi 25 décembre (férié) Mercredi 26 décembre Jeudi 27 décembre Vendredi 28 décembre Samedi 29 décembre Dimanche 30 décembre Lundi 31 décembre Mardi 1er janvier (férié) Pour avoir une vision rapide des jours qu’il vous faudra poser, je les ai présaisis dans un calendrier : téléchargez le pour avoir toutes les dates directement dans votre agenda !
La planification de congés peut parfois prendre des airs de gestion de projets. Comment profiter d’un jour de plus, comment partir un poil plus tôt ? Tout est sujet à optimisation ! Mais, pour mon plus grand bonheur, 2018 est généreuse en ponts et week-end prolongés : voici quelques astuces pour bien poser ses congés cette année ! En mai, fais ce qui te plaît ! En mai, cette année, trois jours fériés tombent en semaine : les mardis 1er, 8 et le jeudi 10 ! Et ça tombe bien, car c’est souvent un mois où il nous est demandé de solder nos congés. Prenez la directive au pied de la lettre : pour sept jours posés, vous bénéficierez d’une coupure de plus de deux semaines. #Joie Lundi 30 avril Mardi 1er mai (férié) Mercredi 2 mai Jeudi 3 mai Vendredi 4 mai Samedi 5 mai Dimanche 6 mai Lundi 7 mai Mardi 8 mai (férié) Mercredi 9 mai Jeudi 10 mai (férié) Vendredi 11 mai Samedi 12 mai Dimanche 13 mai Aoûtien, ça sonne bien ! Le 15 août est un mercredi et tombe par conséquent en plein milieu de la semaine : pour quatre jours posés, vous aurez une coupure de neuf jours d’affilé ! Samedi 11 août Dimanche 12 août Lundi 13 août Mardi 14 août Mercredi 15 août (férié) Jeudi 16 août Vendredi 17 août Samedi 18 août Dimanche 19 août Octobre : Hallow’Ouiiiiiii ! Comme en août, on profite d’un jour férié en milieu de semaine pour poser quatre jours et s’octroyer neuf jours off. Samedi 27 octobre Dimanche 28 octobre Lundi 29 octobre Mardi 30 octobre Mercredi 31 octobre Jeudi 1er novembre (férié) Vendredi 2 novembre Samedi 3 novembre Dimanche 4 novembre Décembre : Noël, joyeux noël ! C’est noël avant l’heure : s’il vous est possible d’anticiper et de poser dès à présent vos congés de fin d’année, posez les autour de la date du 25. Pour cinq jours posés, une coupure de onze jours s’offre à vous. Samedi 22 décembre Dimanche 23 décembre Lundi 24 décembre Mardi 25 décembre (férié) Mercredi 26 décembre Jeudi 27 décembre Vendredi 28 décembre Samedi 29 décembre Dimanche 30 décembre Lundi 31 décembre Mardi 1er janvier (férié) Pour avoir une vision rapide des jours qu’il vous faudra poser, je les ai présaisis dans un calendrier : téléchargez le pour avoir toutes les dates directement dans votre agenda !
01Fév2018 Conduire aux Etats-Unis categories: Californie, Voyage Drivin’ in the USAAAA ! Quand on pense aux Etats-Unis, on pense souvent road-trip, highway 101 et pointes de vitesse sur la route 66 dans des décors dignes d’Hollywood. Mais avant que ne démarre cet American dream demeure un essentiel : maîtriser la conduite U.S. Voici 10 conseils pour vous préparer au mieux à conduire aux Etats-Unis ! 1- Règle n°1 : avoir son permis Un basique mais il est toujours de bon ton de le rappeler ! 😉 Pour des séjours de moins de 3 mois, un permis de conduire européen peut suffire pour louer et conduire une voiture. En dehors de la Floride qui l’exige, le permis international n’est pas obligatoire mais je le recommande fortement. Traduit en différentes langues, il peut être présenté en cas de contrôle aux forces de police en accompagnement de votre permis français. Attention, seul, il ne vaut rien car il n’a pas la valeur des permis locaux. 2 – U.S.AFE Thelma et Louise ne sont pas un bon exemple (mais en même temps *spoiler* ça ne finit pas très bien pour elles) : le port de la ceinture de sécurité est obligatoire pour tous les passagers du véhicule. On respecte également la sécurité des piétons : si vous ne vous arrêtez pas à un passage piéton lorsqu’une personne s’apprête à traverser, cela peut vous coûter 200$ d’amende ! 