11Sep2018 5 choses à faire dans le Ségala categories: Aveyron, Voyage Métro, boulot, dodo… votre quotidien d’urbain manque malgré vous de nature? A seulement quelques heures de la capitale, le Ségala, coeur vert de l’Aveyron, vous appelle ! Découvrez juste ici 5 activités à faire dans cette terre de nature et de culture! 1) Ouvrir grand les yeux Premier réflexe en arrivant en Aveyron : ouvrir bien sûr grand ses poumons et respirer de larges bouffées d’un air pur et frais ! Mais votre second réflexe devrait ensuite être d’ouvrir les yeux. L’Aveyron et le Ségala, pays des cent vallées, regorgent en effet de points de vue impressionnants, de paysages apaisants, de forêts riches et fournies, et disposent d’un patrimoine architectural et historique hors du commun. Mais dans le Ségala votre regard saura aussi être charmé par des oeuvres d’art ! Surprenant sur cette terre au fort ancrage rural, nommée d’après le seigle, segal en occitan ? Pas tant que ça ! A Rieupeyroux, une folle initiative a vu le jour il y a dix ans : rendre l’art accessible à tous grâce à une artothèque, base d’emprunt d’oeuvres d’art. Comme on irait emprunter ses livres et DVD, particuliers, mairies, écoles et commerçants s’abonnent et empruntent pour deux mois tableaux, sculptures et autres créations d’artistes de renommée internationale. Le fond contient plus de 350 oeuvres et une partie de la collection est exposée au centre culturel de la commune, dont le dynamisme marquera tout visiteur qui le visite. – Centre culturel Aveyron Ségala Viaur Espace Gilbert Alauzet 12240 Rieupeyroux Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17H. Site de l’artothèque – Chapelle Saint Jean-Baptiste de Modulance Dressée sur la montagne de Modulance, à 804 mètres d’altitude, la chapelle offre un panorama incroyable sur le Ségala et ses nombreuses vallées, entre les rivières Viaur et Aveyron. Par temps clair, on y verrait même jusqu’aux Pyrénées ! Visites à la demande – 05.65.65.51.12 2) Prêter l’oreille Dans le Ségala, tous les sens sont aux aguets. Après avoir pleinement satisfait notre vue, il s’agirait désormais de prêter l’oreille. D’abord pour entendre les sons de la nature : meuglements des vaches, mélodie d’un ruisseau qui s’écoule, cloches des églises médiévales mais aussi le vrai silence que l’on retrouve à la campagne. Ensuite, pour découvrir l’histoire des lieux et des habitants de la région. C’est en effet ce que propose Oreilles en balade ! Armé d’un smartphone prêt à flasher des QRcodes ou d’un audioguide emprunté en mairie ou chez un commerçant, partez en promenade dans les villages du Ségala, guidé par les voix et histoires des Aveyronnais. Les parcours proposés vous permettront notamment de découvrir des vestiges du Moyen-Âge, les anecdotes sur des sites historiques ou encore l’histoire du sculpteur Pierre Alechinsky. Ils seront aussi l’occasion d’écouter les récits des anciens, partageant leurs souvenirs et leur regard sur la région, la religion, l’agriculture ou les traditions locales. Une oreille attentive vous permettra également d’entendre sonner le Martinet de la Ramonde. Martine ? Raymonde ? Non, non, et rien à voir non plus avec le martinet du père Fouettard. Le Martinet de la Ramonde est en fait un marteau hydraulique, ancêtre du marteau pilon, servant à battre le cuivre. Utilisé durant des siècles par des artisans pour faire des chaudrons, il a été rénové par une association et bat encore la mesure à La Bastide-l’Évêque. – Oreilles en balade 15 parcours pour tous, gratuits, en libre accès et sans durée imposée Existent en version adulte et enfants – Le Martinet de la Ramonde Gorges de l’Aveyron, Le moulin du Roc, La Bastide-l’Évêque, 12200 Le Bas-Ségala Visites guidées, visites pédagogiques Aire de pique-nique et petit musée avec une salle de projection 3) Remonter le temps Vous n’êtes pas convaincus de la fiabilité des machines à voyager dans le temps ? Faites confiance à la ligne Paris-Rodez ! Un séjour dans le Ségala, c’est l’occasion de véritablement remonter le temps. Il suffit pour cela par exemple de vous rendre à Prévinquières : dans ce village médiéval, les bâtisses ont vu défiler les siècles. Irène Desmard, enfant du pays passionnée d’Histoire, a rénové une maison du XVème siècle, ancienne école de jeunes filles, pour en faire la chambre d’hôte. En partie construit sur les anciennes fortifications de la ville datant du XIIIème siècle, l’édifice a tout le charme de l’ancien mais avec un confort que nous envieraient tous nos contemporains. Et ce, même dans la chambre appelées “Donjon” ou “Médiévale” ! – Le Portail Haut & Prévinquières Chambre entre 2 et 4 personnes, à partir de 75€ avec petit déjeuner Ouvert de mars à janvier Le bourg, 12350 Prévinquières Information et réservation : 06 99 80 61 69 4) Avoir le goût des bonnes choses…. Le plein air, les balades, c’est que ça creuse tout ça ! Mais rassurez-vous, s’il y a une chose à retenir sur l’Aveyron, c’est que l’on y mange, et que l’on y mange bien ! Le Ségala, grenier de la région, est une terre de culture et d’élevage. Boeufs, veaux, moutons font la fierté des exploitants aveyronnais et la viande est un élément incontournable de la cuisine locale. Parmi les spécialités du département, on pensera notamment aux tripoux, des panses de veaux farcies au jarret de porc et au céleri, au boeuf d’Aubrac, ou encore aux nombreux plats autour du veau d’Aveyron et du Ségala, une appellation obtenue selon un cahier des charges très strict et qui perpétue un savoir-faire local et historique. Mais à part la viande me direz-vous ? Et bien, un point sur la cuisine aveyronnaise ne serait rien sans une mention de l’aligot. Cette spécialité m’a valu de défaire ma ceinture d’un cran… voire de deux, lors de mon récent séjour en Aveyron. Purée de pomme de terre mélangée à de la tomme d’Aubrac et de l’ail, l’aligot est souvent servi en accompagnement des (déjà copieuses) portions de viande. Si vous ne voulez pas passer pour un touriste, servez vous en aligot en le faisant filer sans le rompre. Un tour de main habilement maitrisé par les habitants de la région… et les Auvergnats, eux aussi friands d’aligot. Heureusement, la nature et les grands espaces du Ségala sont le cadre idéal pour faire un peu d’exercice : une manière de contrebalancer les plaisirs d’une cuisine locale très (très) généreuse ! – Idées de restaurants : Relais de Prévinquières Le Bourg, 12350 Prévinquières Hôtel restaurant le Commerce 60 Rue de l’Homps, 12240 Rieupeyroux 5) … Et renouer avec sa part bestiale Moutons, chèvres, vaches, chevaux, ânes… Dans le Ségala, les mammifères que l’on trouve en plus grand nombre ne sont pas les humains. Pour le plus grand bonheur des amoureux des animaux. Si un réveil à l’aube ne vous fait pas peur, profitez de votre séjour en Aveyron pour assister à une tétée de veau. Chaque matin, après une nuit passée loin d’elles, les veaux d’Aveyron et du Ségala retrouvent leurs mères pour un petit déjeuner lacté. Et l’enthousiasme est de la partie ! Si vous êtes plus ovins que bovins, vous pourrez également rêver d’une vie pastorale en accompagnant un troupeau de chèvres au Cabra des Broussailles. Vous auriez dû voir ma fierté quand, bergère d’un jour, je me suis essayé à la traite et ai réussi du premier coup à faire sortir du lait des mamelles de ma partenaire. Le brise coeur a été de ne pas pouvoir repartir avec un des petits chevreaux. – Tétée des veaux d’Aveyron et du Ségala : renseignez vous auprès de l’office de tourisme pour connaître les exploitations qui reçoivent du public, et l’heure à laquelle il vous est possible de venir. Certaines fermes recoivent en effet le matin, d’autres plus tard dans la journée, vers 18h. – Cabra de Broussailles Elevage de chèvres du Rove en sylvo pastoralisme et bio dynamie Transformation fromagère et vente de