3 – Se débarrasser de certains automatismes Aux Etats-Unis, on roule en automatique ! Et pour ceux qui ont l’habitude des boîtes manuelles, un temps d’adaptation sera nécessaire. Voici quelques infos importantes à connaître avant de vous lancer sur la route : C’est directement la boîte qui gère l’embrayage et le passage des vitesses et le levier de vitesse est donc simplifié. Vous trouverez les symboles suivants : D pour Drive (marche avant) R pour Reverse (marche arrière) N pour Neutral (point mort) P pour Parking (l’équivalent de notre frein à main). Veillez à ce que le levier soit bien enclenché sur P quand votre voiture est à l’arrêt, garée : si ce n’est pas le cas, vous ne pourrez pas retirer la clef du tableau. Pour avancer : appuyez sur le frein et passez le levier sur “D”. La voiture avancera à mesure que vous relâcherez la pédale de frein. De même, pour vous arrêter, appuyez simplement sur le frein. Un rappel important : on ne se sert pas du pied gauche en automatique ! Laissez le au repos, et utilisez votre pied droit pour l’accélérateur et le frein. Si vos vieilles habitudes de boîte manuelle vous reprennent, vous risquez d’appuyer sur la pédale de frein avec votre pied gauche… et piler au beau milieu la route. N’hésitez pas à demander à la compagnie de location de vous expliquer les différentes fonctions supplémentaires (régulateur de vitesse, options…) ou, à l’ancienne, jetez un oeil au mode d’emploi du véhicule avant de prendre la route ! 4 – Types de route Il y a de nombreux péages aux Etats-Unis. Si vous connaissez déjà votre itinéraire, jetez un oeil en ligne ou demandez à votre loueur si les routes que vous prévoyez de prendre sont concernées. Si c’est le cas, deux options s’offrent à vous : demander si votre véhicule est équipé d’un boîtier de péage (et dans ce cas, voyez les modalités avec l’agence de location) ou munissez-vous de liquide (coupures de 1,5 et 10$) car seul le paiement cash est prévu pour les touristes. Pour identifier les différents types de route, référez vous aux lettres qui précèdent leur numéro : I pour les “Interstates”, des autoroutes qui traversent plusieurs Etats ; US pour “US Highways”, les routes nationales fédérales ; Les deux premières initiales de l’Etat traversé ou le nom de l’Etat pour les routes nationales d’Etat. Contrairement aux deux premières catégories, elles ont pour spécificité d’être circonscrites à un seul et même Etat. Inspirés du drapeau de l’Etat, de sa forme, ou bien ronds comme en Iowa ou au Mississipi, les panneaux les désignant varient vraiment d’un Etat à l’autre. Au niveau de l’Etat, il existe aussi des routes moins importantes, entretenues et désignées au niveau territorial ou local (county roads). BS pour les Business States ou périphériques. 5 – Limitations de vitesse Il ne faut pas croire tout ce qu’on vous dit dans les films : si la plupart des acteurs font chauffer leur compteur quand ils sont en roadtrip, je ne vous conseille pas d’en faire autant. La vitesse maximale est de 65 milles/h (environ 100 km/h, sur autoroute) et elle est réduite quand vous êtes en agglomération. Des panneaux indiquent les différentes limites mais ils ne sont pas souvent répétés, ouvrez l’oeil. Petit tips pour vous rendre compte des distances parcourues : 1 mile = 1.61 km 10 miles = 16 km 31 miles = 50 km 62 miles = 100 km 124 miles = 200 km 6. Panneaux et exceptions Les panneaux sont souvent assez parlants et ressemblent à ceux que l’on retrouve en Europe : interdictions de tourner à gauche ou droite, sens uniques… Mais quelques spécificités sont à noter : Le virage à droite au feu rouge : sauf contre-ordre ou panneau, il est généralement permis partout aux États-Unis. Il doit bien sûr se faire en bonne intelligence : attention aux piétons et aux autres voitures ! le feu vert clignotant : un feu vert clignotant indique que nous avons priorité pour tourner à gauche en toute sécurité. STOP (in the name of looooove) : quand il y a une intersection avec 4 stops (oui, oui, ça arrive), le premier arrivé est le premier à repartir. Et ainsi de suite. Les panneaux routiers n’indiquent pas toujours les destinations : la plupart n’indiqueront que les numéros des autoroutes. Avant de partir en virée, essayez de mémoriser les numéros des principales voies de votre itinéraire. A noter, les numéros des sorties d’autoroute correspondent aux nombre de miles auxquels nous sommes rendus. Entre la sortie 10 et la sortie 20, il y aura donc 10 miles : pratique pour savoir quelle distance parcourir avant de sortir. 