fromages Visite sur rendez vous au 06 40 19 98 70 Toutes ces idées vous ont donné des envies de week-end ? Il est très simple de se rendre dans l’Aveyron : les liaisons par le train sont quotidiennes depuis Paris (arrêtez vous à Millau, Rodez, Albi…) et la voiture et le bus sont également des options pratiques et peu coûteuses. Pour les pressés, Air France, Hop et la compagnie low-cost Flybe desservent également l’aéroport de Rodez. Quelques liens pratiques pour retrouver plus d’information : Office de tourisme d’Aveyron Office de tourisme du Ségala Si la destination vous intéresse, retrouvez également mon article Postcard From Aveyron, dans lequel je partage “à chaud” mon impression sur la région. Nota Bene : C’est à l’occasion de l’édition 2018 du salon des blogueurs de voyage (qui se tenait à Millau) que j’ai eu le plaisir de découvrir l’Aveyron. Cet article fait suite à un blogtrip réalisé dans le cadre du salon des blogueurs de voyage mais n’est pas un article rémunéré. Il est un compte-rendu sincère et est garanti sans tentative de corruption à l’aligot 😉 Encore un grand merci à l’équipe du WAT18 et aux offices de tourisme d’Aveyron et du Haut Ségala qui nous ont réservé un accueil incroyable.
Métro, boulot, dodo… votre quotidien d’urbain manque malgré vous de nature? A seulement quelques heures de la capitale, le Ségala, coeur vert de l’Aveyron, vous appelle ! Découvrez juste ici 5 activités à faire dans cette terre de nature et de culture! 1) Ouvrir grand les yeux Premier réflexe en arrivant en Aveyron : ouvrir bien sûr grand ses poumons et respirer de larges bouffées d’un air pur et frais ! Mais votre second réflexe devrait ensuite être d’ouvrir les yeux. L’Aveyron et le Ségala, pays des cent vallées, regorgent en effet de points de vue impressionnants, de paysages apaisants, de forêts riches et fournies, et disposent d’un patrimoine architectural et historique hors du commun. Mais dans le Ségala votre regard saura aussi être charmé par des oeuvres d’art ! Surprenant sur cette terre au fort ancrage rural, nommée d’après le seigle, segal en occitan ? Pas tant que ça ! A Rieupeyroux, une folle initiative a vu le jour il y a dix ans : rendre l’art accessible à tous grâce à une artothèque, base d’emprunt d’oeuvres d’art. Comme on irait emprunter ses livres et DVD, particuliers, mairies, écoles et commerçants s’abonnent et empruntent pour deux mois tableaux, sculptures et autres créations d’artistes de renommée internationale. Le fond contient plus de 350 oeuvres et une partie de la collection est exposée au centre culturel de la commune, dont le dynamisme marquera tout visiteur qui le visite. – Centre culturel Aveyron Ségala Viaur Espace Gilbert Alauzet 12240 Rieupeyroux Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17H. Site de l’artothèque – Chapelle Saint Jean-Baptiste de Modulance Dressée sur la montagne de Modulance, à 804 mètres d’altitude, la chapelle offre un panorama incroyable sur le Ségala et ses nombreuses vallées, entre les rivières Viaur et Aveyron. Par temps clair, on y verrait même jusqu’aux Pyrénées ! Visites à la demande – 05.65.65.51.12 2) Prêter l’oreille Dans le Ségala, tous les sens sont aux aguets. Après avoir pleinement satisfait notre vue, il s’agirait désormais de prêter l’oreille. D’abord pour entendre les sons de la nature : meuglements des vaches, mélodie d’un ruisseau qui s’écoule, cloches des églises médiévales mais aussi le vrai silence que l’on retrouve à la campagne. Ensuite, pour découvrir l’histoire des lieux et des habitants de la région. C’est en effet ce que propose Oreilles en balade ! Armé d’un smartphone prêt à flasher des QRcodes ou d’un audioguide emprunté en mairie ou chez un commerçant, partez en promenade dans les villages du Ségala, guidé par les voix et histoires des Aveyronnais. Les parcours proposés vous permettront notamment de découvrir des vestiges du Moyen-Âge, les anecdotes sur des sites historiques ou encore l’histoire du sculpteur Pierre Alechinsky. Ils seront aussi l’occasion d’écouter les récits des anciens, partageant leurs souvenirs et leur regard sur la région, la religion, l’agriculture ou les traditions locales. Une oreille attentive vous permettra également d’entendre sonner le Martinet de la Ramonde. Martine ? Raymonde ? Non, non, et rien à voir non plus avec le martinet du père Fouettard. Le Martinet de la Ramonde est en fait un marteau hydraulique, ancêtre du marteau pilon, servant à battre le cuivre. Utilisé durant des siècles par des artisans pour faire des chaudrons, il a été rénové par une association et bat encore la mesure à La Bastide-l’Évêque. – Oreilles en balade 15 parcours pour tous, gratuits, en libre accès et sans durée imposée Existent en version adulte et enfants – Le Martinet de la Ramonde Gorges de l’Aveyron, Le moulin du Roc, La Bastide-l’Évêque, 12200 Le Bas-Ségala Visites guidées, visites pédagogiques Aire de pique-nique et petit musée avec une salle de projection 3) Remonter le temps Vous n’êtes pas convaincus de la fiabilité des machines à voyager dans le temps ? Faites confiance à la ligne Paris-Rodez ! Un séjour dans le Ségala, c’est l’occasion de véritablement remonter le temps. Il suffit pour cela par exemple de vous rendre à Prévinquières : dans ce village médiéval, les bâtisses ont vu défiler les siècles. Irène Desmard, enfant du pays passionnée d’Histoire, a rénové une maison du XVème siècle, ancienne école de jeunes filles, pour en faire la chambre d’hôte. En partie construit sur les anciennes fortifications de la ville datant du XIIIème siècle, l’édifice a tout le charme de l’ancien mais avec un confort que nous envieraient tous nos contemporains. Et ce, même dans la chambre appelées “Donjon” ou “Médiévale” ! – Le Portail Haut & Prévinquières Chambre entre 2 et 4 personnes, à partir de 75€ avec petit déjeuner Ouvert de mars à janvier Le bourg, 12350 Prévinquières Information et réservation : 06 99 80 61 69 4) Avoir le goût des bonnes choses…. Le plein air, les balades, c’est que ça creuse tout ça ! Mais rassurez-vous, s’il y a une chose à retenir sur l’Aveyron, c’est que l’on y mange, et que l’on y mange bien ! Le Ségala, grenier de la région, est une terre de culture et d’élevage. Boeufs, veaux, moutons font la fierté des exploitants aveyronnais et la viande est un élément incontournable de la cuisine locale. Parmi les spécialités du département, on pensera notamment aux tripoux, des panses de veaux farcies au jarret de porc et au céleri, au boeuf d’Aubrac, ou encore aux nombreux plats autour du veau d’Aveyron et du Ségala, une appellation obtenue selon un cahier des charges très strict et qui perpétue un savoir-faire local et historique. Mais à part la viande me direz-vous ? Et bien, un point sur la cuisine aveyronnaise ne serait rien sans une mention de l’aligot. Cette spécialité m’a valu de défaire ma ceinture d’un cran… voire de deux, lors de mon récent séjour en Aveyron. Purée de pomme de terre mélangée à de la tomme d’Aubrac et de l’ail, l’aligot est souvent servi en accompagnement des (déjà copieuses) portions de viande. Si vous ne voulez pas passer pour un touriste, servez vous en aligot en le faisant filer sans le rompre. Un tour de main habilement maitrisé par les habitants de la région… et les Auvergnats, eux aussi friands d’aligot. Heureusement, la nature et les grands espaces du Ségala sont le cadre idéal pour faire un peu d’exercice : une manière de contrebalancer les plaisirs d’une cuisine locale très (très) généreuse ! – Idées de restaurants : Relais de Prévinquières Le Bourg, 12350 Prévinquières Hôtel restaurant le Commerce 60 Rue de l’Homps, 12240 Rieupeyroux 5) … Et renouer avec sa part bestiale Moutons, chèvres, vaches, chevaux, ânes… Dans le Ségala, les mammifères que l’on trouve en plus grand nombre ne sont pas les humains. Pour le plus