7 – Stationner Sans surprise, le stationnement est particulièrement un sujet dans les grandes villes. Et à San Francisco, en plus de la place s’ajoute le challenge du dénivelé… Renseignez-vous sur les parkings souterrains ou à étages : malgré le fait qu’ils soient payants, ils peuvent vous éviter bien des angoisses dans les grandes villes. Bon à savoir, les parcmètres sont souvent gratuits le dimanche. Les règles de stationnement sont pour la plupart les mêmes qu’en Europe mais il est important de bien regarder les panneaux (pour s’éviter des amendes) et de stationner dans le sens de la circulation : il est interdit de se garer en sens inverse. 8 – Carburer Il vous faudra souvent payer avant de pouvoir faire le plein : si vous payez avec votre carte une somme plus importante que ce que vous consommez réellement, le caissier de la station service recréditera automatiquement votre compte. Il est également tout à fait possible de payer en liquide dans la plupart des stations service. A noter, vous perdrez peut-être vos repères en regardant les prix : ici la mesure ne se fait pas au litre mais… au gallon ! Un gallon fait environ 3,8 litres. Pour ce qui est du carburant, demandez à votre loueur de vous le préciser au moment de la prise en charge du véhicule. La plupart du temps, ils louent des voitures essence, mais on n’est pas à l’abri d’une exception. 9 – *NOT* To do List : Dans cette short list de recommandations, il fallait bien qu’il y ait une liste de choses à ne pas faire. Elle n’est pas exhaustive, mais cela peut déjà vous donner une idée de ce qu’il faut absolument éviter ! L’alcool est limité à 0.08g : on surveille sa consommation et on passe le volant à quelqu’un si on dépasse la limite légale. Le téléphone au volant : on oublie ! En cas d’incident ou d’accident, il est important de ne pas repartir sans votre rapport de police. Ce document sera demandé par votre loueur s’il y a des frais à prendre en charge par l’assurance, et sans, vous pourriez vous retrouver bredouilles. Il est interdit de s’arrêter ou de se garer à moins de 5 mètres d’une borne-incendie ou de l’entrée d’une caserne de pompier : les incendies sont fréquents dans de nombreux Etats du pays et votre véhicule pourrait représenter une gêne. Si vous ne payez pas la taxe due à un péage, une photo de la plaque de la voiture sera prise et la facture sera directement envoyée au loueur. Qui ne tardera pas à vous les refacturer, en y ajoutant de juteux frais de gestion ! Enfin, dernier “not to…” : en Alabama, il est rigoureusement interdit de conduire une voiture avec les yeux bandés. J’imagine que ça n’était pas nécessairement dans vos projets mais un homme averti en vaut deux! 🙂 10 – Profiter ! Une fois ces quelques conseils en tête, il ne vous reste qu’une chose à faire : profiter ! Me and my CheV (se prononce Ché-Vi) avons formé un sacré duo sur les routes californiennes et avec les quelques précautions d’usage, la conduite aux Etats-Unis est un vrai plaisir !
Drivin’ in the USAAAA ! Quand on pense aux Etats-Unis, on pense souvent road-trip, highway 101 et pointes de vitesse sur la route 66 dans des décors dignes d’Hollywood. Mais avant que ne démarre cet American dream demeure un essentiel : maîtriser la conduite U.S. Voici 10 conseils pour vous préparer au mieux à conduire aux Etats-Unis ! 1- Règle n°1 : avoir son permis Un basique mais il est toujours de bon ton de le rappeler ! 😉 Pour des séjours de moins de 3 mois, un permis de conduire européen peut suffire pour louer et conduire une voiture. En dehors de la Floride qui l’exige, le permis international n’est pas obligatoire mais je le recommande fortement. Traduit en différentes langues, il peut être présenté en cas de contrôle aux forces de police en accompagnement de votre permis français. Attention, seul, il ne vaut rien car il n’a pas la valeur des permis locaux. 