grand bonheur des amoureux des animaux. Si un réveil à l’aube ne vous fait pas peur, profitez de votre séjour en Aveyron pour assister à une tétée de veau. Chaque matin, après une nuit passée loin d’elles, les veaux d’Aveyron et du Ségala retrouvent leurs mères pour un petit déjeuner lacté. Et l’enthousiasme est de la partie ! Si vous êtes plus ovins que bovins, vous pourrez également rêver d’une vie pastorale en accompagnant un troupeau de chèvres au Cabra des Broussailles. Vous auriez dû voir ma fierté quand, bergère d’un jour, je me suis essayé à la traite et ai réussi du premier coup à faire sortir du lait des mamelles de ma partenaire. Le brise coeur a été de ne pas pouvoir repartir avec un des petits chevreaux. – Tétée des veaux d’Aveyron et du Ségala : renseignez vous auprès de l’office de tourisme pour connaître les exploitations qui reçoivent du public, et l’heure à laquelle il vous est possible de venir. Certaines fermes recoivent en effet le matin, d’autres plus tard dans la journée, vers 18h. – Cabra de Broussailles Elevage de chèvres du Rove en sylvo pastoralisme et bio dynamie Transformation fromagère et vente de fromages Visite sur rendez vous au 06 40 19 98 70 Toutes ces idées vous ont donné des envies de week-end ? Il est très simple de se rendre dans l’Aveyron : les liaisons par le train sont quotidiennes depuis Paris (arrêtez vous à Millau, Rodez, Albi…) et la voiture et le bus sont également des options pratiques et peu coûteuses. Pour les pressés, Air France, Hop et la compagnie low-cost Flybe desservent également l’aéroport de Rodez. Quelques liens pratiques pour retrouver plus d’information : Office de tourisme d’Aveyron Office de tourisme du Ségala Si la destination vous intéresse, retrouvez également mon article Postcard From Aveyron, dans lequel je partage “à chaud” mon impression sur la région. Nota Bene : C’est à l’occasion de l’édition 2018 du salon des blogueurs de voyage (qui se tenait à Millau) que j’ai eu le plaisir de découvrir l’Aveyron. Cet article fait suite à un blogtrip réalisé dans le cadre du salon des blogueurs de voyage mais n’est pas un article rémunéré. Il est un compte-rendu sincère et est garanti sans tentative de corruption à l’aligot 😉 Encore un grand merci à l’équipe du WAT18 et aux offices de tourisme d’Aveyron et du Haut Ségala qui nous ont réservé un accueil incroyable.
25Avr2018 Postcard from #2 – Aveyron categories: Aveyron Après une édition l’an dernier à St Malo, le salon des blogueurs de voyage est de retour cette année en Occitanie, à Millau ! L’occasion de passer quelques jours au vert et de découvrir une magnifique région. C’est parti pour une nouvelle postcard from… AVEYRON ! Le point Météo En ce mois d’avril, le temps est au beau fixe en Aveyron, et ce n’est pas pour me déplaire ! La région se prête particulièrement bien aux activités “en plein air” et le climat estival dès le printemps rend les sorties encore plus agréables. Bijou vert entre Toulouse, Clermont Ferrand et Montpellier, le département fait le bonheur des amateurs de balades, de randonnées et de grands paysages. Méfiez vous, cependant, en altitude, les nuits peuvent être fraîches. S’il se met à pleuvoir, nulle crainte à avoir ; il y a toujours de quoi faire en intérieur en Aveyron. Le Viaduc de Millau, les villages de caractères, les musées et cité médiévales sont prêts à vous recevoir ; tout comme les restaurants qui vous réchaufferont d’assiettes pleines d’aligot. Food Porn Le rythme des locaux c’est Rando, Aligot, Dodo. Et si je ne veux pas ajouter à cet adage la nouvelle rime “kilos”, il va falloir que je les use moi aussi mes godillots ! Vous l’aurez compris, la gourmandise est de mise en Aveyron et il est impossible de sortir de table sans avoir le ventre (vraiment vraiment) plein. L’hospitalité des Aveyronnais n’a d’égale que la générosité des portions qu’ils vous servent et les pièces de viande de boeuf, de veau, d’agneau ou de canard se conjuguent avec des variations de “garniture “au fromage, comme la truffade et l’aligot, qui pourraient à elles seules constituer des plats complets. Je suis venue, j’ai vu… je suis repue. Going Wild Instant Crazy Cat-Cow-Goat Animals Lady : en Aveyron, le nombre de vaches, de chèvres et de moutons dépasse celui de la population ! Il y aurait en 2018 plus d’un million d’ovins et près de 500 000 bovins pour “simplement” 280 000 habitants. Choyés, adorés et soignés, les bêtes aveyronnaises font le bonheur de leurs éleveurs et des visiteurs de passage. Les nombreux bois et forêts d’Aveyron sont aussi l’habitat de chevreuils, sangliers, renards ou cerfs, dont il est fréquent d’entendre le brame au moment des périodes d’accouplement. Wild Wild Ouech. De toutes les manières, c’est le WAT que je préfère ! Mais quel titre “WAT” The Fuck ! Je m’explique : ma découverte de l’Aveyron n’a pas été laissée au hasard : je m’y suis en effet rendue pour le WAT18, ou 5ème édition du salon des blogueurs de voyage, un rendez-vous annuel de blogueurs et professionnels du tourisme. Depuis 2014, Xavier et Florence, couple de passionnés et travailleurs acharnés, organisent chaque année sur quelques jours ce salon un peu à part où s’enchaînent découvertes touristiques, “speed-meetings” et networkings et conférences autour du tourisme et du digital. WAT c’est en fait l’acronyme de “We Are Travel“, car le dénominateur commun de tous les acteurs de ce salon est bien le voyage. Offices de tourisme, régions, compagnies aériennes, agences de voyage… et blogueurs sont là pour échanger sur les destinations et leurs richesses. Pour cette nouvelle édition, avant d’assister au salon, les blogueurs ont eu le plaisir de participer à des “blogs trips” entièrement pris en charge par les offices de tourisme locaux pour découvrir les nombreuses facettes de la région. Caves de roquefort, canoë, escalade, parapente ou bien encore visites de sites historiques et rencontres avec des éleveurs, le programme a été riche pour notre plus grand bonheur. Le WAT c’est aussi beaucoup de rencontres ! J’ai eu le plaisir pour ma part de découvrir le Ségala en compagnie de blogueurs plus cools les uns que les autres : Seniors en vadrouille, aka Bernard et Solange, bien décidés à profiter de leur retraite pour parcourir le monde, Péripléties, un couple de photographes-journalistes qui revenaient d’un tour d’Europe en camping car, et Méni, du blog Lifestyle of an Indigene, gravure de mode aussi à l’aise à la ville que dans les vallées aveyronnaises. Un melting pot rapidement devenu melting potes et formidablement orchestré par Julie, de l’office de tourisme du Ségala, que je ne remercierai jamais assez pour son incroyable accueil. Allez, je vous laisse, mon date m’attend et je sens que si je le fais un peu trop patienter, il ira voir si l’herbe est plus verte chez la voisine. Mais soyez sûrs de revoir très vite par ici un article avec les choses à faire dans cette merveilleuse région qu’est l’Aveyron ! D’ici là, n’hésitez pas à aller faire un tour sur les blogs des copains, du WAT et sur les sites de la Région Aveyron et du Ségala !
Après une édition l’an dernier à St Malo, le salon des blogueurs de voyage est de retour cette année en Occitanie, à Millau ! L’occasion de passer quelques jours au vert et de découvrir une magnifique région. C’est parti pour une nouvelle postcard from… AVEYRON ! Le point Météo En ce mois d’avril, le temps est au beau fixe en Aveyron, et ce n’est pas pour me déplaire ! La région se prête particulièrement bien aux activités “en plein air” et le climat estival dès le printemps rend les sorties encore plus agréables. Bijou vert entre Toulouse, Clermont Ferrand et Montpellier, le département fait le bonheur des amateurs de balades, de randonnées et de grands paysages. Méfiez vous, cependant, en altitude, les nuits peuvent être fraîches. S’il