2 – U.S.AFE Thelma et Louise ne sont pas un bon exemple (mais en même temps *spoiler* ça ne finit pas très bien pour elles) : le port de la ceinture de sécurité est obligatoire pour tous les passagers du véhicule. On respecte également la sécurité des piétons : si vous ne vous arrêtez pas à un passage piéton lorsqu’une personne s’apprête à traverser, cela peut vous coûter 200$ d’amende ! 3 – Se débarrasser de certains automatismes Aux Etats-Unis, on roule en automatique ! Et pour ceux qui ont l’habitude des boîtes manuelles, un temps d’adaptation sera nécessaire. Voici quelques infos importantes à connaître avant de vous lancer sur la route : C’est directement la boîte qui gère l’embrayage et le passage des vitesses et le levier de vitesse est donc simplifié. Vous trouverez les symboles suivants : D pour Drive (marche avant) R pour Reverse (marche arrière) N pour Neutral (point mort) P pour Parking (l’équivalent de notre frein à main). Veillez à ce que le levier soit bien enclenché sur P quand votre voiture est à l’arrêt, garée : si ce n’est pas le cas, vous ne pourrez pas retirer la clef du tableau. Pour avancer : appuyez sur le frein et passez le levier sur “D”. La voiture avancera à mesure que vous relâcherez la pédale de frein. De même, pour vous arrêter, appuyez simplement sur le frein. Un rappel important : on ne se sert pas du pied gauche en automatique ! Laissez le au repos, et utilisez votre pied droit pour l’accélérateur et le frein. Si vos vieilles habitudes de boîte manuelle vous reprennent, vous risquez d’appuyer sur la pédale de frein avec votre pied gauche… et piler au beau milieu la route. N’hésitez pas à demander à la compagnie de location de vous expliquer les différentes fonctions supplémentaires (régulateur de vitesse, options…) ou, à l’ancienne, jetez un oeil au mode d’emploi du véhicule avant de prendre la route ! 4 – Types de route Il y a de nombreux péages aux Etats-Unis. Si vous connaissez déjà votre itinéraire, jetez un oeil en ligne ou demandez à votre loueur si les routes que vous prévoyez de prendre sont concernées. Si c’est le cas, deux options s’offrent à vous : demander si votre véhicule est équipé d’un boîtier de péage (et dans ce cas, voyez les modalités avec l’agence de location) ou munissez-vous de liquide (coupures de 1,5 et 10$) car seul le paiement cash est prévu pour les touristes. Pour identifier les différents types de route, référez vous aux lettres qui précèdent leur numéro : I pour les “Interstates”, des autoroutes qui traversent plusieurs Etats ; US pour “US Highways”, les routes nationales fédérales ; Les deux premières initiales de l’Etat traversé ou le nom de l’Etat pour les routes nationales d’Etat. Contrairement aux deux premières catégories, elles ont pour spécificité d’être circonscrites à un seul et même Etat. Inspirés du drapeau de l’Etat, de sa forme, ou bien ronds comme en Iowa ou au Mississipi, les panneaux les désignant varient vraiment d’un Etat à l’autre. Au niveau de l’Etat, il existe aussi des routes moins importantes, entretenues et désignées au niveau territorial ou local (county roads). BS pour les Business States ou périphériques. 5 – Limitations de vitesse Il ne faut pas croire tout ce qu’on vous dit dans les films : si la plupart des acteurs font chauffer leur compteur quand ils sont en roadtrip, je ne vous conseille pas d’en faire autant. La vitesse maximale est de 65 milles/h (environ 100 km/h, sur autoroute) et elle est réduite quand vous êtes en agglomération. Des panneaux indiquent les différentes limites mais ils ne sont pas souvent répétés, ouvrez l’oeil. Petit tips pour vous rendre compte des distances parcourues : 1 mile = 1.61 km 10 miles = 16 km 31 miles = 50 km 62 miles = 100 km 124 miles = 200 km 6. Panneaux et exceptions Les panneaux sont souvent assez parlants et ressemblent à ceux que l’on retrouve en Europe : interdictions de tourner à gauche ou droite, sens uniques… Mais quelques spécificités sont à noter : Le virage à droite au feu rouge : sauf contre-ordre ou panneau, il est généralement permis partout aux États-Unis. Il doit bien sûr se faire en bonne intelligence : attention aux piétons et aux autres voitures ! le feu vert clignotant : un feu vert clignotant indique que nous avons priorité pour tourner à gauche en toute sécurité. STOP (in the name of looooove) : quand il y a une intersection avec 4 stops (oui, oui, ça arrive), le premier arrivé est le premier à repartir. Et ainsi de suite. Les panneaux routiers n’indiquent pas toujours les destinations : la plupart n’indiqueront que les numéros des autoroutes. Avant de partir en virée, essayez de mémoriser les numéros des principales voies de votre itinéraire. A noter, les numéros des sorties d’autoroute correspondent aux nombre de miles auxquels nous sommes rendus. Entre la sortie 10 et la sortie 20, il y aura donc 10 miles : pratique pour savoir quelle distance parcourir avant de sortir. 7 – Stationner Sans surprise, le stationnement est particulièrement un sujet dans les grandes villes. Et à San Francisco, en plus de la place s’ajoute le challenge du dénivelé… Renseignez-vous sur les parkings souterrains ou à étages : malgré le fait qu’ils soient payants, ils peuvent vous éviter bien des angoisses dans les grandes villes. Bon à savoir, les parcmètres sont souvent gratuits le dimanche. Les règles de stationnement sont pour la plupart les mêmes qu’en Europe mais il est important de bien regarder les panneaux (pour s’éviter des amendes) et de stationner dans le sens de la circulation : il est interdit de se garer en sens inverse. 8 – Carburer Il vous faudra souvent payer avant de pouvoir faire le plein : si vous payez avec votre carte une somme plus importante que ce que vous consommez réellement, le caissier de la station service recréditera automatiquement votre compte. Il est également tout à fait possible de payer en liquide dans la plupart des stations service. A noter, vous perdrez peut-être vos repères en regardant les prix : ici la mesure ne se fait pas au litre mais… au gallon ! Un gallon fait environ 3,8 litres. Pour ce qui est du carburant, demandez à votre loueur de vous le préciser au moment de la prise en charge du véhicule. La plupart du temps, ils louent des voitures essence, mais on n’est pas à l’abri d’une exception. 9 – *NOT* To do List : Dans cette short list de recommandations, il fallait bien qu’il y ait une liste de choses à ne pas faire. Elle n’est pas exhaustive, mais cela peut déjà vous donner une idée de ce qu’il faut absolument éviter ! L’alcool est limité à 0.08g : on surveille sa consommation et on passe le volant à quelqu’un si on dépasse la limite légale. Le téléphone au volant : on oublie ! En cas d’incident ou d’accident, il est important de ne pas repartir sans votre rapport de police. Ce document sera demandé par votre loueur s’il y a des frais à prendre en charge par l’assurance, et sans, vous pourriez vous retrouver bredouilles. Il est interdit de s’arrêter ou de se garer à moins de 5 mètres d’une borne-incendie ou de l’entrée d’une caserne de pompier : les incendies sont fréquents dans de nombreux Etats du pays et votre véhicule pourrait représenter une gêne. Si vous ne payez pas la taxe due à un péage, une photo de la plaque de la voiture sera prise et la facture sera directement envoyée au loueur. Qui ne tardera pas à vous les refacturer, en y ajoutant de juteux frais de gestion ! Enfin, dernier “not to…” : en Alabama, il est rigoureusement interdit de conduire une voiture avec les yeux bandés. J’imagine que ça n’était pas nécessairement dans vos projets mais un homme averti en vaut deux! 🙂 10 – Profiter ! Une fois ces quelques conseils en tête, il ne vous reste qu’une chose à faire : profiter ! Me and my CheV (se prononce Ché-Vi) avons formé un sacré duo sur les routes californiennes et avec les quelques précautions d’usage, la conduite aux Etats-Unis est un vrai plaisir !