se met à pleuvoir, nulle crainte à avoir ; il y a toujours de quoi faire en intérieur en Aveyron. Le Viaduc de Millau, les villages de caractères, les musées et cité médiévales sont prêts à vous recevoir ; tout comme les restaurants qui vous réchaufferont d’assiettes pleines d’aligot. Food Porn Le rythme des locaux c’est Rando, Aligot, Dodo. Et si je ne veux pas ajouter à cet adage la nouvelle rime “kilos”, il va falloir que je les use moi aussi mes godillots ! Vous l’aurez compris, la gourmandise est de mise en Aveyron et il est impossible de sortir de table sans avoir le ventre (vraiment vraiment) plein. L’hospitalité des Aveyronnais n’a d’égale que la générosité des portions qu’ils vous servent et les pièces de viande de boeuf, de veau, d’agneau ou de canard se conjuguent avec des variations de “garniture “au fromage, comme la truffade et l’aligot, qui pourraient à elles seules constituer des plats complets. Je suis venue, j’ai vu… je suis repue. Going Wild Instant Crazy Cat-Cow-Goat Animals Lady : en Aveyron, le nombre de vaches, de chèvres et de moutons dépasse celui de la population ! Il y aurait en 2018 plus d’un million d’ovins et près de 500 000 bovins pour “simplement” 280 000 habitants. Choyés, adorés et soignés, les bêtes aveyronnaises font le bonheur de leurs éleveurs et des visiteurs de passage. Les nombreux bois et forêts d’Aveyron sont aussi l’habitat de chevreuils, sangliers, renards ou cerfs, dont il est fréquent d’entendre le brame au moment des périodes d’accouplement. Wild Wild Ouech. De toutes les manières, c’est le WAT que je préfère ! Mais quel titre “WAT” The Fuck ! Je m’explique : ma découverte de l’Aveyron n’a pas été laissée au hasard : je m’y suis en effet rendue pour le WAT18, ou 5ème édition du salon des blogueurs de voyage, un rendez-vous annuel de blogueurs et professionnels du tourisme. Depuis 2014, Xavier et Florence, couple de passionnés et travailleurs acharnés, organisent chaque année sur quelques jours ce salon un peu à part où s’enchaînent découvertes touristiques, “speed-meetings” et networkings et conférences autour du tourisme et du digital. WAT c’est en fait l’acronyme de “We Are Travel“, car le dénominateur commun de tous les acteurs de ce salon est bien le voyage. Offices de tourisme, régions, compagnies aériennes, agences de voyage… et blogueurs sont là pour échanger sur les destinations et leurs richesses. Pour cette nouvelle édition, avant d’assister au salon, les blogueurs ont eu le plaisir de participer à des “blogs trips” entièrement pris en charge par les offices de tourisme locaux pour découvrir les nombreuses facettes de la région. Caves de roquefort, canoë, escalade, parapente ou bien encore visites de sites historiques et rencontres avec des éleveurs, le programme a été riche pour notre plus grand bonheur. Le WAT c’est aussi beaucoup de rencontres ! J’ai eu le plaisir pour ma part de découvrir le Ségala en compagnie de blogueurs plus cools les uns que les autres : Seniors en vadrouille, aka Bernard et Solange, bien décidés à profiter de leur retraite pour parcourir le monde, Péripléties, un couple de photographes-journalistes qui revenaient d’un tour d’Europe en camping car, et Méni, du blog Lifestyle of an Indigene, gravure de mode aussi à l’aise à la ville que dans les vallées aveyronnaises. Un melting pot rapidement devenu melting potes et formidablement orchestré par Julie, de l’office de tourisme du Ségala, que je ne remercierai jamais assez pour son incroyable accueil. Allez, je vous laisse, mon date m’attend et je sens que si je le fais un peu trop patienter, il ira voir si l’herbe est plus verte chez la voisine. Mais soyez sûrs de revoir très vite par ici un article avec les choses à faire dans cette merveilleuse région qu’est l’Aveyron ! D’ici là, n’hésitez pas à aller faire un tour sur les blogs des copains, du WAT et sur les sites de la Région Aveyron et du Ségala !